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Papé

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60 ans, célibataire, sans enfant, retraité de la Gendarmerie Nationale, j'habite Ganges une petite ville au Nord de l'Hérault.

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Derniers commentaires



  • Papé Papé 28 octobre 2007 06:59

    On commémore bien Zyed Benna et Bouna Traoré

    Moi je n’avais pas dix ans, mon père m’avait déjà appris qu’il ne fallait pas entrer dans un transformateur.



  • Papé Papé 23 octobre 2007 09:47

    Merci Monsieur le Président.

    Une chose me rassure : la polémique a permis de rappeler à un grand nombre, un TRES GRAND nombre qu’il s’agissait d’un jeune de 17 ans. Je veux croire que c’est ce qui va rester dans les mémoires.

    Plutôt que de « conceptualiser » comment lire cette lettre, les enseignants feraient mieux de « méditer » leur 30% d’échec scolaire.

    Bon courage à vous, moi j’ai jeté l’éponge.

    Respectueusement.



  • Papé Papé 9 décembre 2006 08:51

    « Article intéressant par l’analyse, originale, qu’il offre. » « Priver le chômage de sa dimension économique et politique est, à mon sens, une erreur. » Sont les commentaires les plus fréquents, je les partage aussi.

    Vous écrivez : « Peut-on rêver que les hommes politiques en prendront conscience à temps, et que devant l’évidence du danger... » Je doute fort que les hommes politiques prennent à bras le corps des « causes biologiques » du chômage, au contraire ils en profiteront pour nous ressortir « On a tout essayé... », laissons-leur la dimension économique et politique à régler. S’ils s’en occupent, ça ne sera déjà pas si mal ! Le mélange des genres est un cache misère derrière lequel campent les incapables. Le Président de la République vend des Airbus pendant que les ONG font de la politique. Les policiers préfèrent jouer au foot avec les petites frappes, les juges se font psy et les instituteurs éveilleurs de conscience, les pseudo-écolos s’arrogent le droit de détruire les cultures OGM avant que leurs dangerosité potentielle n’est été prouvée... Chacun joue dans la cour de l’autre, c’est bien plus marrant et surtout moins difficile. A mon sens tout cela manque de clarté, de rigueur et de pragmatisme.

    Commander c’est prévoir, encore faut-il qu’il y ait des pilotes aux commandes. Si à côté de chez moi, l’entreprise Well délocalise, en Italie et pas en Asie, c’est que les Italiens ont anticipé en s’équipant de machines modernes... A force de mentir, on est plus capable d’accepter la réalité.

    Il n’est pas nécessaire de savoir lire dans le marc de café pour prédire qu’après la délocalisation du travail manuel en Asie, ce sera le tour du travail cérébral. L’Inde « produit » plus de diplômés supérieurs que les Etats-Unis. Dans un premier temps l’immigration choisie favorisera la venue d’ingénieurs Indiens, 4 fois moins cher que les Européens (sans compter le coût de la formation, s’il vous plait). Dans un deuxième temps les bureaux d’études Européens migreront en Inde.

    Dans Le Monde du 08.12.06, Nicolas Jacquet :

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-843525,0.html

    « «  la Chine, et en particulier la région de Shanghaï, a une croissance du PIB de 10 % à 11 % par an. Par essence, cette région ne connaît pas le chômage, et le problème des étudiants au sortir de l’université est plutôt de choisir un employeur. En Occident, et plus particulièrement en France, la logique n’est pas la même : avec un taux de chômage des jeunes de 25 à 29 ans de 15 %, le premier objectif de notre système de formation est de donner à chacun la possibilité d’accéder au marché du travail. [...] Le ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche ainsi que le ministre délégué pourraient entreprendre, autour de la conférence des présidents d’université et de la conférence des grandes écoles, une démarche pour proposer un « classement de Paris », reposant sur des critères pertinents et reconnus par tous. Nous pourrions ainsi affirmer nos valeurs tout en nous confrontant au monde.  » » (Sic).

    Vous voyez, en France plutôt que de soigner les causes, ont propose de soigner les effets en ‘définissant des critères pertinents de reconnaissance’. Le classement de Shanghaï ne nous est pas favorable, faisons donc un classement de Paris et dans dix ans on pourra dire aux ingénieurs chômeurs : « Oui, mais vous êtes les meilleurs au classement de Paris ». Çà leur fera une belle jambe !

    Comme beaucoup de commentateurs, je suis hors sujet. D’abord pardon, et merci pour votre analyse originale, la complexification constante de la nature m’interpelle aussi. Cependant force est de constater qu’elle dure depuis environ 15 milliards d’années (en l’état actuel des connaissances). Il n’est pas certain que dans cette soupe de particules l’Homme soit essentiel, alors à cette échelle le chômage est probablement un épiphénomène.

    Cordialement.



  • Papé Papé 6 décembre 2006 19:50

    Pardon je continue ici, j’ai eu un pb technique.

    Par contre je suis d’accord sur votre analyse : « un problème politico-économique et non pas un problème agro-écologique. Les pays Africains ne produisent pas assez d’aliments parce que les marchés occidentales n’ouvrent pas leur portes. Ceci fait qu’ils ne peuvent pas exporter leurs produits, avec l’éffet qu’ils ne peuvent pas se déveloper économiquement. »

    J’habite à la frontière de l’Hérault du Gard et à quelques km du Vaucluse région de France productrice de fruits et légumes s’il en est !

    Lorsque j’achète le kg de pomme golden en pleine saison (septembre) à 2.42€ financé à 50% par les subventions, et l’ananas de Côte d’ivoire à moins de 1.50€, vous avez raison c’est bien un problème politico-économique. A ce prix le paysan Ivoirien ne doit pas gagner grand chose et ne dois pas avoir envie d’exporter.

    Cordialement.



  • Papé Papé 6 décembre 2006 19:32

    Je regrette mais je ne suis toujours pas convaincu. Il y a 30 ans on incitait les Africains à se défaire de leurs troupeaux en prétextant qu’en Europe on savait mieux faire de la viande qu’eux. On a donc subventionné nos paysans pour qu’ils produisent des poulets aux hormones que nous avons dû consommer car encore trop cher pour les Africains. Et le lait en poudre qu’on leur livrait étant lui aussi trop cher pour eux, les mamans l’allongeait de trop d’eau ce qui à donné des générations de rachitiques.

    C’est bien connu, les conseilleurs ne sont ne sont pas les payeurs.


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