lisca

@Lynwec
C’est presque un label qualité, le moinssage sans commentaire. 

@moinsseur
Je viens de me plusser, sans complexe ! Parce que ras le bol des médiocres qui viennent juger les meilleurs ! ( je pense surtout aux gens qui sont partis découragés d’Agoravox, persuadés que c’est devenu un dépotoir de mièvreries).
Les meilleurs, n’hésitez pas à vous auto-plusser contre des hordes organisées ! Il faut que les médiocres assument leur place de médiocres. Ils ne valent jamais que deux clous et doivent s’associer pour remplir la boîte à clous.
Bon, je relève  :« je ne dévoile pas la suite qui va à l’encontre de ce que vous supposez être ! ».
La suite, je ne l’ai pas lue en effet. Je supposais qu’elle devenait Lily de Pierre Perret. Pôv tite choute ! C’était bien la peine !
Mais j’imagine qu’elle rentre au pays sauver ses enfants, une fois mariée au docteur chevaleresque, en bonne bourgeoise égalifiée. Elle a un sac Vuitton, en vrai crocodile.
Ah la première épouse, elle en fait une tête ! Voilà une fin rigolote. 

Oui, c’est très bien que la France puisse produire en France et vendre sa production de luxe.

Et force est de reconnaître que la production française est soignée. Que les imitateurs sont voués à se casser le nez.

Cependant il ne faut pas en faire une industrie woke, idéologique.

Cela tue le talent, à terme, laisse sur le carreau des talents immenses, privilégie des médiocres idéologiquement corrects (tendance macron, mœurs et tout), permet l’exploitation de jeunes modèles... Pour le coup, je suis féministe. Rendons aux femmes et couturières douées les froufous, les dentelles ; elles s’y connaissent.

Et aux jeunes créateurs qui aiment les femmes et leur plastique la possibilité de se lancer. On me dit à l’oreille que c’est devenu une obligation de faire partie du club des « men only », si on veut « percer ». Avec une maigre tolérance pour les femmes « women only ».

Grand couturier : y en a-t-il un seul qui ne soit pas « men only » ?

Le mot « couturier » toujours précédé de « grand », avec pommade dessus.

Alors que couturière , eh bien c’est un métier où il faut deux mains prestes. La couturière, indispensable, ne reçoit aucune pommade. On se permet même de jeter sa production aux orties, si elle n’est pas absolument impeccable ou par caprice du « grand couturier » et de ses sous-fifres woke.

Couturier/couturière : aucune égalité ! 

@moinsseur
Du calme, c’est Le Parisien qui le dit, pas moi : que « Nahel ou Naël est un prénom qu’on trouve surtout en Syrie, Au Liban, en Palestine ».
Moi, le Parisien, ce n’est pas mon informateur préféré. Pourquoi des Nahel dans ces pays-là et pas d’autres pays d’Islam ?
Il existe un drame en trois actes qui s’appelle « Nahel », d’Edouard Plouvier, précédé de « la gageure de Satan ». Nahel est une sorte d’espion militaire vivant au sein d’un empire européen.
Wilhelmine se demande s’il n’est pas sorcier ?

Pauvres gosses, ceux de Walo !

La « première épouse » n’en fera qu’une bouchée ! C’est qu’ils sont gênants, ces enfants, aînés en plus, pour sa propre descendance ! Ils seront des petits cendrillons, et un jour le prince viendra (mouais).

L’héroïque Walo, c’est : Adieu les moutards, que les ONG vous emportent ! Le médecin blanc va m’emmener, MOI, vers d’autres rivages !

Alors faudrait savoir. Quand certains « blanc cassé » viennent la chercher à domicile pour la mener en bateau, Walo s’égosille dans ses fers et elle a bien raison.

Et là, elle se casse vite fait avec le blanc pas cassé ! Sans s’encombrer des marmots. Sainte Walo ! D’autres saintes en ont fait autant, remarquez, mais c’était pour servir les malheureux.

Alors, alors Walo ?!!! Fais attention, tu donnes l’exemple ! Les passeurs lybiens te pousseront en rafiot, bien payés (par toi) vers d’autres rivages, et les médecins « blancs » n’iront pas forcément te sauver de la polygamie. Z’en ont marre, les médicos, on leur en a trop demandé en 2020.

Walo aura troqué son mari polymachin-chose pour le passeur méchant, qui peut très bien lui imposer deux cents concurrentes sous sa férule, si elle ne paie pas son passage.

Ensuite, Pierre Perret se permettra de l’appeler « Lily Blanche-Neige » en s’apitoyant sur elle ! C’est un comble !