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Reinette

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« Tout être humain, quelles que soient sa race, sa nationalité, sa foi religieuse ou son idéologie, est capable de tout et de n’importe quoi. »

— Regrets sans repentir

Chester Himes

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Derniers commentaires



  • Reinette Reinette 26 juillet 2010 13:52

    Il n’est pas besoin de beaucoup remonter dans le temps pour voir la complète impuissance des raisonnements des adeptes à une idéologie politique quand ils ont à lutter contre des sentiments.

    De gauche ou de droite, les adeptes de partis est un troupeau servile qui ne saurait jamais se passer de maître. Le maître, le meneur, a d’abord été lui-même le plus souvent un mené ; il a lui-même été hypnotisé par les idées dont il est ensuite devenu l’apôtre : idéologie qui l’a envahi au point que tout disparaît en dehors d’elle, et que toute opinion contraire lui parait abomination, traîtrise et superstition.

    Pénétrés de l’importance de leur devoir, maintes fois les adeptes d’une doctrine politique n’ont pas hésités à former des sortes de tribunaux, où immédiatement sont apparus l’esprit simpliste et l’équité non moins fruste des meutes :
    - vu le nombre potentiel des accusés, ils décidaient tout d’abord que tous les individus dont la profession (seule) était une preuve de culpabilité seront massacrés en tas sans qu’il soit besoin de décision spéciale. Pour les autres, ils seraient jugés sur la mine et la réputation.
    - La conscience rudimentaire des idéologues étant ainsi satisfaite, ils pouvaient procéder légalement au massacre et donnaient libre cours à leur instincts de férocité que les collectivités ont toujours le pouvoir de développer à un haut degré.

    Ils n’empêcheront pas d’ailleurs -ainsi que cela est la règle dans les croyances à toute idéologie- la manifestation simultanée d’autres sentiments contraires, tels qu’une sensibilité humaniste souvent aussi extrême que leur tyrannie.

     



  • Reinette Reinette 26 juillet 2010 12:09



    Une foule -si neutre qu’on peut imaginer- est le plus souvent dans un état d’esprit attentiste qui permet une influence facile, presque enfantine. La première proposition formulée qui jaillit de cette multitude s’impose instantanément par contagion à tous les cerveaux, et aussitôt une inclination s’établit.

    Avec la proposition formulée, comme chez tous les hommes influencés, l’idée qui a envahi le cerveau à tendance à se transformer en acte. Qu’il s’agisse d’un bâtiment à incendier ou d’un acte d’humanité à accomplir, la foule s’y laisse aller avec la même facilité.
    Tout dépend de la nature de l’excitant : tout le contraire de se que ferait un être isolé, des rapports existant entre l’acte suggéré et la somme de raison qui peut être opposée à sa réalisation.

    Ainsi, ayant toute la violence de sentiments particulière aux hommes incapables de faire appel aux influences de la raison, dépourvue de tout esprit critique, la foule ne peut qu’être d’une niaiserie extrême.

    L’inconcevable n’existe pas pour la foule, et il faut bien se le rappeler pour comprendre la facilité avec laquelle se créent et se propagent les légendes et récits les plus fabuleux.



  • Reinette Reinette 25 juillet 2010 01:48

     Péripate , solidarité et progrès n’est pas une secte (...) Par ELCHETORIX

    http://www.prevensectes.com/solidarite3.htm
    extraits :
    Lyndon Larouche rejette un certain nombre de formes artistiques. Tout ce qui n’est pas « classique » est considéré comme de l’art dégénéré, ce qui rappelle un discours abondamment produit sous des régimes totalitaires. Un petit nombre de compositeurs trouvent grâce aux yeux de Lyndon Larouche, comme Beethoven, J.S. Bach, Mozart, Brahms, Verdi par exemple. Sont rejetés les compositeurs baroques, les contemporains, entre autres, les peintres impressionnistes ou fauvistes.
    Beethoven tient une place particulière dans l’esprit de Lyndon Larouche.
    En effet, selon Dennis Tourish et Tim Wohlforth, il a utilisé, dans les années 70, la musique de ce compositeur pour « déprogrammer » un membre, Alice Weitzman, qu’il pensait être un agent de la CIA, en la maintenant captive et en lui faisant écouter la musique de ce compositeur à fort volumes.



  • Reinette Reinette 25 juillet 2010 00:44

    à Michel Koutousis
    c’est un plaisir de vous lire. article court mais dense

    JEAN sous ergot de seigle sans doute, est-ce possible à l’époque à Patmos ? smiley

    et ceux-ci zétaient shotter à quoi ? (Noé, lui, il picolait, je crois)
    Si l’Apocalypse de Jean est, d’une façon formelle, la seule apocalypse reconnue dans le Nouveau Testament, l’apocalyptique fut un genre littéraire déjà très développé dans l’Ancien Testament, en particulier dans les livres de Daniel et d’Ézéchiel. Plusieurs écrits pseudépigraphes sont des apocalypses : Apocalypse grecque de Baruch, Apocalypse syriaque de Baruch, Apocalypse d’Abraham, Apocalypse d’Élie, Apocalypse de Noé.

    Patmos Le monastère est à l’origine de la richesse de l’île, puisque le couvent fortifié bénéficia de nombreux privilèges.
    - Avez-vous eu l’occasion de visiter sa prestigieuse bibliothèque ?

    Pas touche à ma secte et ses fanatiques !
    Article de Libé : « L’Apocalypse » : nous ne sommes pas manipulés
    suite à L’Apocalypse, un film documentaire réalisée par Jérôme Prieur et Gérard Mordillat
    http://www.liberation.fr/societe/0101567907-l-apocalypse-nous-ne-sommes-pas-manipules

    En politique, en morale, en sociologie, en religion, en philosophie, le conservateur de la doctrine ancienne et le révolutionnaire le plus acharné à détruire les vérités présentes se confondent dans l’identité d’une même foi. Leur fanatisme est de même ordre ; car ils croient l’un et l’autre qu’il existe une vérité objective, propre, à l’exclusion de toute autre conception, à assurer le bonheur humain. Gaultier, Bovarysme, 1902, p. 298.



  • Reinette Reinette 24 juillet 2010 17:47

    Die Tageszeitung Sarkozy-Woerth, une relation de dépendance

    Dans tout autre pays européen, un ministre impliqué dans une telle affaire aurait dû plier bagage depuis longtemps. La France fonctionne autrement, au désespoir de certains hommes politiques de l’opposition qui – en vain, pour l’instant – souhaiteraient voir Eric Woerth tomber en raison de ses contacts personnels avec les administrateurs de la fortune de la femme la plus riche de France. Malgré plusieurs démentis, le ministre du Travail n’a pas réussi à faire taire les soupçons de conflit d’intérêts, voire d’enrichissement personnel. On se demande pourquoi le président Sarkozy le protège avec autant de véhémence et lui exprime sa “confiance totale”.

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