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N.E. Tatem

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  • Premier article le 28/12/2006
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Derniers commentaires



  • N.E. Tatem N.E. Tatem 21 janvier 2009 00:07
    Salut.
    Les nuances que distille cet article relèvent bien d’une caste que tous les opprimés de la Terre connaissent. Depuis la spoliation des Indiens des Amériques de leurs terres et l’anéantissement colonialiste de tels peuples, les idées suivantes que j’ai prises de ce sujet s’accordent à nier aussi bien des vérités historiques que l’action humaniste que recèle les marches inéluctables vers toutes les formes de liberté. 
    • "... la réintégration de quatre millions cinq cent mille dits "réfugiés" au sein même d’Israël est une revendication impossible, or, c’est sur cette revendication même que les Accords d’Oslo ont capoté, ce qui a autorisé Arafat à lancer la première Intifada, les coulant définitivement..."
    • "les milieux gauchistes et ultra-tiersmondistes qui ont toujours nié toute volonté de puissance venant des "dominés"
    Nous sommes devant une situation claire, il s’agit d’un peuple à qui sa terre lui est, comme un tapis, retirée de sous ses pieds. Et le colonialisme des siècles antérieurs s’est soldé par des indépendances.
     Le contexte a changé. Aujourd’hui la parole est donnée à l’artisanal roquette, Kassam, qui n’a jamais transité par les tunnels qui, eux, servent à 99% à la nourriture ainsi que le lait pour bébés ou les médicaments. Et 1% à quelques flacons de bière et de vin, interdits par le Hamas et que cela lui déplaise, commandés par les poètes restés pour mourir et combattre à Gaza.
    Heureusement que le mouvement, par dialectique de la conscience humaine que certainement l’auteur de l’article comprend, avance sur la perception des événements qui accompagnent et jalonnent l’évolution des humains.
    Il vient de signaler que le dernier bastion colonialiste, au niveau terrestre, reste dans les démarches et postures de violence. Le colonialisme qui se disait civilisateur, se targue maintenant de se déclarer démocratique. Israël outre que c’est un fief sacralisé, outrageusement par le sionisme dévoyé qui a cherché une patrie juive dans les parages sud-américains (les malouines) puis côté africain, est nous dit-on la meilleure, la seule et la plus perfectionnée démocratie du Moyen-Orient et même exemplaire pour le monde.
    Heureusement que cette notion de la cognition des valeurs propres à l’humanité, progresse. Nous avons vécu ce jour l’investiture de Barack Hussein Obama à la tête de la première puissance, et dans son discours d’investiture. Le 44ème président des USA a clairement, eh oui, lui aussi il est conséquent dans le sens qu’il s’accorde de saisir les leçons de l’Histoire, fait allusion à une nouvelle appréhension des relations avec le monde musulman. Et l’offensive de Tsahal constitue bien, une épreuve et un test, un crime avant l’heure… S’il y a un sens pour l’opinion américaine, à l’opération « Plomb Durci » qui littéralement vaut « Balles Mortelles », c’est bien qu’un certain Jimmy Carter défend becs et ongles et qui incite à discuter avec les élus du peuple de Gaza, le Hamas.
    Je vous invite à consulter un de mes sujets sur Agoravox, concernant cet ancien locataire de la Maison Blanche.
    A propos de qui, à Gaza de décembre 2008 et janvier 2009, a gagné ?
     L’agression du Liban, un pays plus francophone qu’Israël, a causé plus de 10 milliards de dégâts dans les infrastructures (ponts, écoles, hôpitaux, routes...) du pays du cèdre. Le but déclaré était de libérer 2 soldats de Tsahal arrêtés, les armes à la main, sur un véhicule de guerre et en territoire libanais, par les islamistes du Hizbollah. L’offensive de Tsahal s’est soldée par une leçon édifiante de guérilla qui laissé dire à certains que si Che-Guevara était, on aurai vu sa barbe parmi celles des tenants de l’archaïque loi prétendument divine de la Chariaâ. 
     Je tiens à me prémunir de l’épée de Damoclès, du négationnisme et de l’antisémitisme, qui risque de guillotiner toutes têtes qui s’aventure de confondre juifs et Israël. Ne me passez-pas aucune expression, l’usage de cette ambigüité est monnaie.
     Par ailleurs j’insisterai que le syndrome du marais parisien, l’escroquerie hexagonale par excellence, vient de révéler la collusion de Bernard Madoff, oui les 50 milliards détourné et que la crise du mercantile libéralisme financier a jeté en pot de roses sur têtes des fous amoureux des lois du marché, avec l’Etat hébreu. Paradis fiscal et pour tous les truands qui soutirent les deniers publics et privés là où ils passent, Israël abrite un certain Aracady, juif d’origine russe. Il y a trouvé refuge et protection alors qu’il est des premiers inculpé dans l’affaire des trafics d’armes qui mêle Pasqua et le rejeton de Mitterrand. Comme le temps suit son inexorable suite de jours, la standardisation des produits, semble par le retournement des faits ne jamais s’appliquer aux opinions.
     A propos de Leïla Chahid, ancienne ambassadrice de l’OLP en France et maintenant au niveau de l’UE (union Européenne)… Je ne peux m’en passer de préciser quelques mots de sa bio. Ils illustre la spoliation...
    Elle est issue d’une vieilles famille résistante dont le parcours est : sa famille a été déportée jusqu’au Mozambique pour des colons, venus de quelque-part, viennent faire main-basse sur la maison meublée… Authentique fait que l’humanité s’est toujours auto-interpelée de relayer et de rectifier.
     Cordialement. 


  • N.E. Tatem N.E. Tatem 27 novembre 2008 01:25

    OK !
     
    On ne peu naître avec le Bac ou le permis de conduire ( Dixit on ne peut pas tous savoir)
    Tatem



  • N.E. Tatem N.E. Tatem 22 novembre 2008 00:39

    Salut.

    Le doute dissipé, la victoire d’un noir sur un blanc, le rêve a accouché une rélaité !

    Cependant il y a un brin d’irrationnel dans cet article ? Il a plu à Abidjan, de furtives étoiles filantes ont déchiré le ciel serein de "Tata-Wine"... Un patelin lunaire !

    Je dois reconnaître que cette vision théologique d’un fait politique aurait fait un tabac aux States !

    Aux USA le pays du créationnisme par excellence, on a prié pour John McCain. Mais le créateur semble assouvir le voeu de celui qui ne l’a pas sollicité en public. 

    Peut-être que Barack Hussein qui fréquente l’APAIC (Le puissant Lobby du judaïme), qui porte le même prénom que feu Saddam et qui fréquente l’église... priait secrétement ses dieux... Mon voisin de paliers, contrairement à mon meilleur ami un athée, il en a dix. 

    Si l’auteur me permet de reprendre l’un des passages de son sujet "...nous pourrions dire que la politique est un folklore pour divertir le peuple..." Cette interprétation est une dégradation (abaissement de grade) et une injure à la science politique comme science humaine et sociale. La politique, par respect à ceux qui s’y adonnent, est un acte de dévouement. Une lutte concrète pour exécuter ou exercer l’idéologie (sinon la philosophie que préfèrent certains lecteurs) à laquelle croit l’acteur en politique. Et c’est même l’acte de civilité (née en Grèce antique) que l’être humain a connu en accèdant à son étape historique qui institutionnalise la réflexion et l’action avec autrui, non pas pour chasser un gibier tel que le faisait l’homme des cavernes, mais pour gérer la chose publique. La politique est le propre de la cité, un geste d’urbanité.

    Par contre je ne peux croire que l’étape du livre, de l’industrie et celle du texte soit dépassée par l’oralité. C’est le recul vers l’oralité comme le précise même cet article.

    Il est erroné et dans la rationnalité des choses que la communication (En fait parmi mes diplômes, je suis titulaire d’un master en communication COOP des associations et des organisation, après ...) annihile le verbe, le texte et le visuel. 

    Car l’auteur insiste sur la marche-arrière vers l’oralité, ce qui n’est point le passage vers une culture savante. C’est même une décadence que l’humanité s’en passe de commettre. L’oralité est la forme primaire de communication. Même si cette dernière dans sa forme moderne est visible, comme semble le croire l’ateur sur uniquement son ordi et par le méddium qui lui est donné de trouver, dit-il. On ne revient pas au passé... On arrive à numériser le texte, l’image... Ils ne sont jamais oraux mais accèdent à une transcription plus poussée dans les systèmes et canons du savoir.

    DESOLE ! Il y a tout un langage derrière toute communication. Il est (ce langage qui une une forme textuelle rigoureuse et obéissant à des règles très poussées -loin de l’orthographe/grammaire) d’une intelligence inouie et d’un raffinement scientifique, dans cette ére de com que LE FAMEUX HTML basé d’abord et surtout sur l’écriture, véhicule. Il faut les lecteurs d’Agoravox sachent qu’une image (sur les autoroutes de la communications) est surtout un texte écrit dans un langage qui permet son transfert (couleurs et dimenssions respectées) via cette chère et indéchiffrable COM.

    Que cela ne soit des connaissances de Yrom, sans ce langage écrit AGORAVOX ne pouvait pas communiquer.

    Voici un morceau de l’interveanant Easy, dans ce forum : 
    "L’écriture, qu’elle soit sur argile, sur marbre, vélin, papier ou écran plasma, reste la Mère de tous les Media offrant accès au Pouvoir. " smiley

    A propos de "courant principal" (sic) et WASP, je suis obligé de revenir aux élections de Bill Clinton et de G.W. Bush pour des seconds mandats. Le premier souffrait d’un problème d’adultère (un rapport sexuel avec une des ses secrétaires) et le second de son va-t-en guerre. Ils ont été réélus parce que la société des States, qu’Yrom semble connaître sans maîtriser ses profondes croyances, s’en passe de l’intégration. Les américains sont rationnalistes et cartésiens. 

    Barack Obama, l’africain d’origine est celui qui présente une alternative rationnelle d’abord. Il est l’homme d’une situation... Le père Bush n’a pas été réélu pour une seconde mandature. Parce qu’il ne pouvait être d’une heure où d’autres choix ne figurent pas dans son programme.

    Obama reste un président américain vraiment proche du fameux rêve yankee !

    Cordialement. 




  • N.E. Tatem N.E. Tatem 15 novembre 2008 12:00
    J’ai lu dans l’un des commentaires du forum que le citoyen-journaliste a des difficultés pour accéder à l’information. Du fait, entre autres, qu’il soit démuni d’une carte de presse.

    J’ai glané ce texte très en l’air-du-temps, c’est-à-dire qu’il répond grandement à la nouvelle pratique du journalisme. 

    Il explique que les sources sont désormais ailleurs que par les réseaux traditionnels.

    En créant une alerte-Web concernant un sujet quelconque, un flux quotidien parvient aux journalistes de l’ère nouvelle.

    Les professionnels, ceux ayant une carte presse, bien plus souvent qu’il y a des années, y vont aussi sur le Web. Ils y trouvent des sujets souvent méprisés ou évités (donc volontairement) ou rares qu’on ne croise pas de la manière d’être au bon moment et au bon lieu pour créer la chose diffusée. Le cas du tsunami... 

    En fait il s’agit des infos faites à partir d’investigation poussée qui peut rapporter des sujets et des interprétations non-dits officiellement et par les canaux en place, communément le scoop. Et à partir de ce qui est déjà en place.
    Le Canard enchaîné s’est fait une spécialité depuis longtemps. Dernière en date, de ses sorties en scoop, la frappe des talibans contre le bataillon français en Afghanistan. Elle s’est faite d’une info qui existe mais le canard s’est déchaîné à fournir les détails non-dits. Il s’agit de tuyaux à partir de contacts crédibles.
    Il revient à chaque journaliste d’avoir son carnet d’adresses et de coordonnées assez fournis pour vérifier ou enrichir ce qu’il sait déjà. Ou bien et certainement être mis au parfum en primauté d’une info pour qu’il en fasse le scoop. Quand le journaliste (citoyen ou pro) a un tel trésor, il peut créer l’info, comme s’il a été aux bons « endroit et moment ».
    Les contacts, souvent informels, se situent généralement dans les hautes sphères. Mais les témoins aussi…
    A propos des rédacteurs d’Agoravox, j’ai personnellement songé au badge rédacteur. Peut-il servir (pour ne pas dire carte) d’une manière crédible d’identifiant au rédacteur pour authentifier une info à une source supposée pour l’aider à vérifier la véracité de ce qu’il met en ligne ?
    Comme Carlo a été contacté par le secrétariat d’Etat chargé de la prospective, tout en étant sceptique, avec d’autres intervenants, de cette collaboration qui ne peut se départir de la logique « du fait du prince » toujours et naturellement en quête d’auxiliaires pour relayer son orientation ou répondre à son besoin. Car actuellement et avec le Web la communication échappe aux gouvernants...
    ...Il est temps de faire le pas, avec le contact de Carlo. Exiger (ou solliciter aimablement puisque la formule de politesse est une exigence « d’énarques » pour s’adresser à l’administrant) une synthèse entre le citoyen journaliste, qui existe déjà avec les blogs qui ont un lectorat consistant par le nombre de visites malgré l’absence d’officialisation, et celui qui officie au niveau des médias. Il faut d’abord imaginer la formule, ça sera une révolution ! En fait que devient le ministère de la communication ?

     Mais je reste partisan, personnellement, de ne jamais faire usage d’une carte d’un informateur officiel et attitré.

    Bonne lecture, cordialement.
     

    ARKANTOS  : CONSULTING De plus en plus de journalistes pigent sur les médias sociaux

    Par La Rédaction, le 22 octobre 2008
     

    Selon une étude réalisée par Bulldog Reporter et TEKgroup International Inc., les journalistes utilisent de plus en plus les médias sociaux pour couvrir leurs reportages. Les médias sociaux constituent donc pour eux une source inestimable d’informations.

    Pour la deuxième année consécutive, les résultats révèlent à nouveau un changement important chez les professionnels de l’information dans leur pratique d’Internet. Près de la moitié des journalistes disent visiter l’espace presse d’un site web institutionnel au moins une fois par semaine, et 87% le faisant au moins une fois par mois.

     Blogs, médias sociaux et RSS

    Près d’un quart des journalistes ne surfent pas encore sur les blogs, mais 29% lisent régulièrement plus de 5 blogs à la recherche de sujets, comparés aux 25% de l’année passée. Près des 3/4 suivent régulièrement au moins 1 blog, comparativement à 70% en 2007.

    De plus en plus de journalistes visitent des médias sociaux (+ de 75%) contrairement à l’année passée (67%). Près de 38% des journalistes disent visiter un média social au moins une fois par semaine dans le cadre de leur activité contre seulement 28% en 2007. Plus de la moitié (53%) avouent visiter des sites comme Facebook ou Youtube au moins une fois par mois (hausse de 44%).

    19% sont abonnés à au moins 5 flux RSS de sites d’information, blogs, podcasts ou videocasts, contre 16% en 2007. 44% sont abonnés à un seul flux.

     Première source d’informations

    La majorité (76,4%) des journalistes disent utiliser les magazines online locaux pour suivre l’actualité, tandis que 63% lisent le New York Times Online, 51% Google News et 32% visitent Yahoo ! News pour rester informés.

    J’ai lu dans l’un des commentaires du forum que le citoyen-journaliste a des difficultés pour accéder à l’information. Du fait, entre autres, qu’il soit démuni d’une carte de presse.

    J’ai glané ce sujet. Il explique que les sources sont désormais ailleurs que par les réseaux traditionnels. Les professionnels, ceux ayant une carte presse, y vont aussi sur 
    ARKANTOS  : CONSULTING De plus en plus de journalistes pigent sur les médias sociaux
    Source : Tekgroup



  • N.E. Tatem N.E. Tatem 14 novembre 2008 11:48

    Bonjour.

    Il est réjouissant, le constat, qu’AGORAVOX persiste sur sa lancée. Puisque je crois avoir lu de Carlo par le passé, avec un léger ton alarmiste, que d’autres organes sont arrivés en ligne. D’ailleurs je reprends un passage de son article de ce jour : « D’autre part, le succès d’AgoraVox a donné plein d’idées à certains médias et à des journalistes qui se sont lancés dans des projets de médias plus ou moins participatifs ». Qui manifeste une préoccupation, même quelconque, de faire davantage d’Agoravox un outil où le citoyen dispose d’une tribune pour une intervention journalistique digne d’une mission civique informative, d’où la caractéristique « participative » sur laquelle insiste Carlo.

    Ce n’est qu’enrichissement de la toile qui, d’après Google contient, et uniquement pour ce puissant –ce qu’il a recensé engrangé à son niveau-, 1000 milliards d’adresses (url) distinctes, annonce d’août 2008, pour les pages qu’a recensé ce moteur de recherche californien. Entendre par « adresse/url » que chaque article, a ses propres coordonnées. Cette pluralité, est le fondement essentiel de l’exercice de la démocratie. Elle permet l’émission d’avis divergents et le traitement (ou bien appréciation) positive, de part les différences, de l’actualité.

    L’url ci-jointe et visible avec ma signature de mon modeste site en est une, parmi ces germinations saisonnières après crachins. Je tiens à indiquer que ce n’est nullement pour détourner lecteurs, intervenants et autres d’Agoravox que je la cite présentement. Elle figurait parmi les données de mon profil et mes articles. D’ailleurs je continue, selon ma disponibilité, à écrire avec AGORAVOX et je participe dans certains forums d’articles.

    La qualité des présentations et des contenus, comme l’émission d’une culture convenant à la diversité du lectorat, donne le résultat escompté en échec ou réussite entre les sites. Pour ces journaux, que je nommerai comme l’a déjà définit un vocable créé et très usité au Canada, pays auquel la langue française doit déjà le terme « courriel », de la Cyberpresse, la qualité devait trancher. Seulement nous sommes dans une époque où le genre « people » engrange le gros du peloton des lecteurs, notamment les jeunes. Les articles du journalisme de société, et autres articles de fond, qui a toujours été le plus prisé est sous perfusion, l’attrait du bébé-Dati ou bien le futur rejeton Carla-Sarko est plus prisé.

    Au sujet « des mêmes critiques à l’égard du journalisme citoyen », il faut bien qu’à l’avancée de la caravane, la meute fasse entendre ses réactions… Sinon ce passage ne fait pas évoluer. Qui n’avance pas, recule !

    D’ailleurs je rajouterai, en matière d’évolution qualitative et quantitative, avecCarlo, et pour exprimer tous mes encouragements, qu’Agoravox est considéré, le site Web, second au niveau mondial pour le nombre consultations d’articles de cyberpresse, malgré le nombre de francphones dans le monde. Après un journal (exclusivement sur Internet) coréen dont le nom m’échappe du fait de ma méconnaissance de la langue qu’il utilise et l’identifie. Avec la précision que c’est bien les journaux et agences classiques qui sont nés depuis des décennies en version papier qui ont le plus de visiteurs avec un nombre toujours appréciable de lectures. Bien sûr, il faut saisir ici aussi la nuance entre consultations (qui désigne le lectorat) et visites (un simple accès au site).

    Par ailleurs, à propos de la naissance d’autres journaux sur le Web français. Ce n’est pas uniquement le rayonnement d’Agoravox lors des élections de 2007, le fait circonstanciel propre à la France, qui a donné idée aux journalistes, souvent licenciés des journaux de presse écrite, à se lancer.

    L’évolution de la « culture Internet » a sédimenté la population. Et puis qui s’y détournerait, particulièrement au niveau de la corporation professionnelle de tous les médias ? Barack Obama vérifie, ce jour-même, les comportements sur le Web de ses collaborateurs avant tous autres de leurs réflexes ou indications sur leurs CV.

    Les présidentielles de 2007 ou les prochaines intéressent aussi ailleurs et certainement seulement lors de la période où elles s’y déroulent. Ce qui est différent de l’actuelle crise dite plus souvent « financière » ou « du capitalisme ». Elle concerne cette période mais son étalement est quasi universel qu’on ne peut guère le comparer aux présidentielles françaises. A propos de la crise, je lui préfère personnellement la désignation « du dépassement historique du capitalisme mercantile ».

    Bon courage Carlo.

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