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Monolecte

Monolecte

Poil à gratter du web depuis 2003 !

Tableau de bord

  • Premier article le 05/12/2006
  • Modérateur depuis le 04/01/2007
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Derniers commentaires



  • Monolecte Monolecte 28 janvier 2018 11:39

    @joletaxi
    J’ai de la famille qui est américaine : ce que je te raconte, je le découvre à travers eux.
    Ce ne sont pas des pouilleux (comme les millions d’Américains qui ne bénéficient d’aucune couverture médicale), ils ont des revenus qui les classent dans la bonne moyenne et le père de famille a même bossé pour… une compagnie d’assurance santé !



  • Monolecte Monolecte 28 janvier 2018 10:40

    @Fifi Brind_acier
    Du point de vie des classes aisées et riches, ce gouvernement est vraiment très efficace…



  • Monolecte Monolecte 28 janvier 2018 10:39

    @Fifi Brind_acier
    Quand nos gouvernants parlent d’audace, généralement, cela signifie qu’ils ont l’intention de raser les pauvres d’encore plus près, jamais rien d’autre…



  • Monolecte Monolecte 28 janvier 2018 10:37

    @foufouille
    Je confirme ce que dit @Fifi Brind_acier : le poids de la santé sur la dette des américain est énorme. Il faut juste comprendre qu’il n’y a aucune Sécu : donc, quand tu t’approches d’un hosto, tu as les prix des soins non mutualisés. En France, le prix « entier » d’une jambe cassée simple aux urgences, c’est entre 2000 et 3000 €, donc oui, un pansement (pas un un truc pour gosse avec Dingo dessus, mais un pansement d’infirmière auquel tu as accès après un diagnostic d’un médecin urgentiste, ça ne me semble pas excessif à 600$.

    C’est précisément pour cette raison que nous avons la Sécu et qu’avant la Sécu, il n’y avait que les bourgeois qui avaient les moyens de se soigner correctement.
    Si tu as une ALD, une année de prise en charge, surtout avec des médocs de pointe (genre trucs cardiaques ou Sida ou anticancéreux), ça démarre autour de 50 000 € et ça grimpe très vite dans les tours.

    Mais voilà, les Américains jeunes et en bonne santé sont ravis de ne pas payer pour les autres…
    Quand ils ont ensuite une famille avec des problèmes de dents et de lunettes, là, ils commencent à serrer le cul pour ne pas perdre leur bon boulot de winner et l’assurance santé d’entreprise qui va avec. Quand le père de ma famille aux USA a changé de boulot, ils se sont tous dépêché d’aller que le dentiste et l’ophtalmo, tellement ils avaient peur que la nouvelle mutuelle les couvre moins bien ou pas du tout.

    Après, quand tu choppes une maladie grave, ben, t’es cuit : ta boite finira par te virer et l’assurance par t’annoncer que tu coutes trop cher. Là, tu vends ta maison et tout ce que tu avais réussi à accumuler.

    La même logique pour l’éducation des enfants. Personne ne veut mettre au pot pour les gosses des autres et surtout pas des pauvres, sur fond de grosse compétition.
    Du coup, une éducation qui garantit un bon boulot coute un bras. Les familles s’endettent et encore mieux, les étudiants commencent dans la vie avec des dettes énormes qui garantissent leur très grande soumission au système, à leur boite et leur manque total d’envie de solidarité.
    Aujourd’hui, pour donner une petite idée, l’encours de la dette de l’éducation des ménages est supérieur à celui de la dette immobilière au début de l’année 2017 !

    La fabrique des pauvres se porte aussi très bien aux USA, les pays des winners !



  • Monolecte Monolecte 27 janvier 2018 12:18

    @Ciriaco
    C’est bien sûr de la com’. La consultation, c’est la version moderne de la commission, brillamment résumée par Clémenceau : « Quand on veut enterrer un problème, on créé une commission ».

    Un peu, aussi, comme les politiques de ville → soit-disant des plans d’aide aux quartiers où l’on parque les pauvres (donc, problème simple : on sort les gens de pauvreté et il n’y a plus de problème de quartier pauvre !), mais en fait, à chaque nouveau plan, on commence par des diagnostics, des études, des rapports à la con, tout cela arrose toute une petite nébuleuse d’agences de com’, de consultants, parfois des sous-officines d’élus ou de partis, avec des salaires plutôt confortables. Au bout de quelques années, l’enveloppe est vide, les experts et leurs potes ont fait du gras et pas un euro n’a « ruisselé » (à ce niveau-là, on peut parler de théorie du suintement) jusqu’aux principaux intéressés, les habitants des quartiers.

    Toujours la même merde, sauf qu’on pourra dire qu’on a consacré telle grosse somme pour des quartiers qui, vraiment, ne font aucun effort pour sortir de la merde dans laquelle, manifestement, ils se complaisent…

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