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Philippe Muret

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  • Philippe Muret Philippe Muret 27 novembre 2009 12:27


    « On jurerait que Dubaï n’est pas un émirat mais un état des USA. »

    Tout à fait : Dubaï est un état des USA. Je vous le confirme.



  • Philippe Muret Philippe Muret 10 novembre 2009 12:29

    « C’est à partir du 11 septembre que le chiffon rouge Ben Laden est créé de toutes pièces. »

    Vous racontez n’importe quoi Monsieur Morice.

    A la fin des années 90 j’étais à Dubaï et j’y ai vu des agents du FBI rechercher les membres d’Al Qaida dont Ben Laden pour leur implication dans des attentats contre des Ambassades américaines.



  • Philippe Muret Philippe Muret 23 octobre 2009 14:06

    « dans les prochains épisodes y’a des techniques d’interrogatoire, mais faut du matériel... »

    Le matériel de Calitoscara ?



  • Philippe Muret Philippe Muret 10 octobre 2009 00:28

    Le club Spartacus dont Mitterrand parle dans son livre :

    en 1970, John Stamford crée le Guide International de Tourisme soi-disant « pour homosexuels » : Spartacus. Edité en langue anglaise, publié en Allemagne, ce guide atteint bien vite les 60 000 exemplaires et est distribué également dans de nombreux pays. Ce livre répertorie officiellement à travers le monde les adresses et lieux de rencontre pour homosexuels. Les ONG ne s’en seraient jamais préoccupées s’ils n’avaient été que cela. Mais Spartacus comporte d’autres rubriques cachées : selon la FAI (Fédération Abolitionniste Internationale), "Un système de codage dans le guide Spartacus permet aux pédophiles du monde entier de localiser les endroits où il leur sera possible de trouver une jeune clientèle« . Bien entendu-e, le mot »enfant" est soigneusement évité. Ce livre explique aussi comment entrer en contact avec la société de Stamford, dont la première, SIL (Spartacus International Limited), basée à Londres, propose une adhésion au club Spartacus, club qui fournit à ses membres des portfolios donnant, pays par pays, des renseignements beaucoup plus précis.

    " En général, les garçons sont facilement disponibles dès l’âge de la puberté, et même avant, et normalement personne n’a d’objection (...) J’ai personnellement testé beaucoup de ces garçons et recommandé certains aux lecteurs du guide Spartacus (...) Ecrivez-nous le nom du garçon que vous souhaitez rencontrer, dites-nous vos dates d’arrivée, numéro de vol et heure d’arrivée, ainsi que l’hôtel où vous résidez. " Bien entendu-e aussi, les portfolios n’oublient jamais de rappeler que les lois théoriquement en vigueur dans les pays concernés et le moyen de les contourner, ainsi que les tarifs pratiqués sur place. John Stamford incite ainsi ses lecteurs à en savoir plus, à travers son guide, puis son club, puis ses portfolios, et à passer à l’acte. Acte qu’il facilite d’ailleurs grandement. Stamford se vante d’ailleurs à F. Lefort, qui a infiltré son réseau, de " pouvoir fournir partout dans le monde, en deux heures, un enfant de l’âge et du sexe désirés." C’est d’ailleurs ce que déclare la présidente de l’ACPE, Monique Loustau, au moment du procès. La Coltsfoot Press est la seconde société de John Stamford. Celle-ci est basée à Amsterdam, et spécialisée dans les publications pédophiles. Suite à des difficultés financières, Stamford décide de vendre Coltsfoot Press dès 1985. N’ayant trouvé aucune personne preneuse, il essaye d’écouler le stock de publications pédophiles de Coltsfoot, et adresse pour cela, en fin 93, le catalogue Coltsfoot à chaque membre du club Spartacus.

    La FAI déclare en 94 : " en commercialisant l’exploitation sexuelle de l’enfant, Stamford rend ce phénomène, auparavant marginal, accessible au plus grand nombre. Il exploite financièrement la pédophilie qui, grâce aux facilités offertes, se développe de manière à peine clandestine ... "

    Mais le réseau Spartacus n’est pas le seul sur le marché de l’exploitation sexuelle des enfants. Des Tour Operator se sont en effet spécialisés dans ce que l’on appelle " les circuits du sexe". En 93, des agent-es de voyage de 85 pays ont pris des mesures et ont décidé d’informer le public. La Suède, la Suisse et la France ont inséré dans les billets d’avion une note dont la version suédoise se termine par : " un enfant a droit à une protection quel que soit l’endroit où il vit. " Espérons qu’un jour nous puissions voir ce genre de mesures être pris contre la prostitution sous toutes ses formes !!! De même les Nations Unies affirment : " la traite et la vente d’enfants, la prostitution d’enfants et la pornographie impliquant des enfants constitue des formes modernes d’esclavage qui sont incompatibles avec les Droits de l’Homme, la dignité et les valeurs humaines. " Nous nous interrogeons alors sur le point de vue des Nations Unies contre la prostitution des adultes. Considère-t-on qu’elle est compatible, elle, avec les Droits Humains, avec la dignité et les valeurs humaines ? Considère-t-on qu’une forme de prostitution est acceptable et l’autre non ? Considère-t-on que la prostitution des adultes n’est pas aussi une forme moderne d’esclavage  ?

    Mais revenons au sujet précis de la prostitution enfantine. Marie-France Botte (ancienne assistante sociale belge) explique qu’à Bankok, les petites filles ne sont pas visibles. Elles sont enfermées dans les hôtels pour touristes. Hôtels où l’on réserve à la fois la chambre, les boissons et la « consommation ».

    Lors de son procès, John Stamford essaye de tirer son épingle du jeu et utilise la carte officielle de Spartacus : le guide touristique destiné aux homosexuels en hurlant à la persécution, en clamant : " dans ce procès, les médias et les parties civiles font exactement ce que les nazis, en leur temps, ont fait aux homosexuel-les. S’ils pouvaient nous mettre dans des chambres à gaz ou de torture, ils le feraient ". Stamford essaye d’attirer la communauté homosexuelle de son côté, en se faisant le défenseur d’un jour des homosexuel-les. Bien entendu-e, les communautés homosexuelles ont cerné le stratagème et ne sont pas rentrées dans son jeu. Stamford ajoute, lors de son procès, que la situation dans laquelle il se trouve est dûe au comportement « colonialiste » de certains pays d’Occident qui ne peuvent accepter les différences culturelles avec d’autres nations. " L’argument basique utilisé par les touristes abusant d’enfants en Asie : " Cela fait partie de leur culture (...) et ils aiment ça ". Ils ignorent naturellement la façon dont les enfants prostitué-es les appellent : « les crocodiles ».

    Le juge suspend la séance car une nouvelle pièce vient d’être jointe au dossier : une vidéo pornographique dans laquelle Stamford est impliqué, et qui se serait soldée par le meurtre de deux enfants philippins. Les revues et les cassettes porno font ENTIEREREMENT partie de la réalité prostitutionnelle des adultes comme celle des enfants, à l’étranger comme en France, et forme un tout avec elle.

    Et Stamford continue ... "Nous devons nous poser honnêtement la question : qu’est-il préférable  ? Un enfant philippin vivant uniquement de déchets qu’il trouve sur une montagne d’immondices, ou le même pauvre enfant, se prostituant avec des touristes ; ce qu’il apprécie par ailleurs, et ce qui lui permet en outre de se nourrir convenablement, de dormir dans un lit propre et de s’offrir une éducation correcte ?"
    Comme le dit Le Livre Noir de la Prostitution, " Comment parler d’éducation pour ces enfants prisonniers de la prostitution  ? Au pire, ils mourront à la suite de mauvais traitements et de coups, à cause de la drogue ou d’une maladie comme le sida. Au mieux, ils perdront tout respect d’eux-mêmes et des autres."

    http://lesfuries.chez-alice.fr/prostitution.htm




  • Philippe Muret Philippe Muret 20 septembre 2009 11:17

    « préoccupations judéophiles » : une drôle d’expression.
    Qu’en pense-tu « kinini » ?

    A part çà les hippies ils allaient aussi en AfPak où la population locale était aussi sympa que les marocains !


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