• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Nicole Cheverney

Nicole Cheverney

L'ogre a dîné.
Peuples ! Payez la carte.
Béranger

Tableau de bord

  • Premier article le 16/08/2014
  • Modérateur depuis le 22/09/2014
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 113 3135 6687
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 4758 4303 455
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 10 août 2023 21:37

    @chantecler

    Bonsoir, permettez-moi de faire ce parrallèle : avant lui il y avait eu Napoléon qui se prenait lui aussi pour un nouveau César. Et je constate ses racines latines également. Je pense que tout le XVIIIe et le XIXe siècle, les petits italiens ont été bercés par l’Histoire ineffaçable de l’Empire romain, et la nostalgie d’une grandeur révolue. Napoléon comme Mussolini se sont peut-être identifiés à cette histoire jusqu’à confondre leur propre destin à celui de leur pays. Ces deux êtres au fond n’étaient pas si différents, sauf la provenance de leur milieu familial et culturel. Napoléon, milieu bourgeois, très instruit, ayant fait une école militaire où ses camarades se moquaient de lui et l’appelaient : « paille au nez », ce qui l’avait d’apèrs Max Gallo dans son Napoléon, traumatisé et peut-être forgé en lui un désir de revanche. Mussolini, c’est la misère et une enfance rude qui ont forgé cet homme au départ soucieux de justice sociale, mais comme tout latin désireux d’ordre et d’organisation, du culte du chef. 
    Par contre, tous ces hommes qui devinrent des « dictateurs », ne se sont jamais embarrassés de principes, dans un assemblage hétéroclite des gens qui les rejoignaient. Puisqu’ils pronaient la discipline, l’ordre et l’obéissance. 
    Car la grande question est là, comment gérer une diversité tout en respectant les uns et les autres ? Pour des dictateurs, cela ne pose aucun problème, pour des enseignants nourris au biberon des droits de l’homme, cela va immanquablement provoquer chez ces derniers, des cas de conscience. Et je me demande finalement, s’il n’est pas plus facile d’être un dictateur en faisant tabula rasa, qu’un simple institueur ou professeur confronté à des problèmes parfaitement insolubles dans ce métier. 



  • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 10 août 2023 21:23

    @Bendidon ... Wind Pilgrimer

    Bonsoir, merci d’apprécier cette série d’articles. Par laquelle, on constate que le fascisme, création de Mussolini, a pu faire son terreau sur le mécontentement à la fois de la gauche et de la droite, du peuple et de la Bourgeoisie. 
    Et je vous suis parfaitement lorsque vous dites : la haine n’est pas l’exclusivité d’un seul bord, mais de deux. C’est le fanatisme qui conduit des foules enrégimentées et les conduit hélas à des actes répréhensibles. Les milices de MUssolini qui se sont illustrées par des actes de violence ont recruté leurs membres parmi le peuple, où régnait une grande misère, en leur faisant miroiter un avenir radieux, et en désignant toujours un bouc émissaire . En l’occurence dans l’Italie mussolinienne, les "rouges. 
    Ce fut aussi le cas pour Mao, et Staline, (dont je prépare également une longue série d’articles). Ce qui est très intéressant dans l’Histoire de ces hommes qui ont révolutionné tout le XXe siècle, ce sont les ressorts profondsqui les font agir, avancer et entraîner. C’est un des grands mystères de leur capacité à déplacer des foules. 



  • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 5 août 2023 07:40

    Bonjour SPQR, 

    Tous les commentaires que vous écrivez sur le fil de mes articles disparaissent. Ce n’est pas normal. Par qui ? Des choses anormales se passent sur Agoravox.

    Prenez contact avec nous. Merci d’avance.

    [email protected]



  • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 4 août 2023 13:31

    @cevennevive

    Bonjour cevennevive, je suis tout à fait synchro avec votre constat. Derrière tous les épisode qui ont marqué la déstabilisation de l’Europe, France, Italie, Allemagne, etc. on retrouve toujours la patte du gvt british. La perfide Albion ! 
    Je dirais que Mussolini, au départ était sincère et voulait le bien des Italiens, de par son éducation et ses origines, mais très vite, avec son caractère autoritaire, il s’est vu emporté par l’ambition qui dévore les grands, qu’ils soient issus de la plèbe ou des patriciens, et prêts à s’allier avec le diable pour réussir. Mais je pense que c’est la le plus grand danger. En ce, Mussolini était vraiment un pur produit  même à presque 2000 ans et plus de distance historique  de la Rome antique. Vision de grandeur, amour de la pompe, du spectacle, des alignements militaires et grands rassemblements qu’affectionnaient les romains, ce côté « impérial » très latin, que nous retrouvons aussi chez Napoléon dans ses postures et ses organisations militaires. Cela reste éblouissant pour le pauvre peuple privé de ressources pour vivre, car toute cette poudre aux yeux n’est jetée que pour mieux l’égarer et lui faire adorer les fausses idoles. 



  • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 4 août 2023 13:19

    @chantecler

    Bonjour,

    OH ! Mais tu es tout excusé, c’est déjà tellement ancien tout ça ! Merci beaucoup pour ton soutien et encouragements. Je connais Ariane Bilheran, remarquable. J’aime beaucoup ses vidéos que je suis bien évidemment. Bonne journée. 
    Cordialement. 

Voir tous ses commentaires (20 par page)

LES THEMES DE L'AUTEUR

Tribune Libre Histoire Italie Climat Notre-Dame

Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv