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Rabelais

Rabelais

Scientifique de formation, financier de métier.

J’observe que les Français possèdent la force d’âme leur permettant d’être, à la fois de grands aventuriers du Monde, et des citoyens sachant garder à l’esprit que "Science (et Finance) sans conscience, n’est que ruine de l’âme".

Tableau de bord

  • Premier article le 03/04/2007
  • Modérateur depuis le 12/03/2009
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Derniers commentaires



  • Rabelais Rabelais 5 novembre 2008 14:29

    Excellent article.

    Pour avoir écouté plusieurs discours de Barack Obama, je ne vois pas, contrairement à Bernard Dugué, ce qui empècherait les français de mériter un homme politique "emballant". Depuis toujours les Français ont été de grands explorateurs, capales du meilleur lorsqu’ils sont unis. C’était un des constat de de Gaulle : unis les Français sont capable de tout, et il faut de la grandeur à leur action (en résumé). Il nous faut un homme politique capable de grandeur, pourquoi pas Bayrou en effet ? J’ai beaucoup aimé sa vision "d’humanisme" sur France2 lundi (Complément dEnquêtes).



  • Rabelais Rabelais 30 octobre 2008 18:58

    Très bon article.

    Je rebondirais surtout sur un point, négligeant de commenter la consternante inexistence idélologique (verbale) de notre Président.

    J’ai écouté un reportage sur la Conférence Nationale du Mouvement Démocrate qui a eu lieu la semaine dernière, et je dois reconnaitre que le discours de son Président, F Bayrou, sonne incroyablement juste avec ce qu’il a proposé lors des Présidentielles. Je reconnais également qu’il avait prédit la plupart de ce qui est en train d’arriver, d’où la cohérence de sa volonté d’une nouvelle vision.
    Parallèlement je suis consterné en me rappelant l’UMP et Sarkozy en tête appeleant à une "France de propriétaires", qui "n’avait pas assez confiance dnas l’avenir, épargnait trop et n’empruntait pas assez", la nécessité de "développer l’emprunt hypothécaire (à l’orgine des subprimes)". J’en frissonne encore.
    Et même si je ne me réjouis pas de cette crise, qui le ferait, je la pense salutaire sur ce point : elle oblige chacun des partis politiques et ses adhérents à regarder en face les propositions qu’il a faites, les valeurs ou idéologies qu’il a défendu (ou tenté de défendre), à les remettre en cause et à écouter celles des autres. Cela impose du courage, de l’honnêteté.

    Quant à la girouette, bon courage pour annoncer que "les caisses sont vides", lors d’un prochain débat sur la Sécu, les retraites, l’école, la recherceh publiques ou le soutien à nos PMEs, alors qu’il a été possible de trouver €400 milliards en 48 heures pour les banques.



  • Rabelais Rabelais 26 septembre 2008 12:05

    Très bonne analyse.

    Le principe de la démocratie repose sur le droit fondamental des peuples à disposer d’eux-mêmes, à en faire de réels acteurs de la société qu’ils construisent et financent par leur travail.

    Renier ce droit, par quelqu’action que ce soit, ne peut à terme que générer angoisse, frustration puis colère chez les peuples à qui ce type de procédé retire son droit fondamental.



  • Rabelais Rabelais 3 septembre 2008 13:05

    Il est évident que même la solution de tous se faire ficher n’en est pas une. Ce délire relève du fantasme de certains du CFR aux USA (retrouvez la vidéo d’Aaron le metteur en scène) de ficher tout le monde y compris sur leur intimité, de façon ensuite à dispose d’arguments pour distinguer les "mauvais" des autres...

    Totalement inadmissible. Et je suis même étonné qu’en France un gouvernement ne tombe pas pour avoir eu une telle initiative. Nos ancêtres doivent se retourner dans leurs tombes !



  • Rabelais Rabelais 9 juillet 2008 13:14

    Bon article. C’est amusant, je voulais écrire un article sur le même sujet, et qui sans être aussi politique, aboutissait à une conclusion similaire : le bateau coule, le capitaine creuse le trou.

    Il me parait évident (je travaille dans le privé) que le passage de 217 à 235 jours de travail par an est un coup de poignard dans le dos des cadres, tous niveaux confondus.

    C’est ne rien connaitre aux négociations que de dire : ça changera rien, c’était déjà comme ça...Faux : un jour de Noël, ou un 14 Juillet travaillés avaient une valeur forte. Aujourd’hui ils n’en ont plus.

    C’est un fantastique coup de pouce au patronat (9% d’augmentation de la durée légale du travail !! sans coup férir, sans négo !!), beaucoup trop visible et fort pour ne pas rester sans effet négatif (boomerang), qui sera diffus car les cadres ne manifestent pas dans la rue.

    Laurence Parisot patrone des patrons (Medef) ne s’y est pas trompée. Informée du projet, elle a supplier le gouvernement de ne pas passer à l’acte, en Une du denrier numéor de l’Expansion. Rien n’y a fait.

    Rajouter que cela se fait alors que syndicats du patronat et syndicats des salariés s’étaient mis d’accord sur un projet plus souple, et vous avez l’illustration d’un constat : l’actuel président de la République n’est pas le garant de nos Valeurs et du consensus démocratique et républicain qui cimente les Français.
    Par contre il est le fervent, et peu discret, défenseur de certains intérêts privés (et des siens ?), c’est sur ! (que l’un d’entre nous se penche sur les récentes modifications du périmètre autorisé pour les PPP - Partenariats Public-Privés, façon politiquement correcte de dire Privatisation).

    Rappelons nous aussi que notre Président est un ancien avocat d’affaires, et qu’il a notamment été celui qui a défendu les intérêts de Martin Bouygues, lorsqu’un certain Vincent Bolloré a essayé de s’emparer du groupe Bouygues après la mort de Francis, père de François...


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