Comparer ce qui n’est pas comparable confine à l’absurde.
Existe-t-il un seul homme qui soit né sans le concours d’une femme ?
Existe-t-il une seule femme qui ai donné naissance sans être fécondée ?
Déconstruire une réalité physiologique en entités qui n’ont d’autonomes que les concepts qui les sous-tendent, leur faire endosser des rôles et les parer d’attributs temporaires limités s’apparente plus à une pirouette intelectuelle qu’à une réflexion bien menée.
Le genre humain n’est rien sans la femme et l’homme, pourquoi vouloir à tout prix les opposer ?
Le diable et son ami marchaient dans la rue et ils aperçurent un homme qui se baissait pour ramasser quelque chose et le mettre dans sa poche. L’ami dit au diable :
- Qu’est ce que cet homme vient de ramasser ? - Un petit bout de vérité, répondit le diable. - Mauvaise affaire pour vous, remarqua l’ami. - Pas du tout, répliqua le diable, car je lui laisse le soin de gérer ce morceau de vérité.
C’est un article sur la sauvagerie et la connerie humaine ?
Il y a tant et tant à dire et à dénoncer dans de nombreux endroits du globe qu’agoravox n’y suffirait pas. Ce qui ne dispense pas de le faire.
Pour ce qui est de l’aspect propagande de guerre, la violence se suffit à elle même, qu’elle soit portée par un musulman, un chrétien, un juif, un athée, un animiste, un traditionaliste ou un sombre membre d’une tribu arriérée perdu dans le sphincter du monde.
Si par malheur on trouve des ressources energétiques dans cet endroit exigu les habitants sont dans une belle merde. On envisage rarement l’aspect scatologique des belles motivations qui poussent les « démocrates » à aller civiliser des nations archaïques.
La souffrance humaine aurait-elle une vertu selon qu’elle soit administrée par un drone, une bombe à fragmentation, du napalm, une machette, l’agent orange ou au cours d’une lapidation en bonne et due forme ? J’en doute fortement.