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Obïoxoïdo

Obïoxoïdo

Flâneur, contemplatif, je m’égare
Réjoui sur tous les chemins du hasard.
Aventurier par tous les temps à perdre,
Nous irons dormir à l’ombre d’un cèdre,
Charmante vie que j’aimerais à mort,
Karma, pensée, livrés à leurs sorts. 

Tableau de bord

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Derniers commentaires



  • Obïoxoïdo Obïoxoïdo 30 octobre 2011 12:31

    De la grève dans l’air, cela fait peur ! Des centaines de vols annulés, c’est affreux ! Heureusement, la France a moins à craindre des syndicats que des actes et/ou revendications terroristes qui résonnent à cette parodie de justice marocaine . Ce jour, on ne compte pas moins de trois autres références d’attentats : « Afghanistan : attentat contre l’Otan à Kaboul, 17 tués dont 13 Américains », Turquie : deux morts et 12 blessés dans un attentat suicide », « Attentat anti-américain à Sarajevo : 17 arrestations en Serbie ». La décision de justice à propos de l’attentat de Marrackech du 28 avril 2011 cingle les attentes des victimes. Les peines sont à l’image d’une justice expéditive donnant suite à une enquête bâclée et elles ne correspondent pas à la valeur du crime perpétré. Et cerise sur le gâteau des mauvaises nouvelles, la Syrie ou du moins le président Bachar al-Assad menace l’Occident. Alors les grèves d’Air France semblent bien dérisoires par rapport à l’angoisse qui pose son voile sur le monde. L’actualité internationale s’invite dans la campagne présidentielle. Bonjour Madame ! Alors pour ou contre une intervention en Syrie ?



  • Obïoxoïdo Obïoxoïdo 28 octobre 2011 12:09

    Dans les affaires d’Etat, seule la sagacité offre la crédibilité indispensable à la réussite d’une décision politique. Les promoteurs de l’euro n’ayant pas su prévoir le mal de loin (crise des subprimes de 2007 et conséquences) aucune cure, même d’austérité, ne lui permettra de guérir. Cette monnaie ne guérira d’aucun accord à la petite semaine. Offrir 50% de discount à la dette de la Grèce attisera les demandes des autres pays membres en difficultés, c’est une certitude. Remettre au pot 100 milliards d’euros à des traders qui se comportent comme des joueurs accrocs au casino ne fera que l’effet d’une euphorie. La menace de dégradation de la note est certainement le résultat de cette agitation médiatique. On ne peut conserver l’amitié et la fidélité des français quand on se comporte comme un aventurier. La crise est loin d’être terminée. Dès lors, le sujet de l’Europe sera au coeur de la campagne présidentielle. Les divisions vont poindre à droite comme à gauche dans les prochaines semaines. Débats tempétueux et houleux en perspective !



  • Obïoxoïdo Obïoxoïdo 27 octobre 2011 10:26

    La France au sommet de son escroquerie institutionnelle livrée aux bonimenteurs de tribunes ne laisse aucun autre choix que celui imposé par le monde de la finance. Tout est marchandise. Les français comme les autres européens sont regardés sous l’aune de la consommation. La carte de crédit a remplacé la carte d’électeur. La pensée politique relève du marketing ainsi l’on vend des idées comme l’on vend des chaussettes. La mise sous tutelle caractérisée de la souveraineté française qui induit la notion de la perte de citoyenneté, ne peut évidemment pas être exclusivement l’apanage de la pensée unique que les médias nous imposent habilement. Elle est aussi du ressort du à l’indolence de cette génération issue du papy boom et plus généralement des trente glorieuses, ne laissant derrière elle que des dettes. Les dés sont pipés. La jeunesse indignée de cet état de fait devra attendre docilement son tour. La majorité dans une démocratie sénile est l’apanage de la réaction, du conservatisme contre le progrès.



  • Obïoxoïdo Obïoxoïdo 26 octobre 2011 10:11

    Moins 50% sur la dette grecque pour sauver l’euro mais aussi une technocratie à la dérive, l’heure des soldes a sonné mais aussi celle des comptes. De plan de sauvetage en recapitalisation, les solutions proposées consistent à compenser les investissements effectués par le système financier, au moyen essentiellement de fonds procurés par la création de nouveaux impôts et/ou la diminution des dépenses publiques. En vérité, nous assistons à une sorte de « chaîne de Ponzi » institutionnelle. Ne pouvions-nous pas rester à l’ECU (European Currency Unit) qui était l’unité de compte de la communauté européenne avant l’adoption de l’euro ? En toutes choses, il existe des avantages et des inconvénients mais à l’évidence un système de changes flottants auraient évité bons nombres de déboires. Les bâtisseurs européens n’admettrons jamais que leur architecture ne repose sur de bonnes fondations. Langue de bois et mensonges font l’apanage de ces incapables au service d’une caste de vampires apatrides.


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