Je fais moi-même mes comptes... mais ce sont toujours des contes de fées... Au présent perpétuel... Mais il y a toujours quelqu’un pour vous sortie de cette pensée magique... et de vous obliger à poser un pied dans le réel...
C’est quoi ce vacarme ? Ce sont les étudiants canadiens qui hésitent à prendre les armes Et pourquoi est-ce qu’ils hésitent ? Parce que les uns prétendent que les carottes sont crues et les autres qu’elles sont cuites. Parmi eux, il y en a qui craignent le bâton, ignorent que c’est le bâton qui les craint... etc...etc...etc... Ils cherchent l’entrée... en crise et on n’arrête pas de leur montrer la sortie. Ils veulent la guerre et n’ont que faire du moindre traité de paix. La guerre à l’argent, la guerre aux bouffons... la guerre aux puissants. Ils se sont enfin rendus compte... que leur pire ennemi, ce n’est ni l’état dans tous ses états ni tout l’arsenal des lois liberticides mais l’individu... l’individualisme de toutes ces coquilles vides et avides à la solde du modèle américain. On me dit : de quoi je me mêle ? Il ne s’agit pas là de canada dry mais d’un gin pas tonique qui ne peut pas être digéré par une héritière de mai 68. N’empêche que je ne peux m’empêcher de dire, que si j’étais Vous... j’arrêterai toute étude. Un atermoiement illimité... Jusqu’à ce que les autorités daignent ouvrir gratuitement les portes de toutes les facultés... à tous ceux qui veulent bien les remplir http://www.lejournaldepersonne.com/2012/05/de-quoi-je-me-mele/
Avec toi, j’ai toujours du mal à distinguer le premier, du deuxième sexe. Sans doute, parce qu’il y a en toi un peu des deux. Je vais dresser le tableau pour qu’on s’y retrouve un peu, tous les deux… Pour nous autres, femmes, il y a trois options pour faire carrière : garce, pute ou prostituée. La garce, c’est celle qui te fait payer un service qu’elle ne t’a pas rendu… et qui finit toujours par te plaquer, parce qu’avec elle, tu es toujours à côté de la plaque. La prostituée te loue ou sous loue son corps en échange de quelques rubis… elle fait office de service public, et tout le monde y trouve son compte y compris le ministère des finances qui lui demande de rendre des comptes. Et enfin la pute qui vend son âme pour subvenir à ses besoins et perd toutes les parties en voulant à tout prix, gagner sa vie… parce qu’elle n’aime pas ce qu’elle fait et ne fait pas ce qu’elle aime… Et sous prétexte qu’elle n’a pas le choix, elle ne l’aura jamais… Pour vous autres hommes, l’arrogance au masculin, j’ai entrevu trois autres déclinaisons : Vous êtes ou pauvres ou faibles ou mesquins. Les pauvres ne peuvent pas faire autrement que ramasser les miettes et n’auront pas d’autre issue tant qu’ils croiront que la voie est sans issue. Pour eux, la vie est une question de survie, leur corps fait partie du décor. Les faibles, en revanche sont infiniment plus nombreux… Leur problème et le seul c’est qu’ils ont hypothéqué leurs âmes pour s’acheter une maison, gravir un échelon ou sauvegarder leur guenon. Les derniers, docteur Zemmour, ce sont les mesquins. Ce sont les pires, les vampires qui ont besoin de notre sang pour se nourrir. Ils nous en veulent d’avoir un sentiment… parce qu’ils sont hommes du ressentiment… qui pour x raisons en veulent toujours à leur maman de les avoir mis au monde avec un cœur artificiel et un faux cul… Ce tableau n’est pas plus noir que tes idées sur les barbares… Et pour ne pas te ressembler… je vais te dire que j’aime tout ce que tu fais… surtout quand tu fais semblant d’être un homme.
Je fais moi-même mes comptes... mais ce sont toujours des contes de fées... Au présent perpétuel... Mais il y a toujours quelqu’un pour vous sortie de cette pensée magique... et de vous obliger à poser un pied dans le réel...
C’est quoi ce vacarme ? Ce sont les étudiants canadiens qui hésitent à prendre les armes Et pourquoi est-ce qu’ils hésitent ? Parce que les uns prétendent que les carottes sont crues et les autres qu’elles sont cuites. Parmi eux, il y en a qui craignent le bâton, ignorent que c’est le bâton qui les craint... etc...etc...etc... Ils cherchent l’entrée... en crise et on n’arrête pas de leur montrer la sortie. Ils veulent la guerre et n’ont que faire du moindre traité de paix. La guerre à l’argent, la guerre aux bouffons... la guerre aux puissants. Ils se sont enfin rendus compte... que leur pire ennemi, ce n’est ni l’état dans tous ses états ni tout l’arsenal des lois liberticides mais l’individu... l’individualisme de toutes ces coquilles vides et avides à la solde du modèle américain. On me dit : de quoi je me mêle ? Il ne s’agit pas là de canada dry mais d’un gin pas tonique qui ne peut pas être digéré par une héritière de mai 68. N’empêche que je ne peux m’empêcher de dire, que si j’étais Vous... j’arrêterai toute étude. Un atermoiement illimité... Jusqu’à ce que les autorités daignent ouvrir gratuitement les portes de toutes les facultés... à tous ceux qui veulent bien les remplir http://www.lejournaldepersonne.com/2012/05/de-quoi-je-me-mele/