Je connais, personnellement, un jeune homme, toxicomane, qui a été lui aussi un petit prince abandonné par les services sociaux. Un enfant au père alcoolique, au beau-père tortionnaire et violeur, à la mère gravement malade. Un petit prince qui a survécu, et qui a sombré ensuite. L’enfance malheureuse n’est pas qu’un argument d’avocat...
Je n’affirme rien du tout. Je ne suis pas française (et je n’ai donc, pas plus que mes enfants, eu la chance de fréquenter la "meilleure école maternelle du monde", celle que tout le monde, paraît-il, vous envie) et jusqu’à hier, j’ignorais jusqu’à l’existence de ces fameuses "ADSEM". Comme une imbécile de belge, je pensais que consolr les gamins et surveiller la sieste était le lot des instits’ maternelles. Mais visiblement, c’est au dessus de leur dignité.
J’ai seulement réagi à l’opposition entre deux affirmations : "les enfants doivent être "propres"" et "changer les enfants est du ressort des "ADSEM"".
Faudrait savoir.
Si les enfents sont censés être propres, pourquoi des ADESM (sous payées) sont-elles (ce sont en majorité des femmes, non ?) présentes pour les changer ?