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Lucien Lacombe

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Derniers commentaires



  • Lucien Lacombe 10 décembre 2009 14:11

    Une petite remarque à l’attention des chiens de garde :


    On peut, en effet, reprocher à l’auteur de cet article d’utiliser un leurre d’appel sexuel dans son titre alors même qu’il les dénonce régulièrement. Je note toutefois que ceux qui le critiquent ont sauté sur l’article pour réagir immédiatement : auraient-ils été, eux aussi, aguichés par cette accroche sodomite ?


  • Lucien Lacombe 5 septembre 2009 14:04

    @Frédéric Lyon :


    C’est bien gentil tout ça... mais soit je n’y comprends rien, soit ce commentaire est totalement incohérent. Je m’explique :

    Il serait temps que nos « réformateurs » du système financier international et que nos pourfendeurs de cette satanée « économie financière » qui est, selon eux, « virtuelle », puisqu’ils ne résolvent pas à avouer qu’ils n’y comprennent rien,

    Je me demande qui n’y comprend rien... si j’ai bien compris, vous m’éclairerez si besoin est : lorsque l’économie financière représente 150 fois le PIB mondial, qu’est-ce qui est réél là dedans. Quand un trader fait une opération sur un marché avec une poignée de pourcents de couverture réelle, la transaction n’est elle pas un peu virtuelle sur les bords ? Lorsque les banques titrisent les emprunt pour re-prêter encore et encore, n’est-on pas un brin en décalage avec le réel puisqu’on prête le l’argent virtuel ?
    Un marché ou 100 % des titres sont classés « sans risque » a-t-il quelque chose en commun avec la réalité ?

    Je pense surtout que ce sont les acteurs mêmes de ces marché qui se préservent bien de comprendre la réalité tant qu’ils engrangent des bénéfices réels sur ces marchés virtuels.

     s’aperçoivent enfin que la France ne disposant d’aucune place financière et bancaire d’envergure internationale, les règles de fonctionnement des marchés financiers internationaux seront par conséquent décidées par d’autres que nous.

    Personne ne nie ce fait et cette argumentation est le niveau zéro de l’argumentation. La belle et grande idée de la mondialisation est justement d’avoir pu faire sortir l’économie financière hors de tout contrôle. Cette remarque dit simplement « vous ne pouvez rien faire, inutile de lutter ». L’analyse de Lordon qui le conduit à préconiser de nationaliser les banques vaut pour la France comme pour le Monde, et je suis bien d’accord avec vous : il n’y a pas encore de gouvernement mondial. Est-ce que ça nous empêche de réfléchir à la solution ?

    Non, la France n’est pas une place financière majeure, et tant mieux... mais l’Europe est suffisamment riche et puissante et surtout autonome pour faire s’appliquer ces règles à son propre marché et la France est puisante politiquement en Europe. Que les champion du trading aillent se vendre ou ils veulent : qu’est-ce que vous voulez que ça fasse ? Cette économie financière a pour principal défaut de rien financer, elle spécule en toute autonomie : donc on s’en contre fout, vous comprenez ? On en a pas besoin du tout, en clair... démontrez-moi le contraire si vous le pouvez

    Pourquoi, dans de telle condition, s’acharnent-ils à nous proposer des « solutions », ou à faire des commentaires que personne ne leur demande ?

    Parlez pour vous... on s’en doute bien que de votre côté, personne ne demande à changer, mais le peuple du monde s’en contre-fout, de ce que ceux qui pensent comme vous souhaite : le peuple du monde est fatigué de payer pour ceux qui les dominent

    Et pourquoi critiquer un système auquel, dans le fond, ils ne comprennent rien ?

    Que ce certitudes... si j’en juge par votre intervention, votre compréhension se limite à la surface, au binaire, ça ne va pas très loin : lisez un peu et surtout réfléchissez beaucoup, avec un peu d’entrainement vous y parviendrez... peut-être... mais encore faut-il le vouloir

     la crise des marchés des crédits hypothécaires a révelé certaines faiblesses, notamment dans les procédures d’appréciation des risques, de la part des intervenants institutionels sur lesdits marchés.

    Mouuuaaaaaaaarrrff  !!!!!

    « certaines faiblesses... » du même ordre que celles de la ligne Maginot

    Peut-être notre « directeurs des recherches » pourrait-il nous expliquer pourquoi ?

    pourquoi ces guillemets ? Ca ressemble à du mépris, commencer par le mettre au singulier, puis plutôt que de demander des explications, lisez ces livres, et puisque vous êtes si puissant intellectuellement, expliquez nous, pauvres béotiens que nous sommes, comment tout ça fonctionne (mais pas juste la surface, quelque chose d’intelligent, de documenté et de solidement creusé)

    Votre réponse : « vous n’y pouvez rien » ne répond à rien, elle ressemble plutôt à une injonction de se taire, une interdiction de réfléchir. Ca vous dérange tant que ça qu’on regarde un peu sous le tapis ? Toute cette dialectique, toute cette idéologie ne tiendra pas longtemps, la supercherie est en train d’être démasquée et tant que je ne croiserai personne capable de démontrer l’efficacité de ce système, je continuerai à m’exprimer. Citez-moi UN exemple économique ou l’ultra libéralisme ait réussi (qu’on rigole)


  • Lucien Lacombe 3 septembre 2009 12:47

    Je lis Lordon depuis longtemps et j’adhère à ses idées à 99%... @ZEN : Piège à con = incontournable et prémonitoire


    Concernant la réserve sur la responsabilité : est-il du ressort de Lordon de dire ce qui doit être dit :

    Soit on embarque le moindre employé du système bancaire dans des camps de rééducation par le travail... façon Mao... ce qui est, reconnaissons le « un brin exagéré », soit on applique une loi sévère et intransigeante : les véritables responsables sont les gouvernants et ceux des actionnaires qu’on retrouve à peu près dans tous les conseils d’administration de toutes les banques du monde, directement ou indirectement.

    Alors qu’on devrait leur coller une balle dans la nuque (en ayant la délicatesse d’envoyer la facture à la famille pour les frais de l’opération), ils sont tous « responsables mais non coupables » et intouchables. Alors soit ils se modèrent eux-même (chez les Bisounours..), soit ça se termine en carnage général.

    Comme ils ne se « livreront » jamais, j’en conclue que l’issue est le carnage général.

    Je pense que Lordon a trop d’intelligence et de respect pour son métier pour avancer sur ce terrain là 


  • Lucien Lacombe 31 août 2009 13:01

    Bien vu...


    Personnellement, avec la rusticité qui nous caractérise, je me serais contenté d’un simple :
    « non mais des fois, Monsieur Fernand, est-ce qu’on ne se foutrait pas un peu de notre gueule ? »

    Si... si... y’en a aussi...

    Mais bon, comme dirait Maître Folasse : « c’est curieux chez les auteurs, cette manie de faire des phrases »

    en toute amitié

    Lucien L


  • Lucien Lacombe 17 avril 2009 16:28

    Excellent article, une fois de plus...


    Il faudrait en refaire quelques un dans cet esprit là... ça mobilise un peu moins de fâcheux et pour une fois y’a des la bonne gonzesse dans les commentaires.

    Quoi ça ? J’ai dit une connerie ?

     ;)

    @ Gazi BORAT :

    Attendons tout de même qu’elle aie décroché le prix Pulitzer avant d’élever une statue à son effigie, nan ??
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