Le temps est à l’orage. J’attends sans illusion, tout en lisant AgoraVox, le super apéro géant qui va mettre un peu d’ordre dans le foutoir post Fouquet’s. On peut rêver, non ?
Israël n’est pas un pays comme les autres. On peut donc se poser la question de vivre en Israël et l’auteur se la pose avec honnêteté et j’avoue que toutes ses questions sont les miennes.
Par contre, moi, je suis allé en Israël en touriste. Cela ne fait pas de moi un expert mais cela a rendu mon questionnement sur ce pays plus précis. J’ai été frappé par l’imbrication entre le sionisme et le religiosité laissant si peu de place aux laïcs.
Après les débats sur l’ouverture des magasins le dimanche en France, il est étonnant d’arriver à Jérusalem et de constater que du vendredi après-midi au samedi soir, pas un magasin ouvert, zéro transport en commun, peu de lieu publics accessibles, quasi pas de restaurant, personne dans les rues contrairement aux autres soir où la jeunesse fait plaisir à voir... Heureusement le superbe musée d’Israël était ouvert et on a pu s’y rendre avec un conducteur de taxi... arabe bien sûr.
Comment la jeunesse de ce pays accepte-t-elle ces contraintes hebdomadaires. C’est un mystère. La force de l’endoctrinement sans doute.
Je ne connaissais pas ces propriété de l’hortensia. A noter qu’il y a aussi le datura dont la dose mortelle est très proche de la dose hallucinogène. C’est, je crois, la petite fumée de Carlos Castaneda qui alimente les histoires de zombies du vaudou.