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Marie

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Derniers commentaires



  • Marie 7 août 2006 22:56

    Demian West veut se situer au dessus de la mêlée par snobisme condescendant, çà en devient risible mais surtout délirant !



  • Marie 7 août 2006 22:33

    Pour étayer mes critiques à l’encontre du Hezbollah, voici quelques extraits d’un article du quotidien Libanais « L’orient le Jour » intitulé : Une mission « messianique » jusqu’au-boutiste pour le Hezbollah. Il s’agit-là de la part de ce grand quodition Libanais de critiquer les ambitions à caractères « doctrinales » et « régionalo-communautaires » du Hezbollah. Preuve que le parti de Dieu n’est pas considéré de la même façon que l’on se place du côté des chiites Libanais ou des autres composantes de la communauté nationale Libanaise, notamment les Chrétiens et les Sunnites. ".... Faudrait-il, d’abord, continuer d’accepter que le liban demeure (encore et toujours) un terrain d’affrontements et de manoeuvres, ouvert aux différents acteurs régionaux quelles que soient les conséquences ? Doit-on se fixer pour mission « messianique » de poursuivre sans relâche, en faisant fi de nos équilibres internes et des rapports de force, une lutte jusqu’au-boutiste contre Israël, le monde occidental et le « grand satan » ? Et au profit de quel projet politique, de quel projet de société ? Les libanais doivent-ils être condamnés indéfiniment à assumer, seuls, le combat conre « l’ennemi sioniste et l’impérialisme américain » alors que depuis plus de trente-trois ans tous les pays arabes, sans exception, sont de facto en paix avec l’Etat Hébreux, voire même entretiennent (pour certains d’entre-eux) des relations diplomatiques ou commerciales avec lui ? Faut-il continuellement fouler aux pieds la stabilité du pays pour servir d’obscurs desseins régionaux dont le Liban, en tant qu’entité pluraliste, ne peut tirer aucun profit ? Le Hezbollah s’est visiblement engagé sur une telle voie, sans doute pour des considérations doctrinales et régionalo-communautaires. Coment expliquer, autrement, qu’il se soit obstiné à vouloir conserver un impressionnant arsenal militaire incluant (comme se targuaient de le dévoiler les dirigeants) non moins de 20 000 missiles, en dépit du retrait de l’armée israélienne du Liban-Sud en mai 2000 ? A l’évidence, ce n’est certainement pas pour libérer trois prisonniers et pour régler le contentieux (libano-syrien, de surcroît...) des fermes de Chebaa qu’il s’est accroché à un tel armement stratégique. Le directoire du Hezbollah s’en défend, certes, mais l’incursion effectuée le 12 juillet au-delà de la ligne bleue, pour enlever les deux soldats de Tsahal, visait manifestement à satisfaire des objectifs iraniens ou irano-syriens en provoquant une vaste conflagration avec Israël, le but étant, entre autres - sur le plan local -, de saboter l’édifice du 14 Mars et tout ce qu’il représente. Le précédent de Gaza permettait en effet de prévoir parfaitement, quoi qu’on dise, quelles seraient l’ampleur de la riposte israélienne. Force est de relever dans ce cadre que la capture des deux soldats n’a pas été la cause mais le prétexte (offert sur un plateau en or par le HezboLlah) qui a permis de déclencher l’offensive Isarélienne. La cause réside plutôt dans la présence en territoire libanais de ces 20 000 missiles aux mains d’une fraction alliée à un régime iranien qui se radicalise de jour en jour et qui ne cache pas ses ambitions régionales. L’on est en droit de se demander sur ce plan dans quel but (libanais) on a porté le flanc, de la sorte, à une attaque israélienne et où se situait, avant le 12 juillet, l’enjeu libanais dans la perpétuation d’une situation conflictuelle aux frontières méridionales, alors que depuis mai 2000, l’ONU considère que la résolution 425 a été totalement appliquée et que le seul contentieux en suspens, celui de Chebaa, doit être réglé entre Beyrouth et Damas. C’est au sujet de l’ensemble de ces interrogations qu’une explication franche devrait être engagée, cartes sur table, entre les parties locales afin de trancher le débat et faire les choix qui s’imposent face au projet de résolution franco-américain soumis au Conseil de sécurité. Les hauts responsables du Hezbollah ne cessaient d’afficher, avant le déclenchement du conflit, leur volonté de sauvegarder la démocratie consensuelle spécifique au Liban, de préserver la convivialité (dans la dignité) et l’équilibre politique entre les diverses composantes du tissu social libanais, afin, affirmaient-ils, de présenter au monde un modèle de société qui soit l’antithèse du modèle israélien. Une telle option, incontestablement louable et salvatrice, a cependant été dangereusement ébranlée par l’opération du 12 juillet. Par son initiative guerrière unilatérale, le directoire du Hezbollah a en effet brisé la règle du consensus qu’il prônait pourtant lui-même avec acharnement lorsqu’il s’opposait aux décisions de la majorité. Dans son message du 29 juillet dernier, Hassan Nasrallah soulignait, dans un geste d’ouverture, sa volonté de coopérer avec toutes les fractions locales lorsque le canon se sera tu. Un dialogue sur de nouvelles bases devrait alors, le cas échéant, être entamé. Mais cette fois-ci, le Hezbollah devra clarifier, sans équivoque aucune,la nature de son projet de société, garanties à l’appui. Des garanties qui passent incontestablement par la renonciation à son arsenal militaire. Il y va, dans une large mesure, de la pérennité de la formule libanaise de convivialité qu’il affirme lui-même vouloir consolider". Article de Michel TOUMA, L’Orient le Jour - Beyrouth.



  • Marie 7 août 2006 21:06

    Les sirènes anti-sionistes sont à l’oeuvre sur ce site. Comme Aicha, une majorité d’entre-vous voit des sionistes partout, il suffit tout simplement d’être en désaccord avec la ligne qui qualifie le Hezbollah de résistance. Je n’ai rien à voir de près ou de loin avec les sionistes. Pour votre gouverne, je suis française de souche, née catholique et mariée à un africain d’Afrique centrale. Pour moi, le Hezbollah, c’est la pire des choses qui pouvait arriver au monde arabe et tous les arabes ne pensent pas du bien du Hezbollah qui est une milice armée fanatique de l’Islam radical dont l’idéologie faciste est très éloignée de nos sociales démocraties européennes. J’en conclue aussi selon vos commentaires que vous soutenez les théocracies à l’Iranienne juste parce qu’elles oeuvrent à la destruction d’Israêl. Décidemment l’obsession anti-israélienne rend non seuelement borgne mais renforce également la malhonnêteté intellectuelle.



  • Marie 4 août 2006 12:07

    Vous êtes bien naïf. Jacques Chirac a beau s’ériger en opposant à la politique de Georges W. Bush et en défenseur de la paix dans le monde, les agissements du gouvernement français à l’étranger sont tout sauf nobles. Nous assistons aujourdh’ui sur la scène internationale à une luttte de leadership France/Etats-Unis. La France comme les Etat-Unis a besoin de paraître sur la scène internationale comme une grande puissance incontournable pour assoir ses intérêts tant pétroliers que militaires. Je vous rappelle que la France est le quatrième marchand d’armes au monde et elle est le premier fournisseur d’armes des pays en voie de développement mais aussi des zones de conflit comme le Moyent-Orient ou la frontière indo-pakistanaise. La France vend aussi des armes à Israêl notamment des hélicoptères. L’entreprise Française Total Fina Elf, sous couvert de sa filiale Elf Gabon, est le bras armé de la dictature au Gabon et Chirac et son gouvernement en sont complices. J’étais avec les opposants gabonais devant l’Ambassade du Gabon à Paris pour manifester contre la dictature au Gabon mais nous avons été interdits de manifester par le Ministère de l’intérieur français qui avait dépêché sur place pas moins de 8 fourgons de CRS pour nous empêcher de manifester contre le pouvoir autocratique gabonais : nos slogans était « ELF bras armé de la dictature au Gabon », « Chirac complice ». Nous avons été menacé d’interpellation. L’un des membres des renseignements généraux qui nous filait et qui avait reçu pour mission de nous ficher m’a lâché sur place que l’ordre d’interdiciton de la manifestation venait de très haut et que le Gabon n’est pas un pays comme les autres. Les immenses richesses du Gabon, pour ne parler de ce que je connais très bien, sont la propriété des entreprises françaises avec la complicité d’un dirigeant fantôche mis en place par la France qui empêche par la validation d’élections truquées l’avènement de la démocratie dans ses anciennes colonies. Les français sont en réalité les champions du monde du cynisme. En pratique, la France a autant de sens moral qu’une tenancière de bordel au find fond du Far West. nous n’avons donc aucune leçon à donner aux Américains. J’aimerais que les gens de gauche dans notre pays s’attaque avec la même hargne à la politique étrangère française qui pour préserver les intérêts français de part le monde s’acoquine avec les pires régimes de la planète.



  • Marie 3 août 2006 19:41

    Le Président Iranien, Mahmoud Ahmadinyad, a déclaré ce jour que la destruction d’Israël était la solution au probème au Proche Orient. Douste-Blazy qui incarne la posture française avait déclaré un peu plus tôt que l’Iran était une force stabilisatrice dans la région. Les contorsions de notre diplomatie frisent désormais le ridicule et font plâner l’ombre de « Munich 1938 ».

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