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  • ndnm 29 août 2008 11:05

    "Ce qui est remarquable c’est le changement de ton adopté par Medvedev qui apparait enfin pour ce qu’il est : un dure. Contrairement au portrait de toutou de poutine que l’on en faisait dans nos chers médias."

    Moui... enfin, le durcissement de ton n’empêche pas grand chose au contrôle de putin sur le gouvernement russe. C’est vrai qu’en France en matière de toutou on a surtout des incompétents comme Kouchner (dont la ressemblance avec Douste-Blazy m’effraie de plus en plus) alors ça fait drôle de voire une "voix de son maître" qui à l’air de "quelque chose" (aussi terrifiant que soit ce quelque chose). Mais, c’est juste une question d’habitude et surtout il n’y aurait rien de surprenant à ce que putin, lui-même, ait été au moins aussi dur dans ses positions... c’est quand même pas un tendre le vlad (un type qui gaze ses compatriote pour faire la nique à une poigné de "terroristes" c’est loin d’être un bisounours ou un fin diplomate...).





  • ndnm 28 août 2008 12:38

    Voltaire, votre réponse est pour le moins étonnante... 

    Vous dites donc, qu’en Georgie, des georgiens (qu’il est raisonnable, vous en conviendrez de distinguer socio-culturellement des ossétiens) ont été déplacés (par qui ? sous quelle autorité ?) de la province de l’ossétie au motifs qu’ils refusaient l’indépendance de la dite province ?

    Donnez donc plus de détail et plus de référence car en l’état votre propos semble bien confus et bien improbable.

    les faits sont que cette année un référendum a eu lieu en ossétie et que 90% des habitant de l’ossétie souhaitaient l’indépendance. Les faits sont qu’hélas, suite à la déclaration d’indépendance des georgiens ont fuit le territoire ossète, dans des conditions qui sont humanitairement regrettables (euphémisme) mais hélas classiques en ce genre de situation et que la communauté à toléré au kosovo.

    Le déplacement des geogiens aurait donc été organisé pour rendre majoritaire la volonté d’indépendance ? je répètre donc ma question : par qui et sous quelle autorité ?
    L’éventualité d’un gouvernement georgien qui vide un territoire pour laisser place à une situation conflictuelle car jugée intolérable par ce même gouvernement.

    si vous accreditez cette thèse, vous donnez du grain à moudre à ceux qui prétendent que le conflit fut planifier par d’aucuns... 



  • ndnm 26 août 2008 16:09

    "Tout sondage, toute mesure sur un échantillon statistique comporte ce qu’on appelle une marge d’erreur. Celle-ci est une propriété intrinsèque à la mesure"

    Je dirais plutot qu’il existe des marges d’erreurs. En statistique il existe deux manières pour une mesure d’être de mauvaise qualité :

    - la dispersion : qui indique les variations de différentes mesures sur une même population. (l’image classique est un groupe de flechettes courvant l’intégralité de la cible).

    - le biais : qui indique un décalage systèmatique entre les mesures et la réalité. (l’image classique est un groupe de flechettes très concentrées autour d’un point qui est pourtant bien éloigné du centre la cible).

    Ce sont effectivement des imprécisions inhérentes à la méthode fut-elle parfaite. Ces paramètres sont peu ou prou estimables pour peu qu’on utilise des méthodes scientifiques d’échantillonnage ce qui n’est en pratique pas le cas (la plupart des sondages sont basés sur la méthode des quotas qui n’a absoluement aucun fondement théorique).

    Il ne faut surtout pas oublier, cependant, de rajouter les imprécisions sondagières venant du peu de probité scientifique des-dits instituts dans la méthodologie d’enquête. Scientifiquement, la méthode des quotas n’a que peu de valeur. Empiriquement, on la dit aussi valable que la méthode aléatoire mais aucune étude scientifique de la chose ne le démontre (voire même le contraire)
    Quand bien même, cette fameuse méthode des quotas n’est bien souvent que très mal appliquée.... en particulier lorsque certaines cibles sont difficile à joinde ou à faire répondre il arrive souvent que les instituts aient recours à des méthodes médiocrement scientifique (intérogation de l’entourage, constructions d’échantillon au petit bonheur la chance et redressement atrocement distrodants)...

    Un autre facteur important est la neutralité de l’institut face au sujet d’étude.

    - Un sondage ne sort pas de nulle part. Il est commandé par un client à un prestataire. Le reflexe commercial de survi du prestataire conduit ce dernier à vouloir faire plaisir à son client. Si on prend en compte le fait que la pertinence scientifique n’est pas ce à travers quoi le client fonde sa satisfaction, on comprend aisément que les instituts ont un net interet à présenter des sondages dont les résultats sont flateurs pour leurs clients.
    Cela ne se traduit en général pas, dans la pratique, à un bidonage des chiffres (encore que... ) mais à une asymétrie à l’exament des résultats. Par exemple, le candidat C commande un sondage à l’institut I . Si les résultats (redressés etc... ) sont très défavorable à C alors I va les reverifier jusqu’a ce que le dernier espoir qu’il existe un erreur soit épuisée. Si les premiers résultats sont favorable à C, le nombre de controles est souvent réduit à néant. Au pire, le sondage ne sera pas publié et tout le monde l’oubliera.

    Ensuite, il y a ces fameux redressement. Les sondeurs professionnels disent pudiquement que c’est le "métier" qui permet de faire les bons redressement. D’autres moins pudiques parlent de "nez" (ça sent déja le pifomètre) . Les plus réalistes parlent de capacité d’enfumage... 
    Il y a effectivement une part de bon sens à se dire que certains electeurs du FN seront réticent à clamer leurs choix electoraux. Cependant, un esprit équilibré et connaisseur de ses compatriotes reconnaitra sans peine que certains autres clameront volontier voter FN pour provoquer une réaction (le fameux "vote contestataire" du premier tour). Seul un escroc pourrait prétendre, à une date donnée, savoir quel groupe est plus important que l’autre.

    Les sondages en sortie des urnes sont redressés, mais sur des données objectives. Deplus, ils présentent une énorme différence avec les autres types de sondage : on ne pose de question à personne ! On observe les résultats des dépouillements (sortie des bulletins de l’urne) et on peut ainsi en choisissant les bureaux de vote qui ont montré dans le passé la meilleure représentativité extrapoler le resutlat final. 

    = > leur résultat n’a aucun enjeux de communication ou commercial
    = > aucune question n’est posé mais un simple observation incontestable est faite
    = > leur redressement est fait de manière scientifique et non suivant un méthode secrete (dite du pifomère)

    dès que le reslutat du sondage a une influence sur la santé économique du sondeur (par l’intermédiaire du client)
    dès qu’il s’agit d’une réponse à une question (à la quelle on peut mentir)
    dès que les resultats bruts et la méthodologie précise d’échantillonage ne sont pas donnés ...

    on peut se dire qu’un sondage n’a comme valeur que les sous que l’institut à toucher pour le réaliser.



  • ndnm 26 août 2008 14:25

    Interessant éclairage... 
    il me semble que le fameux "l’important c’est de participé" est, de plus, une citation apocryphe ...

    Autre fait que l’on a porté à mon attention récemment et qui mérite, je pense, d’être diffusé : cette célèbre tradition de la flamme, pour autant qu’elle fût pratiquée dans l’antiquité, n’a été remise au goût du jour en 1936 ; parait-il dans une volontée de flater le régime nazi... 
    Certe la proposition de raviver la flamme chaque année était antérieure à l’accession du régime nazi au pouvoir (accession démocratique, rappellons-le à ceux qui font de la démocratie un gage ultime de qualité) mais "inaugurer une tradition" est un genre de symbole que l’intelligence aurait reservé à d’autres...





  • ndnm 14 août 2008 16:39

    Bel article, clair et concis...

    A tous les non-comprenant donc le raisonement se limite à voire trois lettres partout :

    L’objectif de l’article n’est pas de dire si la vieille peripatéticienne à eu raison ou tord de voter comme elle l’a fait.
    Ce qui est remis en cause dans l’article c’est honnêteté du sondage. En l’occurence ça n’est pas brillant. Cette technique de questionnement biaisé est très courante comme type de manipulation en amont. Cela s’appelle un choix forcé et il s’agit de l’arme favorite des sophistes de bas étage comme notre raz-du-sol. Pour ceux qui ont la mémoire courte : "vous preferez ma vision de l’immigration (choisie) ou que des hordes d’étrangers viennent égorger vos femmes, vos compagnes ... ?" ( à vomir et à pleurer que ça ait marché)

    En mathématique, et plus généralement en logique, lorsqu’une disjonction de cas n’envisage pas tous les cas possibles (par exemple et sans que cela soit exhaustif : que Lang ait participé à l’élaboration du texte puis voté son adoption par pure carrièrisme - dont il est coutumier) on dit à juste titre que le raisonement est nul et non avenu...

    Ce sondage est donc scientifiquement nul et non avenu ... il n’apporte aucune autre information que l’intention du sondeur.

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