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Brady

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Tableau de bord

  • Premier article le 12/01/2006
  • Modérateur depuis le 21/01/2006
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Derniers commentaires



  • Brady 30 septembre 2014 19:38
    Je ne suis pas remonté si loin, en 1989 je n’avais que 11 ans (mais j’ai découvert le dessin de Plantu bien plus tard, à une époque où Gaudin se la jouait rempart contre le FN)

    A l’époque il était centriste, et Deferre prônait l’ouverture au centre, avant que Mitterrand n’impose l’union avec les communistes et le rejet du centre (ni à gauche, ni à gauche selon Tonton).

    Mais c’est fascinant, la politique marseillaise : on change de bord au fil du vent, on s’associe avec n’importe qui au gré du vent, et on fait tout pour flinguer les jeunots qui lorgnent la place.


  • Brady 30 septembre 2014 17:34

    Très intéressant reportage sur France 3 hier, qui montre les différentes campagnes du FN et expliquent ainsi le succès et leurs échecs.

    Tout seigneur, tout honneur, on commence par Steeve Briois, eulch’biloute qui mène campagne à Hénin-Beaumont sur des platebandes que n’aurait pas renié Besancenot : sus au chômage, à la misère sociale, aux inégalités, aux incompétents d’avant (merci Dallongeville et son système clientéliste) mais aucun dérapage sur l’immigration (risqué sur une terre très marquée à gauche), et surtout, surtout, une proximité très forte, affective avec l’électeur (la mythique scène de danse avec une veuve de mineur, tandis qu’un sosie de Johnny est au micro, on se serait cru dans un épisode de « Striptease »).

    On passe dans le Sud, avec l’inénarrable Gilbert Collard, qui pointe un centre-ville en ruine et défraîchi à Saint-Gilles, blague sur l’alcoolisme de notoriété publique du maire sortant, rabroue des jeunes qui l’insultent en promettant de s’en débarrasser en 6 mois (comment ? Mystère...). Valéire Laupieds, à Tarascon, directrice d’école, qui accueille Marine Le Pen pour stigmatiser le grand remplacement... mais qui n’hésite pas à dialoguer avec des femmes voilées. les deux échoueront face à un front républicain, les listes de gauche se retirant du deuxième tour.

    A Fréjus, autre campagne victorieuse avec David Rachline (un nom pas très français, ironisera un vieux papy face aux militants, surpris de voir un ancien proche de Soral victime d’antisémitisme...). Jeune homme propre, impeccable, qui bénéficie d’une droite divisée et plombée par les affaires pour rafler la mise.

    On termine sur LE bide et peut-être ce qui peut menacer le FN à l’avenir : l’échec du techno Florian Philippot, malgré une quadrangulaire qui aurait pu lui être favorable à Forbach. On dirait le Groland (pas parce que Philippot ressemble à Jules-Edouard Moustic), avec les colleurs d’affiche à l’accent Lorrain à couper au couteau. On sent quand même un candidat beaucoup, beaucoup moins à l’aise sur le terrain que les 4 autres, son parachutage est un boulet difficile à faire oublier, il s’accroche tantôt avec un étudiant de l’UJEF sur les marchés, tantôt avec le responsable de la communauté des gens du voyage.

    En fait, le FN est un parti comme un autre : ses succès restent conditionnés à la proximité que leurs candidats peuvent avoir avec la France d’en bas, Briois (et surtout Ménard, le champion qu’il aurait été intéressant de suivre également) sont très, très forts pour serrer les mains sur le marché, inclus avec des personnes peu disposées au vote FN (comme les femmes voilées de Tarascon), très bon pour aller sur des terrains ou les autres militants ne vont plus. Par contre, Florian Philippot le démontre : même avec l’étiquette FN, un techno reste un techno, bon pour conseiller, moins pour se faire élire.



  • Brady 26 septembre 2014 17:09

    Vous cassez pas la tête, Sarkozy va surtout recourir à une boîte de communication pour changer le nom de son parti...

    Ben quoi ?



  • Brady 26 septembre 2014 11:03

    Hélas oui, il y a une espèce de mystification complète autour de ce personnage que des esprits médiocres comme Eric Brunet vénère (encore un qui comme Apathie ou les autres bouffons du roi a pleins de solutions pour redresser la France, sauf sacrifier leurs glorieux subsides. Quels cons. Si j’ai envie d’écouter des analyses aussi subtiles, je vais au bistrot : ça me coûte mais au moins y a des bières, les analystes coûtent moins chers à l’Etat, et le gérant offre les cacahuètes).

    Putain. En 2017 on va avoir un président sortant nul, mais un dingue pour mener l’opposition. Le pire c’est que je vais être amené à voter pour le nul dès le premier tour (parce que Marine est encore plus nulle et plus dingue que les deux réunis), alors que j’avais juré après la trahison vallsienne qu’on ne me reprendrait plus à voter utile...



  • Brady 25 septembre 2014 19:32

    Il s’agit pas non plus de dévotion cul bénite, hein... Le dimanche, c’est le seul jour où parents et enfants peuvent se retrouver à coup sûr (si on excepte les professions qui ont dérogation, certes).


    Travailler le dimanche ? Mais pourquoi ? On ne peut vraiment pas supporter cette idée d’avoir un jour ’off’ pour tous, ou on peut faire du sport, aller au ciné, prier si on est croyant, mais ne pas, ne pas se ruer dans la dernière boutique Apple ???

    Chez moi, le dimanche, c’était, avant le jour du seigneur, le jour de la famille, celui des amis du foot (ou de la chasse pour ceusses du village), des amis de la veille (quand il fallait se remettre des 400 coups quand on finissait par l’omelette chez le copain à 5h du mat...).

    Vous voulez travailler le dimanche, pourquoi ? Vous avez pas d’amis ?
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