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  • psycho-lvlantis 30 juin 2007 17:05

    Moi la question que je me pose c’est :

    - pourquoi ne pas avoir fait exploser la 2e voiture quand la première fut reperée ? Ca coulait de source que le quartier serait fouillé. Pas malin le terroriste.

    - piéger une Mercedes ... il y a quand meme voiture plus « discrete » et moins chère. Ou c’est le MI6 qui réutilise ses vieilles voitures de fonction ?

    - préparer minitieusement un attentat et le faire capoter pcq on s’est mal garé, ça a de quoi faire rire. En plus c’est un agent qui la repère à 1h30 du mat. Ils n’ont que ça à foutre les policiens londoniens ? chercher des voitures qui mordent un peu sur la ligne blanche et appeler la fourrière à des heures impossibles de la nuit ?



  • psycho-lvlantis 31 mai 2007 20:39

    Un texte que j’ai écris sur mon blog, je vous en fait part car il résume bien la vérité dans cette affaire.

    Le 28 mai la chaîne de télévision privée RCTV a disparu des ondes hertziennes vénézuéliennes sur décision du président Hugo Chavez. Immédiatement, les puissances occidentales, Etats-Unis en tête, ont condamné cette disparition, présentée comme une atteinte à la liberté d’information et un musellement de l’opposition dans un pays s’enfonçant vers le totalitarisme. Ces accusations feraient sourire n’importe quelle personne au fait de la réalité vénézuélienne et du comportement surnois des médias privés du pays, en particulier de RCTV. Les quatre principales chaînes télévisées du pays, Globovisión, Televen, Venevisión et RCTV, sont ouvertement opposées au gouvernement actuel et n’ont de cesse de saper sa légitimité bien que Hugo Chavez ait été élu démocratiquement à 3 reprises. Et du côté de la presse écrite, 9 des 10 plus gros tirages nationaux désapprouvent également Monsieur Chavez. Prétendre que la liberté d’expression est menacée au Venezuela relève donc de la plus insigne mauvaise foi. Ce n’est cependant pas l’opposition de RCTV aux autorités du pays qui a conduit à sa disparition mais bien ses multiples dérapages. Outre la désinformation quotidienne et la propagande anti-Chavez dont se rendait coupable la chaîne, elle a activement soutenu la tentative de Coup d’Etat du 11 avril 2002 orchestrée par une faction dissidente de l’armée. Mais, alors que les vénézuéliens descendaient en masse dans la rue pour réclamer le retour de leur leader, la chaîne interrompit ses programmes d’information pour diffuser des dessins animés, organisant de fait un véritable blocus médiatique contre les partisants chavistes. Faut-il aussi rappeler que le directeur de la RCTV fut l’un des premier à applaudir la fermeture de la seule télévision d’état lors du putsch. Les moyens employés par RCTV pour véhiculer ses positions politiques transgressaient les règles les plus élémentaires de la déontologie journalistique, on allait même jusqu’à insérer dans les feuilletons des images subliminales appelant à la violence et à la grève pour déstabiliser le pays. Au vu des faits, cette accusation de censure est dénuée de tout fondement. Cette fermeture n’a d’ailleurs rien d’illégal puisque selon la loi vénézuélienne, les canaux d’émission sont concédés par l’Etat pour une durée déterminée. La concession de RCTV n’a tout simplement pas été reconduite suite à ses nombreuses entorses à son cahier des charges. RCTV pourra donc continuer d’émettre mais uniquement par câble et par satellite, ce qu’elle fera certainement. Tout cela nous ferait presque oublier que de nombreux journalistes de nos démocraties moralisatrices sont poussés à la démission ou trainés devant les tribunaux pour avoir osé rapporter les agissements peu reluisants de certains hommes politiques sur la place publique, lorsque ce ne sont pas purement et simplement les rédactions qui sont perquisitionnées. En Europe on a peut-être pas le pétrole, mais on a l’hypocrisie



  • psycho-lvlantis 31 mai 2007 20:37

    Petit texte que j’ai écris sur mon blog, je vous en fait part :

    Chavez sanctionne la désinformation

    Le 28 mai la chaîne de télévision privée RCTV a disparu des ondes hertziennes vénézuéliennes sur décision du président Hugo Chavez. Immédiatement, les puissances occidentales, Etats-Unis en tête, ont condamné cette disparition, présentée comme une atteinte à la liberté d’information et un musellement de l’opposition dans un pays s’enfonçant vers le totalitarisme. Ces accusations feraient sourire n’importe quelle personne au fait de la réalité vénézuélienne et du comportement surnois des médias privés du pays, en particulier de RCTV. Les quatre principales chaînes télévisées du pays, Globovisión, Televen, Venevisión et RCTV, sont ouvertement opposées au gouvernement actuel et n’ont de cesse de saper sa légitimité bien que Hugo Chavez ait été élu démocratiquement à 3 reprises. Et du côté de la presse écrite, 9 des 10 plus gros tirages nationaux désapprouvent également Monsieur Chavez. Prétendre que la liberté d’expression est menacée au Venezuela relève donc de la plus insigne mauvaise foi. Ce n’est cependant pas l’opposition de RCTV aux autorités du pays qui a conduit à sa disparition mais bien ses multiples dérapages. Outre la désinformation quotidienne et la propagande anti-Chavez dont se rendait coupable la chaîne, elle a activement soutenu la tentative de Coup d’Etat du 11 avril 2002 orchestrée par une faction dissidente de l’armée. Mais, alors que les vénézuéliens descendaient en masse dans la rue pour réclamer le retour de leur leader, la chaîne interrompit ses programmes d’information pour diffuser des dessins animés, organisant de fait un véritable blocus médiatique contre les partisants chavistes. Faut-il aussi rappeler que le directeur de la RCTV fut l’un des premier à applaudir la fermeture de la seule télévision d’état lors du putsch. Les moyens employés par RCTV pour véhiculer ses positions politiques transgressaient les règles les plus élémentaires de la déontologie journalistique, on allait même jusqu’à insérer dans les feuilletons des images subliminales appelant à la violence et à la grève pour déstabiliser le pays. Au vu des faits, cette accusation de censure est dénuée de tout fondement. Cette fermeture n’a d’ailleurs rien d’illégal puisque selon la loi vénézuélienne, les canaux d’émission sont concédés par l’Etat pour une durée déterminée. La concession de RCTV n’a tout simplement pas été reconduite suite à ses nombreuses entorses à son cahier des charges. RCTV pourra donc continuer d’émettre mais uniquement par câble et par satellite, ce qu’elle fera certainement. Tout cela nous ferait presque oublier que de nombreux journalistes de nos démocraties moralisatrices sont poussés à la démission ou trainés devant les tribunaux pour avoir osé rapporter les agissements peu reluisants de certains hommes politiques sur la place publique, lorsque ce ne sont pas purement et simplement les rédactions qui sont perquisitionnées. En Europe on a peut-être pas le pétrole, mais on a l’hypocrisie.


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