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Peretz

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Retraité de la photographie (Système 3D), ensuite de l’informatique (DESS système d’information). Non encarté,. Nombreuse lectures, 

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  • Premier article le 04/06/2008
  • Modérateur depuis le 17/09/2008
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Derniers commentaires



  • Peretz Peretz 25 janvier 2012 16:15

    On oublie généralement de compter dans la rentabilité que les paiements de loyers se font généralement au mois, ce qui comme tout intérêt composé revient à multiplier par environ 50% la rentabilité nette.



  • Peretz Peretz 15 janvier 2012 11:11

    A l’auteur. je ne vois pas ce vient faire Bayrou dans cette histoire. Quelque soit le président élu, il aura les mains liées : ce ne sera pas lui qui sera aux manettes mais les banques, qui elles font tout pour gagner du temps, espérant d’ici la grande crise prochaine avoir suffisamment tiré les marrond du feu ? Et apprès ???



  • Peretz Peretz 14 janvier 2012 19:53

    Justement ce n’est pas du keynésianisme qu’ont fait les pays occidentaux depuis quelques décennies. Keynes n’a jamais dit de forcer à tout prix la consommation. Mais connaissant le fonctionnement macroéconomique il a préconisé la croissance pour le plein emploi. Le tout est de la réguler. Mais les goinfres financiers en ont trop voulu et pour ça ils ont laissé les marchés s’ouvrir au maximum. Voir les traités européens.



  • Peretz Peretz 6 janvier 2012 15:15

    On entend depuis longtemps dire de la part du patronat t du gouvernement « il faut que les entreprises soient compétitives » pour augmenter leur force de vente, et donc pour embaucher. Depuis des décennies l’Etat a donné des centaines de milliards pour les aider les entreprises dans cette compétition. Hélas, l’efficacité de ces aides n’est pas spectaculaire. C’est pourquoi, j’essaye de savoir, comme l’autorise notre constitution, ce qu’on fait de ma contribution de citoyen. Qu’est-ce qui se cache derrière le mot compétitivité ?

    Les entreprises, dans notre monde dit libre, sont en concurrence. Que le meilleur gagne. Mais gagne quoi ? A priori on pense à l’argent.

    Où ira l’argent de la TVA ? Il peut très bien être distribué aux actionnaires, aux sociétaires, selon la catégorie d’entreprise. Il peut aussi être réinvesti, par exemple dans la publicité pour gagner des parts de marché. Tout n’est pas forcément synonyme de baisse des prix dans cette lutte. Les trois méthodes de distribution peuvent se combiner. Mais je ne vois pas où se situe l’embauche qui reste le prétexte apporté par le patronat et ses porte-parole de droite. Qui peut dire avec certitude que l’entreprise qui bénéficie ainsi d’un apport de liquidités va réussir à gagner ces parts de marché qui, elles seules, pourraient aboutir à engager du personnel pour faire face à une augmentation de la demande. Où l’entreprise ne préférerait-t elle pas plutôt tout faire pour augmenter sa productivité et éviter d’engager du personnel ? Ou faire des économies d’échelle, investir dans du matériel de production, etc. Rien dans ce scénario ne permet de dire avec certitude que la manne engrangée sera dirigée dans ce sens. On est en plein dans la désinformation pour encore une fois, ce qui sera un effet d’aubaine pour l’entreprise payée par la population.



  • Peretz Peretz 14 décembre 2011 17:25

    @pepin. Il s’agit d’un faux problème : le processus de changement sera annoncé comme la fin des dettes-déficit donc un retour à la croissance, donc une diminution du chômage. Je ne vois pas comment, ceux qui ont des fins de mois difficiles, ou justes pourraient aller placer une hypothétique épargne dans des banques étrangères. A supposer que pour les autres, une partie de la classe moyenne le fasse, l’importance des fonds résidents en circulation serait suffisante pour que le processus se poursuive. Il est probable qu’au bout de quelques semaines, ou mois, le montant des échanges engrangés soit suffisant pour qu’il puisse combler le déficit en euros sans emprunts bancaires. Face aux banques créancières, le gouvernement peut exercer alors une forte pression afin qu’elles continuent à prêter (sinon c’est le défaut) en euros quand arrive une échéance de remboursement. Ou mieux, il les contraint à accepter le remboursement en eurofrancs. DIFFICILE DE REFUSER SACHANT QUE SUR LE MARCHÉ NATIONAL LA VALEUR DE LA NOUVELLE MONNAIE EST ÉQUIVALENTE À L’EURO. Par ailleurs le déficit est comblé par l’afflux d’euros échangés, 8 % du PIB sont rapidement trouvés dans l’accumulation de la monnaie échangée. Si ces rentrées tardent les créanciers en euros ne pourront que diminuer leurs exigences concernant le niveau d’intérêt sachant que la France aura conservé ou retrouvé un niveau de solvabilité supérieur à ce qui existait auparavant. Poursuivant cette technique, la dette souveraine commence à diminuer car son service diminue, ce qui n’est pas le cas actuellement. Il est même envisageable des remboursements anticipés. La confiance ne peut que revenir, sachant que la masse monétaire n’ayant pas augmenté en euros - eurofrancs mélangés, l’inflation n’augmente pas non plus. Quand les échanges de la masse monétaire circulante sera près d’être terminée (payes et autres revenus, ne seront établis qu’en eurofrancs, les euros de circulation finiront pas disparaître), la deuxième étape pourra être entamée, celles des échanges avec l’extérieur. Sans la pression de l’inflation, la dévaluation promise par les défaitistes, peut ne pas être décrétée immédiatement, mais décidée malgré tout sans EXCES, pour faire basculer la balance des paiements dans un sens favorable. A noter que les dévaluations sont des ajustements dus à l’inflation donc à la perte de valeur de la monnaie alors circulante. Des accords bilatéraux seront possibles à taux négociés au coup par coup, par dessus l’OMC, comme le font la Chine et l’Amérique. De même, la France a engrangé suffisamment d’euros souverains pour maintenir ce double processus d’échange externe un certain temps. Je ne vois toujours pas pourquoi une forte dévaluation serait nécessaire. Au contraire, l’activité économique pourrait repartir sur de meilleures bases si les délocalisations cessent entamant un processus de relocalisations. Le tourisme pourrait refleurir avec un nouvel apport de devises. Le seul point délicat serait un certain renchérissement de l’énergie importée. Il suffira alors d’augmenter les salaires (SMIC) en proportion, ce qui alors seulement pourrait faire revenir un début d’inflation. Mais contrôlable tant qu’elle n’atteint pas des niveaux élevés. 4% serait acceptable a dit Denis Blanchard, directeur du département économie au FMI. Que feront alors ceux qui ont placé leur épargne à l’étranger sans la suivre physiquement, sinon la rapatrier pour absorber ces augmentations ? Ce modèle me semble utilisable pour tout pays membre de la zone euro. Il suffira alors de négocier des accords bilatéraux avec ajustements de dévaluation concertés pour des sorties sans casse des petits pays, en tout cas moins graves que les rigueurs imposées par la finance internationale. Celle-ci serait au contraire la seule à subir les inconvénients d’une reprise en main du politique favorable aux populations dans leur ensemble, mais défavorables aux privilégiés.

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