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Neos

40 ans, juriste.
Favorable à la mise en place de listes transnationales d'eurodéputés en 2014.
Je soutiens l'initiative du Groupe Spinelli (Parlement européen).

"Si l'État national était la seule forme d'organisation politique pour les Européens, si nous ne savions pas regarder au-delà de lui comme les Grecs ne surent regarder au-delà de la polis, nous n'aurions qu'à constater que nous sommes arrivés à la fin de la civilisation européenne, nous résigner et attendre que notre destin s'accomplisse."
 Altiero SPINELLI, Turin, 6 décembre 1957

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  • Premier article le 20/10/2006
  • Modérateur depuis le 03/11/2006
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Derniers commentaires



  • Neos 3 août 2011 14:00

    @ bd blogueur

    Le référendum est reconnu comme un outil institutionnel en France.

    Ce n’est pas le cas dans la plupart des Etats de l’UE, dont les lois fondamentales ou les us et coutumes, ne prévoient aucunement son utilisation.



  • Neos 3 août 2011 13:57

    @ Paul Oriol

    C’est très intéressant la politique fiction, mais j’évoquerais quelques limites à votre proposition :

    - le suffrage universel est certes un concept utilisé en France, mais il n’est pas reconnu comme un mécanisme institutionnel dans tous les Etats membres de l’UE ;
    - le principe d’un texte à valeur constitutionnelle a été proposé aux 25 (à l’époque) peuples de l’UE en 2005, avec pour objectif de recueillir une validation populaire (en France via un referendum). Les français l’ont rejeté ;
    - l’Union européenne fonctionne sur des valeurs telles que la solidarité, l’unité, le respect de la diversité... etc. L’adoption d’un texte majeur, tel que celui d’un traité ou d’une loi constitutionnelle ne peut se faire qu’avec l’ensemble des membres ... ou ne pas se faire ;
    - en 2005 et 2006, lors de la période de réflexion des 25, un consensus est apparu clair : on ne peut pas aller + loin sans avoir les grands Etats/peuples (comme la France) dans le processus. Il a donc été décidé de retravailler le texte afin qu’il puisse être accepté par tous. Le choix de ne pas representer ce texte devant les citoyens, via un referendum, a été la décision du Président de la République.



  • Neos 3 août 2011 13:48

    @ Yvan Bachaud

    Je vois bien ma boulangère - que j’adore - rédiger à la va vite quelques dispositions constitutionnelles, avant d’aller chercher sa fournée. Pourquoi pas.

    C’est malheureusement une hypothèse tout à fait absurde.



  • Neos 2 août 2011 15:38

    @ Tonio

    L’article pose avec un certain intérêt la question de la représentativité et de la manière d’organiser la démocratie dans une circonscription, un espace.

    La démocratie directe a été inventée pour faciliter l’implication des citoyens dans la vie publique quotidienne, et leur permettre de participer activement à cette vie publique. Le concept « citoyen » prend alors tout son sens et lui permet d’agir pleinement, particulièrement dans des espaces politiques restreints et sans besoin de représentant, à la chose publique, la « res publica ».

    La situation est tout autre lorsqu’il s’agit d’organiser la démocratie directe à une très grande échelle, en l’occurence avec un espace de 4.400.000 Km2 et de 500.000.000 hts. Ici, désigner des représentants est nécessaire pour permettre de porter la voix d’un aussi grand nombre de citoyens auprès des instances dirigeantes de l’UE.



  • Neos 2 août 2011 15:21

    @ Guillaume Boucard

    Article intéressant qui met le doigt sur une réalité de l’actualité européenne au quotidien.

    Il est dommage cependant que votre papier n’analyse pas plus en profondeur la réalité de cette « coopération » franco-allemande au jour d’aujourd’hui. Alors que l’Allemagne a beaucoup évolué sur son positionnement politique au regard de l’UE depuis l’arrivée de Mme Merkel au pouvoir, préférant la voie d’une sagesse frileuse à celle d’un enthousiasme mesuré, celui de la France a suivi les gesticulations de son Président, particulièrement pendant la Présidence française du Conseil, ainsi qu’une méthode de l’initiative précipitée plutôt que d’accorder sa confiance à un système communautaire qui priorise la consultation et la recherche collective d’accords entre les 27.

    D’un côté une politique europhile glaciale et particulièrement retenue, de l’autre une vision exclusivement nationale et égoïste de la manière de mener la gouvernance dans l’UE.

    Cette dichotomie des méthodes et des approches politiques est symptomatique, selon moi, du mal-être qui gangrène la relation franco-allemande aujourd’hui (..)
     

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