pluskezorro

Merci Françoise d’avoir soumis en tant qu’élément de réponse aux questions soulevées dans mon texte cet article d’Olivier Roy.Il prolonge les débats de façon édifiante et souligne comment les contradictions des différents acteurs en présence et leurs stratégies sont intimement liées.

Merci Françoise d’avoir soumis en tant qu’élément de réponse aux questions soulevées dans mon texte cet article d’Olivier Roy.Il prolonge les débats de façon édifiante et souligne comment les contradictions des différents acteurs en présence et leurs stratégies sont intimement liées.Et aussi que se trouver des intérêts commun pour des états voisins peut considérablement contribuer aux progrès de la civilisation.

Cette soi-disant « résistance » est loin de faire l’unanimité dans la population libanaise.

Merci pour ce commentaire limpide qui restitue la genèse du problème.Cependant je ne comprends pas l’assertion :« Une armée fantôme(normal pour un si petit état) ».Sauf mon respect je la trouve spécieuse et il y a des exemples qui la contredisent.Dans mon article j’ai émis un souhait basé peut-être sur une analyse de la question simpliste mais j’ai tenté également de soulever les éléments de contradiction des pacifistes libanais.Vouloir faire la psychanalyse d’un peuple serait sans doute intéressant mais dépasserait mes intentions.Après tout il se peut que vous ayez raison, les choses étant allées trop loin ne reste sans doute qu’une action internationale pour rétablir l’ordre.Une femme de ménage aussi douée soit-elle aura bien du mal face à des garnements experts en pandémonium.

Cette fronde anti-Demian aussi justifiée soit-elle, si elle venait à se transformer en excessive vindicte populaire pourrait en fin de compte causer du tort à Agoravox.Demian est à Agoravox ce que le poison était à Mitridate.A faible dose il renforce ce beau projet.L’avis favorable du comité de rédaction envers ses textes abscons procède d’une louable intention:celle de ne pas laisser la fermeté policière de notre ministre de l’intérieur contaminer l’esprit démocratique du journal.Permettre à l’histrion Demian de nous gratifier de ses perles c’est nous donner une matière impayable.Sa langue vernaculaire, ses idiosyncrasies inimitables sont une mine pour le humoristes.Pour bien faire il ne faut pas éradiquer Demian, car Demian est partout.En tentant de supprimer cette mauvaise herbe on risque de compromettre tout l’écosystème.Il vaut mieux au contraire l’encourager, le pousser à produire des textes encore plus fou, encore plus incompréhensibles.Alors seulement on pourra assister à quelque miracle:soit il nous fera mourir de rire, soit il se mettra vraiment à écrire, soit -ce n’est pas improbable- il s’autodétruira.Dans ce dernier cas on est en droit de s’inquiéter:qui remplacera Demian ?