Nous ne sommes pas obligés de faire une révolution sanglante pour sortir de ce piège à rats où l’on nous a mis.
On peut en sortir en toute légalité en nous servant de l’article 50du traité de Lisbonne qui n’est autre que celui de la constitution européenne sur lequel nous nous étions prononcés contre à plus de 55 % et qu’on nous a refilé sous ce nouveau nom avec quelques arrangements modiques passé par voie parlementaire contre notre avis.
Cet article 50 traite de la sortie de l’Union d’un état membre qui en ferait la demande.
Bien sûr aucuns politiques et aucuns journalistes n’en font mention. Et ne croyez pas qu’ils l’ignorent. Si tel était le cas, ça serait encore plus grave à mes yeux qu’une auto-censure. Cela démontrerait un manque total de professionnalisme gravissime que de n’être pas en mesure d’en informer la population. C’est tout de même leur rôle. C’est dire l’omerta invraissemblable que nous connaissons dans un pays dit de libre expression.
Je suis donc heureux de vous l’apprendre et de combler ce grave manque délibéré d’information envers nos concitoyens.
Quand je dis que personne en parle, ce n’est pas tout à fait vrai puisque F. Asselineau me l’a appris.
N’est-il pas temps d’arrêter d’élire des gens - et à tous échelons - qui une fois en place, pourront nous trahir en toute légalité puisque élus par nos soins ? Nous savons aujourd’hui que nos votes - donc nos attentes - ne sont pas respectés. Ne me dites pas que vous avez pu penser que les choses allaient changer avec le PS ? La naïveté a des limites.
Quoiqu’il semblerait que non.
N’avez-vous donc pas compris que nous en sommes arrivés à une absence quasi totale de pouvoir d’action dans ce pays ? Le nier c’est mentir. Le pouvoir est aujourd’hui hors de nos frontières. Les objectifs à atteindre sont internationaux et notre capitale est Bruxelles (téléguidée par Washington). Tout est planifié en vue d’un marché unique transatlantique qui ne transige pas avec les normes qui doivent être partout les mêmes à savoir : pour plus de libéralisme, démentellement de tous les services publics et d’Etat. Une attaque en règle de toutes les prestations ou autres indemnisations que l’on peut qualifier de solidarité nationale (ah quel vilain mot !) . Le processus est enclenché. Le resserrement budgétaire l’exige. La nation doit d’abord et avant tout penser à rembourser sa dette. Vous savez ce scandale d’avoir imposé à notre Etat d’emprunter à des taux extravagants auprès de banques privées qui aujoud’hui, après qu’on les ait renfloués tout de même, veulent en plus notre patrimoine si il s’avère que l’argent ne suffise pas.
Ils sont entrain de dépecer toute la Grèce actuellement avec ce principe. Il y a des retraites qui ne sont plus payées. Et vous parlez de l’AER ? Faudrait voir à ce que nous finissions enfin par vivre sur la même planète européenne. Il serait grand temps !
Vous ne vous exprimez pas, vous aboyez. Vous mélangez tout. Plus de discernement, que de la haine.
Je pense que dans un cas contraire (il s’agit d’ une vision, on change les rôles), vous auriez eu plein d’indulgence et auriez trouver des circonstances atténuantes à la mère. Et vous auriez dit : Salaud de mec qui a osé la tromper et lui mentir. Il ne mérite que mépris... etc.
Le mépris pour la gente masculine, ça marche à tous les coups et en toutes circonstances avec vous. Pour avoir tant de haine à leur égard, vous devez avoir de très gros problème avec les hommes. Où avec vous-même. Il est plus que probable que la deuxième hypothèse soit la principale.
Il n’y aura plus de commentaire de ma part vous concernant. Je vous ai tout dit.