« La seule erreur commise lors de cette ultime phase de l’opération « avions » doit être attribuée au commando du vol AA77. Hanjour, le pilote, désireux sans doute d’en remontrer à l’instructeur qui lui avait dit que ses aptitudes à voler étaient « en-dessous des standards » (p 221), décida, parvenu en vue du Pentagone, de faire une incroyable manoeuvre à 330 degrés au-dessus du bâtiment avant de s’y encastrer (p 9). Chacun sait jusqu’à quelles extrémités peut aller un homme dont l’orgueil a été bafoué. Si Hanjour avait fait un tout droit, le pirates auraient heurté la partie du pentagone où se trouvaient les plus hauts gradés, dont le secrétaire à la défense Donald Rumsfeld. A défaut de quoi ils ont percuté la seule partie du pentagone qui se trouvait en réfection à ce moment-là. »
Comme « perle » celle-là mérite vraiment d’être soulignée. Voilà quelqu’un qui est le point de se suicider mais qui se préoccuperait, non pas de faire ce qu’il devait faire, mais de jouer les top-gun de l’aviation, pour contredire, juste avant de mourir, celui, en fait il y en a plusieurs et pas seulement une personne si on étudie un peu l’histoire d’Hani Hanjour, qui ont dit que c’était un pilote médiocre. Pour être un pilote médiocre Hani Hanjour l’était. Je pense, par exemple, que vous n’ignorez pas cet article d’un jounaliste du « New York Times » intitulé « A Trainee Noted for Incompetence » en date du 14 Mai 2002. Ce journaliste s’est rendu à l’école de pilotage américaine « Pan Am International Flight Academy » où Hani Hanjour essayait d’apprendre à piloter au début de l’année 2001. Voir :
On lit notamment dans cet article que Hani Hanjour avait besoin d’un interprète pour suivre ses cours, que c’était un pauvre étudiant. Par exemple, que pour un problème écrit qui prenait habituellement 20 minutes pour être résolu, il avait pris trois heures et répondu de façon incorrecte. Ses compétences étaient si faibles qu’on craignait qu’il constitue un danger s’il devait piloter un avion de ligne On y lit aussi que les administrateurs à l’école lui ont signifié qu’il n’avait pas les connaissances requises pour qu’on puisse lui délivrer un certificat avancé de pilotage, mais que néanmoins Hani Hanjour a continué à payer des leçons de pilotage afin de se former sur un simulateur de Boeing 737. « Il ne s’est pas soucié du fait qu’il ne pouvait pas suivre le cours, a dit un ancien employé de l’école. » « Je suis encore stupéfait à ce jour qu’il ait pu amener l’avion dans le Pentagone, il ne pouvait pas piloter du tout."
Les trois points essentiels au sujet d’Hani Hanjour sont les suivants :
1) Pour les avions dont il a tenté d’apprendre le pilotage Hani Hanjour a été un élève des plus médiocres. 2) Si toutefois même s’il avait été un élève brillant pour les avions dont il a tenté d’apprendre le pilotage, pour pouvoir faire ce qu’il est supposé avoir fait le 11 septembre 2001 il aurait eu besoin d’un entraînement poussé (Simulateur de vol et vols pratiques sur un Boeing 757), c’est à dire le même avion que celui a prétendument piraté ce jour là) et cela pour avoir seulement une chance infime de faire ce qu’il est supposé avoir fait. Pourquoi infime, parce que des pilotes professionnels du même avoir ont déclaré qu’eux mêmes n’auraient pas pu faire les manœuvres de pilotage que Hani Hanjour est supposé avoir fait ce jour là. 3) Le FBI ne repère pour Hani Hanjour avant le 11 septembre aucun entraînement (ni en vol pratique ni en simulateur de vol dans dans une école de pilotage) pour le pilotage d’un Boeing 757, ce qui élimine toute possibilité que Hani Hanjour ait pu faire ce que la version officielle des évènements du 11 septembre 2001 l’accuse d’avoir fait. C’est à dire amener un Boeing 757 jusqu’au pentagone à partir d’un point situé à haute altitude et à une distance considérable de la cible des terroristes puis faire les manœuvres acrobatiques d’approches à grande vitesse avant de percuter le rez-de-chaussée du pentagone à plus de 850 km/h sans que l’avion, ses moteurs notamment, touchent le sol avant l’impact. Voir ce topic du forum de « reopen911.info » « Un boeing 757 peut-il voler à 850 km/h à ras du sol ? où ces trois points sont abordés avec plus de détails.
La version officielle des évènements du 11 septembre 2001 affirme qu’un Boeing 767 piloté par Mohamed Atta a percuté la tour nord du World Trade Center, qu’un Boeing 767 piloté par Marwan al-Shehhi a percuté la tour sud du World Trade Center, qu’un Boeing 757 piloté par Hani Hanjour a piloté le rez-de-chaussée du pentagone à une vitesse de plus de 850 km/h.
Peu de gens savent que le dossier du FBI sur ces « pirates de l’air » précédemment nommés ne comporte pas l’affirmation qu’ils aient eu avant le 11 septembre 2001 ne serait-ce qu’un seul vol pratique avec le modèle d’avion qu’ils ont prétendument détournés, que leur entraînement sur simulateur de vol dans les écoles de pilotage qu’ils auraient fréquenté, pour le type d’avion qu’ils auraient prétendument détourné, est presque inexistant. Totalement inexistant dans le cas d’Hani Hanjour qui a eu seulement un entrainement sur simulateur de vol sur Boeing 737-200 à peu près 6 mois avant les attentats (un modèle de Boeing datant des années 60 qui ne permettait de piloter le 757 de conception plus récente (années 80) qu’il est supposé avoir piloté le 11 septembre 2001. Il n’est pas exagéré de dire que la version officielle des évènements demande de croire que Hani Hanjour qui à seulement quelques semaines des attentas s’était vu refuser la location d’un petit avion Cessna 172 car il n’avait pas été jugé capable de le piloter correctement, a appris néanmoins à piloter un Boeing 757 le jour où il l’aurait détourné, car avant il n’avait jamais appris. Et cela pour réaliser des performances de pilotage que des pilotes professionnels du même avion ont déclaré qu’eux-mêmes n’auraient pas pu les réaliser. Voir pour plus de précisions :
Dans la vidéo originale
on peut entre les mêmes bruits de détonations explosives, à
condition d’augmenter le volume du son des hauts parleurs, car le
volume du son y est très faible.
Citation de l’auteur de l’article William
Castel : « Devant l’immensité du travail à accomplir, le Centre a lancé un appel aux
chercheurs, experts et journalistes du monde entier pour analyser,
contextualiser, et débattre de ces découvertes au travers d’un site
collaboratif. Dans l’espoir de dénicher des éléments prouvant une démolition
contrôlée ? En tout cas, jusqu’ici, rien d’absolument probant. »
L’une des vidéos obtenues par l’organisation
« International Center for 9/11 Studies » montre l’effondrement de la tour nord. Le
bruit des charges de démolitions explosives qui détruisent celle-ci peut être
entendu au début de son effondrement. Il est vrai que ce bruit est beaucoup
moins intense que celui constaté dans les démolitions contrôlées
conventionnelles.
Il ne faut pas aussi oublier qu’il y a
eu aussi beaucoup de témoignages d’explosions au World Trade Center le 11
septembre, ayant suivi ou précédé l’effondrement des bâtiments. Voir, par
exemple, la vidéo suivante : « 9/11 :
Total Proof That Bombs Were Planted In The Buildings ! »
Si j’en crois l’article ci-dessous du
journaliste américain Dave
Lindorff, les documents diffusés sur le
site Internet WikiLeaks ont
confirmé que le Pakistan fournissait de l’aide aux Talibans en même
temps que ce pays recevait de l’argent et l’aide militaire d’un
pays « allié », à savoir des États-Unis. Voila bien
une chose qui doit être couverte par le secret défense, autrement
allez expliquer cela à la population américaine !
Ce
n’est pas réellement un scoop. Deux journalistes français auteurs
de la vidéo « ben laden les ratés d’une traque »
avaient interviewé un proche conseiller du président Hamid Karzaï
qui leur avait dit que lorsque des hélicoptères
US livrent des armes à l’armée nationale afghane ils offraient,
dans le même temps, la même quantité de munitions aux… Talibans.
Ce conseille disait « cela montre qu’il y a des relations très
étroites entre les conseillers talibans et les américains d’une
manière ou d’une autre ». Voir :
Évidemment
en envahissant l’Afghanistan le but des néocons US n’était pas de
mener et de gagner une prétendue guerre contre le terrorisme mais de
faire en sorte que ce pays comme l’Irak ensuite puissent être occupé
durablement en vendant la nécessité à l’opinion publique une
prétendue guerre contre le terrorisme après les évènements du 11
septembre 2001 qu’ils avaient, en fait, eux mêmes organisés. Il
vaut mieux dire aux américains qu’on est allé en Afghanistan pour
capturer Oussama Ben Laden que pour d’autres raisons qui
apparaissent, par exemple, dans un article en date du 14 février
2002 d’un quotidien israélien, lequel remarque que les bases
militaires américaines en Afghanistan se trouvaient placées le long
du tracé de l’oléoduc prévu jusqu’à l’Océan Indien, voir :
« February
14, 2002 : US Military Bases Line Afghan Pipeline Route The Israeli newspaper Ma’ariv notes : "If one looks at the
map of the big American bases created [in the Afghan war], one is
struck by the fact that they are completely identical to the route of
the projected oil pipeline to the Indian Ocean."
Ma’ariv
also states, "Osama bin Laden did not comprehend that his
actions serve American interests… If I were a believer in
conspiracy theory, I would think that bin Laden is an American agent.
Not being one I can only wonder at the coincidence." [Chicago
Tribune, 3/18/2002] ».
Les
civils afghans sont régulièrement massacrés dans le cadre de cette
guerre y compris et fréquemment par les forces d’occupation, voir par exemple la vidéo suivante qui montre la population afghane protestant contre cela :
Voilà
encore encore des faits qui doivent être couvert par le secret
défense où du moins qui ne doivent pas être criés sur tous les
toits. Écoutez ce soldat américain qui a participé à la guerre
d’Irak :
Le
comble étant bien évidemment que ceux qui déclenchent des guerres
sur la base de mensonges d’État, mentent, dissimulent, torturent et
assassinent ne risquent aujourd’hui absolument rien.