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Questionneur

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  • Questionneur 25 janvier 2009 12:34

    La cours internationale de justice a été informée des crimes de guerre qu’auraient commis les américains à Fallujah en 2004, notamment par l’utilisation d’armes chimiques, mais à ma connaissance elle n’a donné eu aucune suite à cette information, la jugeant probablement non fondée. Voir le lien "US Military committed War Crimes in Fallujah, Open Letter to the International Criminal Court of Justice by Spencer Spratley" :

    http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=8340

    Voici l’un des documentaires sous-titrés en français cité par cette plainte "Falloujah, le Massacre Caché", en deux parties :

    http://www.dailymotion.com/video/x7n6az_falloujah-le-massacre-cache-12_news

    http://www.dailymotion.com/video/x7n6ln_falloujah-le-massacre-cache-22_news

    Voir également ce lien dont je cite les propos :

    http://face-cachee-du-monde.wifeo.com/fallujah-le-massacre-cach.php

    "Au début du mois de novembre 2004, l’armée américaine a lancé l’opération Phantom Fury (Fureur Fantôme) sur la ville de Falloujah, afin de prendre contrôle de la ville et de capturer Abu Musab Al-Zarqawi. La bataille fait plusieurs milliers de morts irakiens dont un bon nombre de civils, de femmes et d’enfants, mais Al-Zarqawi reste introuvable.

    L’armée a largué sur cette ville des armes incendiaires, vraisemblablement des bombes MK-77 qui sont les successeurs du napalm, et du phosphore blanc qui provoque des blessures épouvantables et une mort atroce. Mohammed Tareq Al-Deraji, directeur du Centre d’Etudes des Droits de l’Homme de Falloujah, est venu témoigner devant des députés européens et a apporté des photos de victimes montrant l’utilisation de telles armes de destruction massive. Deux soldats américains ayant participé à cette opération apportent leur témoignage et confirment l’utilisation de telles armes sur des populations civiles de façon non discriminée.

    Les Conventions de l’ONU de 1983 ont banni le napalm et le phosphore, et leur utilisation est depuis considérée comme un crime de guerre. Mais le massacre de masse qui a eu lieu à Falloujah n’est pas la seule preuve de violation des droits et conventions internationaux par l’armée américaine, les profanations, violations et destructions de lieu saints et de monuments historiques de l’ancienne Babylone sont décrits par les soldats comme une pratique courante. Après 20 ans d’exercice de ses fonctions, l’ancienne parlementaire britannique Alice Mahon a démissionné et s’est battue pour faire éclater la vérité et arrêter le massacre, mais pour l’instant cela n’a pas eu beaucoup d’effet et en tout cas cela n’a pas empêché la réutilisation de telles armes chimiques sur les populations. "

    A noter que Mohammed Tareq Al-Deraji, est un habitant de Falloujah. Il rappelle dans la première partie du documentaire cité que le but de cette attaque américaine dans sa phase finale, était officiellement de capturer Abu Musab Al-Zarqawi, mais il signale que bien que résidant à Falloujah il n’avait jamais eu connaissance du moindre témoignage signalant la présence d’Al-Zarqawi dans cette ville.






     



  • Questionneur 26 septembre 2008 23:52

    Citation de l’auteur de l’article : "Le 717 Special Operations Squadron de Floride, lui-même inclus dans le 919 th SOW est comme par hasard présent… au Pakistan." Et peut-être même s’est-il trouvé à l’hôtel Mariott.Voir un Article intitulé"Pakistan probes mystery of US Marines’ steel boxes in Marriott" (le Pakistan enquête sur le mystère des caisses en acier des marines US à l’hôtel Mariott) http://www.hindustantimes.com/StoryPage/StoryPage.aspx?sectionName=&id=1c4b3920-7d18-4be1-8b25-efa63409b79d&&Headline=Pak+probes+mystery+of+US+Marines’+steel+boxes+&strParent=strParentID Information rapportée par yahoo actualités, voir : http://in.news.yahoo.com/43/20080923/876/twl-pakistan-probes-mystery-of-us-marine.html&#13 ; Voir aussi ce lien français : http://www.planetenonviolence.org/Pakistan-l-Attaque-de-L-Hotel-Marriott,-Un-Signal-Fort-Des-Militants-Contre-La-Guerre-US-Programmee-Dans-La-Province_a1680.html&#13 ; Résumé : Les autorités pakistanaises cherchent à "résoudre l’énigme" des Marines américains et de leurs mystérieux caisses en acier qui ont été déplacés à l’hôtel Marriott quatre jours avant qu’il ne soit rasé dans le pire attentat terroriste dans la capitale fédérale, selon un rapport des médias mardi. "Les autorités veulent vérifier s’il s’est agit d’un exercice de routine ou de quelque mission spéciale qui n’a pas obtenu l’approbation du gouvernement du Pakistan". Selon une source officielle, les autorités ont appris que cette mystérieuse activité des Marines US a eu lieu autour de minuit le 16 septembre. L’ambassade des États-Unis a indiqué que cette activité est celle d’un personnel d’assistance qui précède et /ou accompagne certains responsables américains qui achemine du matériel de communication et de bureau qui est nécessaire par exemple au support de membres de haut niveau de l’administration ou du congrès. Il est tout a fait possible que certains aient vu ce matériel déplacé dans l’hôtel. Citation de l’article" US embassy spokesperson Lou Fintor said in a written reply in response to a query on the Marines : "A team of support personnel often and routinely precede and/or accompany certain US government officials. "They often carry communication and office equipment required to support large delegations, such as high-level administration officials and members of the US Congress." He added that the chairman of the Joint Chiefs of Staff Admiral Mike Mullen, who was in Pakistan last week, would travel with communications equipment. "It is quite possible that some saw this communications equipment moved into the hotel. This equipment would leave with the CJCS. If the equipment was transported in full public view then obviously there was no attempt made to conceal its movement." Qu’avaient vu ces témoins. A signaler le mot "possible" dans cette dernière phrase ! Citation du lien en français : "Plusieurs témoins dont un député du PPP, Mumtaz Alam Gilani, et deux de ses amis, ainsi qu’un responsable du PPN, Sajjiad Chaudhry, venus se divertir au restaurant Nadia de l’hôtel, ont été témoin, en quittant les lieux vers minuit, d’un déchargement de boîtes en fer d’un camion blanc de l’ambassade américaine. Coïncidence ? Ces boîtes ont été transportées à l’intérieur de l’hôtel Marriott la nuit même ou l’Amiral Mike Mullen chef des forces conjointes US rencontrait le premier ministre pakistanais,Yousuf Raza Gilani, et d’autres dirigeants à Islamabad. Les principales portes d’entrée et de sortie de l’hôtel avaient été fermées tandis que seuls les Marines US étaient autorisés à s’approcher du camion pour décharger les boîtes et les transporter à l’intérieur de l’hôtel. Ces boîtes en fer n’ont pas été passées aux scanners installés à l’entrée du hall de l’hôtel et ont été montées au quatrième et cinquième étage. Aucun membre du service de sécurité de l’hôtel n’a été autorisé à s’approcher du camion et à transporter les boîtes, seuls une douzaine de Marines US baraqués l’ont fait." Le député Mumtaz Alam a protesté en vain contre ce relâchement en matière de sécurité auprès des Marines et du personnel de sécurité de l’hôtel, et a menacé d’évoquer l’affaire devant le Parlement. Son frère, Imtiaz Alam, journaliste, se trouvait samedi soir au Marriott quand le camion a explosé devant la principale entrée de l’hôtel. L’ascenseur qu’il utilisait a chuté juste après qu’il ait réussi à s’en extirper au quatrième étage de l’hôtel. Il a pu échapper de l’enfer provoqué par l’explosion." La première question qui se pose est de savoir pourquoi ces boîtes en fer n’ont pas été passées aux scanners installés à l’entrée du hall de l’hôtel et pourquoi aucun membre du service de sécurité de l’hôtel n’a été autorisé à s’approcher du camion et à transporter les boîtes, pourtant officiellement ce n’était que du matériel de bureau et de communication.



  • Questionneur 13 août 2008 10:01

    On flingue les proches et les amis, on dit ensuite que ce sont des pays ennemis, ou des personnes éventuellement complices qui résident dans lesdits pays qui sont riches en puits de pétrole ou d’autres ressources dont on veut s’emparer, qui ont tués les proches et les amis. L’opinion publique est émue, elle ne peut pas imaginer que ses propres distingués dirigeants en costumes-cravates auxquels elle donnerait parfois le bon dieu sans confession quand elle les entends parler, puissent faire des choses pareilles, à savoir assassiner des membres de leur propre population pour pouvoir faire des guerres, tirer des bénéfices divers, etc.. Et elle va donc approuver la guerre contre les pays ennemis que leurs dirigeants, les vrais flingueurs, asservirons par une guerre éternelle contre le terrorisme et exploiterons leurs ressources naturelles aussi longtemps que possible.

    Personnellement j’appelerais cela la méthode "11 septembre 2001" expérimentée avec succès par le trio Bush-Cheney Rumsfeld et bien entendu pas seulement par eux mais aussi par d’autres personnes, dans d’autres pays, à d’autres époques...

    En tout cas pour ce qui concerne cette affaire iranniene, si ce que prétend le journaliste d’investigation au New Yorker, Seymour Hersh, est faux, Dick Cheney n’a qu’à porter plainte contre lui pour diffamation mensongère. En France notre Président actuellement en exercice a porté plainte en diffamation contre des journalistes pour beaucoup moins que cela !

    Mais je doute fort que Dick Cheney porte plainte en diffamation contre ce journaliste pas plus qu’il ne portera plainte pour faux témoignage contre Norman MINETA qui était le secrétaire d’Etat américain aux transports en 2001 et qui a été interrogé en 2003 par la commission d’enquête sur les évènements du 11 septembre 2001. Celui-ci y a rapporté que s’étant rendu dans un Bunker de la maison blanche le 11 septembre 2001, le "Presidential Emergency Operations Center", il a surpris vers 9h25 une conversation entre Dick Cheney et un jeune homme, donc près d’un quart d’heure avant que le pentagone soit officiellement percuté par un Boeing 757. Vidéo du témoignage de Mineta :

    http://www.dailymotion.com/relevance/search/norman%2Bmineta/video/x4jzdy_temoignage-de-mineta-devant-la-comm_news

    Ce qu’a dit Mineta devant cette commission sur les évènements du 11 septembre 2001 : "Durant le temps que l’avion s’approchait du Pentagone, il y avait un jeune homme qui venait et rapportait au Vice-Président : "l’avion est distant de 50 miles… l’avion est distant de 30 miles…. Et quand l’avion n’était plus distant que de 10 miles, le jeune homme a également demandé au vice-président "si les ordres tenaient Toujours ?" Et le vice-président s’est alors retourné et lui a répondu : « Bien sûr, les ordres tiennent toujours, avez-vous entendu quoi que ce soit du contraire ?"

    Mineta a dit avoir supposé par la suite que les ordres de Cheney devaient être d’abattre l’avion car il a appris que des avions de chasse avaient décollé d’urgence, mais a précisé qu’en dehors de la conversation qu’il a entendu entre ce jeune homme et Dick Cheney, il ne connaissait rien des ordres de ce dernier. La commission d’enquête sur les évènements du 11 septembre 2001 ne s’est pas préoccupé d’identifier ce jeune homme pour l’interroger et lui demander quels étaient les ordres de Cheney, elle a dit, en accord avec Dick Cheney, que celui-ci n’est arrivé dans ledit Bunker que vers 9h58-10 heures, après la frappe sur le pentagone intervenue à 9h37mn44sc, ce matin là :

    http://en.wikipedia.org/wiki/American_Airlines_Flight_77

    Et n’a pas fait figurer le témoignage de Norman Mineta dans son rapport final car autrement il lui aurait fallu expliquer pourquoi, s’il y avait un ordre de l’abattre, l’avion qui s’approchait du pentagone n’a pas été abattu ou pourquoi s’il n’était pas possible de l’abattre, il n’y a pas eu un ordre urgent d’évacuation du pentagone alors que deux avions avaient déjà fait un carton meurtrier sur les tours jumelles, Ce qui aurait été sans doute très difficile à expliquer !

    La commission d’enquête sur les évènements du 11 septembre 2001 n’a pas du voir que lors d’une interview accordée au jounaliste de NBC,Tim Russert, le 16 septembre 2001, seulement cinq après les évènements Dick Cheney a dit qu’il se trouvait déjà au "Presidential Emergency Operations Center" lorsqu’on lui a appris que le pentagone a été percuté et que s’y trouvaient également Norman Mineta et Condoleezza Rice, et que donc si les deux affirmations de Cheney sont vraies, qu’il a appris la nouvelle de la frappe sur le pentagone lorsqu’il se trouvait dans le "Presidential Emergency Operations Center" et qu’il n’est arrivé dans celui-ci que vers 9h58-10h, cela signifie que plus de 20 minutes après que cela ait eu lieu, il n’était pas toujours au courant qu’un avion avait percuté le pentagone !

    Pour ceux qui veulent approfondir ce sujet, voir notamment cette chronologie des évènements :

    http://complete911timeline.org/timeline.jsp?timeline=complete_911_timeline&day_of_9/11=aa77

    9h26 : Citation " The 9/11 Commission will further contradict Mineta’s account saying that, despite the “conflicting evidence as to when the vice president arrived in the shelter conference room [i.e., the PEOC],” it has concluded that he only arrived there at 9:58 a.m. [9/11 Commission, 6/17/2004] According to the Washington Post, the discussion between Cheney and the young aide over whether “the orders” still stand occurs later than claimed by Mineta, and is in response to Flight 93 heading toward Washington, not Flight 77."

    L’interview de Dick Cheney le 16 septembre 2001,lien :

    http://www.whitehouse.gov/vicepresident/news-speeches/speeches/vp20010916.html

    Extrait :

    VICE PRES. CHENEY : "...I went down into what’s call a PEOC, the Presidential Emergency Operations Center, and there, I had Norm Mineta...

    MR. RUSSERT : Secretary of Transportation.

    VICE PRES. CHENEY : ...secretary of Transportation, access to the FAA. I had Condi Rice with me and several of my key staff people. We had access, secured communications with Air Force One, with the secretary of Defense over in the Pentagon. We had also the secure videoconference that ties together the White House, CIA, State, Justice, Defense—a very useful and valuable facility. We have the counterterrorism task force up on that net. And so I was in a position to be able to see all the stuff coming in, receive reports and then make decisions in terms of acting with it.

    But when I arrived there within a short order, we had word the Pentagon’s been hit..."

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