Voter pour un candidat ne veut pas forcément dire embrasser ses idées. Surtout pour un premier tour de présidentielle.
Lors de cette présidentielle il a récolté le vote des indécis/insatisfaits ayant ainsi un bulletin de vote leur permettant de s’exprimer tout en évitant la catastrophe de 2002.
Le soufflé est vite retombé, a peine quelques semaines après lors des législatives.
Ma grand-mère retrouvait ses amies (-ies parce qu’il ne fallait surtout pas se montrer en publique avec un garçon) sur la place devant chez l’épicier, mais jamais sans sa nouvelle robe taillée à la tendance du moment ni sans son vélo, fière qu’elle était de se l’être vu offert par son père pour son anniversaire.
La volonté de paraître n’a pas changé sauf que la robe est remplacée par l’iphone et le vélo par le nombre d’amis sur facebook.
On parle donc ici de moyens de paraitre et pas d’un changement de la nature humaine
« mais assez proche de ce qu’est devenue la vie dite moderne, faite d’apparences, de paraître et de faux semblants »
La vie n’est pas devenu comme ça, elle l’a toujours été. L’homme vie en communauté hiérarchisée, le paraître y tient donc une place prépondérante et ce depuis toujours.
La seule chose qui a changé ce sont les moyens de paraître.
Oui, cela parait indécent mais finalement on est tous le « riche » de quelqu’un.
Ce qui est indécent ce n’est pas qu’une personne qui a les moyens dépense en fonctions de ceux-ci mais l’écart de richesse entre très riches et démunis.
Je suis donc bien d’accord sur le fond de votre article, seulement votre comparaison me semble un peu démago