Olivier Dusong (Oliver Starc)

 @Ouam (Paria statutaire non vacciné)

« Où le temps ne serai plus le meme vu sa courbure »

C’est effectivement un point intéressant effectivement on sais que selon la relativités d’Einstein le temps s’écoule plus ou moins vite en fonction de l’endroit dans l’univers ou la courbure de l’espace-temps peut plus ou moins être forte.

Ainsi la relativité générale et restreinte, montre que selon le point de référence le présent pour les gens sur Terre et celui pour des extraterrestres pourrait être complètement différent. Il est possible que le présent des extraterrestre pourrait être très dans le passé à l’époque des dinosaures sur Terre ou au contraire très dans le futur. Par exemple si on tombait dans un trou noir le temps ralentirait pour nous indéfiniment et alors que des observateurs sur Terre nous verrait figer pour nous, nous pourrions percevoir le futur de la Terre parce que depuis notre position du trou noir le temps serait tellement ralenti que si nous retournions sur terre on retournerait des milliers d’années dans le futur terrestre.

Tous cela devrait nous rappeler que le temps est une notion extrêmement élastique et propre aux conditions de courbure d’espace-temps de là où nous sommes dans cette univers.

C’est ce qui peut nous faire dire que si le présent est malléable la flèche du temps n’est pas forcément la même pour tous et que le temps pourrait en dépit des apparences sensorielles ne pas du tout être linéaire. C’est l’hypothèse que je fais dans mon article où notre univers pourrait être dotée de 2 dimensions supplémentaires invisibles pour nos sens la 5D (l’infini) et la 6D (l’éternité) où le temps cesserait de s’écouler et ou la position de départ de l’oeuf et d’arriver au sol pourrait être superposé dans ces autre dimension parallèles. Il n’est donc pas faux de tirer des parallèles entre la courbure de l’espace-temps et l’idée d’un univers à 6D où dans l’éternité le temps cesserait de s’écouler et ou l’effet et la causalité seraient superposés. Cela pourrait par ailleurs nous aider à résoudre le PE/MR et cela rappel d’autres théories scientifiques tel que l’univers-bloc ou ce que penses certains scientifiques tel que Stephen Hawking pour qui le temps était un hologramme.

https://dichotomieresolue.jimdofree.com/o%C3%B9-en-est-la-science/l-univers-bloc-une-hypoth%C3%A8se-scientifique-o%C3%B9-le-temps-n-existe-plus/

Le PE/MR se distingue radicalement de la philosophie de Zénon en mettant en lumière un point crucial : les divisions mentionnées par Zénon n’existent pas.

Prenons un œuf lâché du 6ème étage comme exemple : il doit passer par le 3ème étage, un passage obligé, soulignant le caractère inévitable du passage par la zone médiane. Cette zone est une réalité purement physique dont l’existence est indépendante d’une division quelconque.

Le terme « dichotomie » suggère à tort une division mentale plutôt volontaire et même imaginaire plutôt qu’une réalité purement physique. Puisque il n’y a effectivement aucunes divisions, beaucoup de penseurs ont pensé résoudre le paradoxe en faisant à juste raison remarquer que ces divisions n’étaient que mentales. Le mot « divisions » a donc induit des générations de penseurs en erreur, Aristote le premier, qui croyait résoudre le problème en démontrant que ces divisions n’existaient pas.

Le PE/MR tient à préciser que le mouvement est continu et qu’il n’y a aucune division, sans quoi le parcours serait rompu en plusieurs parties, ce qui n’est absolument pas le cas dans la réalité.

Des moitiés restantes, non des divisions

Lorsque le PE/MR parle de moitiés restantes, il évoque des lieux physiques et non des divisions. L’œuf doit les traverser, sans quoi le mouvement serait tout aussi impossible qu’un mouvement ne peut se réaliser sans son départ et sa fin. Il n’y a aucune division ici, que des passages obligés.

Là où Zénon concluait que le mouvement était impossible, le PE/MR ne nie pas que l’œuf est au sol ; il le constate aussi bien qu’il reconnaît les moitiés restantes. Il pose la question de comment le mouvement est possible plutôt que de prendre le parti pris de nier le mouvement, comme le faisait Zénon.

Si le postulat du PE/MR est que, pour parcourir une distance, un mobile doit traverser la zone médiane entre son point de départ et sa fin, il reconnaît que l’arrivée au sol de l’œuf est un paradoxe incompréhensible qui demande une explication physique, nécessitant une réponse scientifique plutôt que philosophique pour résoudre le paradoxe.

Zénon concluait que le mouvement était impossible, tandis que le PE/MR, évitant toute affirmation catégorique, interroge sur le pourquoi et le comment de l’arrivée de l’œuf au sol. Sa démarche vise à favoriser une explication scientifique et à faire progresser la connaissance, s’éloignant ainsi du déni de la réalité observée du mouvement tel que le faisait Zénon.

@chapoutier

Mdr ! j’essayerais ;) 

@Hervé Hum

« On ne peut pas accomplir une distance entre deux points sans parcourir l’espace entre les deux, c’est tautologique ! […] Il n’y a pas de »téléportation« , on nage en plein délire, »

J’apprécie de vous l’entendre dire. Nous sommes donc d’accord pour dire que le mobile sera obligé de passer par sa moitié, et bien sûr cela n’a rien à voir avec quelques choses d’imaginaire ou qui s’apparenterait à une division arbitraire mental. Ces point sont physiques et nier le passage sur la zone médiane équivaut à prétendre à de la téléportation.

Vous venez de valider le PE/MR.

@Hervé Hum

En répétant que : « vous effectuez seulement une division mentale infinie mais dépourvue de sens physique, »vous proposez une solution apparemment résolutive du paradoxe. Sans moitiés restantes, le paradoxe disparaît, mais cette solution semble déraisonnable.

Le trajet d’un mobile, du départ à l’arrivée, avec l’espace parcouru entre les deux, n’est pas imaginaire, ni une division. C’est un passage incontournable entre le départ et l’arrivée du mobile. Affirmer que ce passage est inexistant, comme vous le soulignez, équivaudrait à de la téléportation. Si le parcours est discontinu en dessous des échelles de Planck, cela soulève la question de la possibilité de la téléportation à cette échelle, une interrogation que seuls des futurs développements pourraient élucider.

En attendant, il est judicieux de ne pas confondre des certitudes indémontrables avec la seule vérité et de rester ouvert aux spéculations. Si le passage obligé des moitiés restantes est erroné et que la téléportation est possible en dessous des échelles de Planck, cette thèse doit être démontrée empiriquement, sans quoi elle restera de la spéculation. La prétention à la téléportation nécessite des preuves tangibles.