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« Rien ne presse (n’accable) un Etat que l’innovation : le changement donne seul forme à la tyrannie. » Montaigne.

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Derniers commentaires



  • robin robin 13 avril 2010 15:51

    Les francs maçons votent d’abord pour eux au travers des 2 partis majoritaires : UMP et PS qu’ils contrôlent.
    Tout ça c’est du grand guignol, on est censé choisir l’un ou l’autre pour que rien ne change au niveau des hauts fonctionnaires, technocrates et autres bureaucrates, tous francs maçons, et surtout intangible indéboullonnables qui seuls disposent de tous les pouvoirs, décident et proposent.
    Ils regardent passer les gouvernements d’un sourire amusé comme les vaches regardent passer les trains...



  • robin robin 13 avril 2010 15:30

    Le coté people bling-bling n’aurait pas autant agacé si il avait réussi à relancer l’économie et à faire reculer le chômage.
    Au lendemain de son élection, il s’est fait totalement rouler dans la farine par Fabius entre les 2 tours des législatives qui a vociféré contre la TVA sociale devant un Borloo incapable de répondre sur un sujet économique qu’il ne maitrisait pas.
    Fabius savait très bien que la meilleure mesure à prendre s’était la TVA sociale et il a coupé l’herbe sous le pied du Président en le poussant à renoncer à la meilleure mesure qu’il pouvait prendre.
    Ensuite la crise mondiale est venue défoncer un peu plus notre économie et voila le résultat !
    Sarkozy n’a pas su prendre la seule mesure qui pouvait sauver ce qui restait de notre industrie et des emplois qui vont avec : la TVA sociale.
    Pendant ce temps, les allemands appliquent la TVA sociale depuis janvier 2007 entrainant le doublement de leurs exportations et simultanément un fort ralentissement de leurs importations ce qui provoque une hausse constante, depuis 2007, de leur balance commerciale.
    En France c’est tout simplement le contraire !
    Hausse permanente des importations et baisses des exportations = déficit croissant de la balance commerciale et pertes d’emplois massives.



  • robin robin 11 avril 2010 19:47

     smiley merci pour cet article complet et très intéressant.
    Je reste toutefois dubitatif en ce qui concerne le rendement complet d’une pile à hydrogène.
    En effet, pour faire de l’hydrogène on va utiliser des énergies et produire de l’hydrogène avec un rendement PCI (Pouvoir Calorifique Inférieur) au maximum de 30 %.
    La pile à hydrogène a quant à elle un rendement de 50 % PCI en électricité jusqu’à 90 % (+ 40 % de chaleur) si on travaille en cogénération par l’utilisation de la chaleur.
    Finalement le rendement global PCI ne sera donc que de 15 % maximum en production d’énergie électrique (30 *50 %).
    Dés lors quel intérêt d’utiliser l’hydrogène au lieu d’utiliser directement l’énergie qui a servie à la fabriquer avec un rendement 2 fois plus important ?



  • robin robin 11 avril 2010 14:34

    BRAVO, courageux, bon article, très pédagogique, condensé, efficace, clair et honnête.
    Question : pourquoi les politiques ne le font pas alors que la croissance insolente de la balance commerciale allemande (plus d’exportations et moins d’importations : exactement l’inverse de la France) démontre depuis janvier 2007, date de l’entrée de la TVA sociale en Allemagne, toute la pertinence du modèle de la TVA sociale.
    Tout simplement parce que nos hommes politiques de droite et de gauche ont peur du groupe de pression le plus important en France : les fonctionnaires et leurs syndicats très mobilisés et particulièrement soudés sur le plan électoral pour défendre leurs fameux avantages acquis contre toute logique économique en farouche opposants à la TVA sociale, car pas concernés par le rapport concurrentiel mondial qui sévit dans le secteur privé.
    En effet, ces derniers bénéficient d’avantages exorbitants du reste de la population du secteur privé (emplois garantis à vie, avancement à l’ancienneté, retraites calculées sur les 6 derniers mois, etc...) qui les placent en position de principal bénéficiaire du système des importations à bas prix, importations qui ne supportent pas le coût social français comprenant en grande partie leurs avantages « particuliers » et qui donc leur permet d’accroitre leur pouvoir d’achat sans bénéficier d’augmentations de salaires. Leurs fameux avantages acquis, qui les place à l’abri des vicissitudes de l’économie mondialisée, font qu’ils sont coupés de la réalité économique imposée uniquement aux salariés du secteur privé.
    Les victimes de ce système sont les industries et leurs salariés du secteur privé tombés pour satisfaire les privilèges des salariés du secteur public avides d’augmentations de leurs pouvoirs d’achat au travers du dumping des prix des importations exonérées du coût de leurs avantages particuliers des salariés du secteur public notamment.
    Les entreprises délocalisent tout simplement pour pouvoir être concurrentiel et pouvoir ensuite importer sans le coût social imposé aux entreprises produisant en France.
    Mais ça personne ne veut en entendre parler, c’est du politiquement incorrect.
    Fabius, en fin tacticien, avait attaqué Borlo sur cette question juste avant les législatives en 2007. Borlo avait été bien incapable d’argumenter manquant de connaissance économiques.
    Fabius avait réussi à tuer dans l’oeuf la meilleure des mesures que le gouvernement devait prendre à l’époque : la TVA sociale.
    Fabius savait pertinemment que cette mesure était la seule qui pouvait être économiquement efficace permettant à Sarkozy d’être réélu en 2012.
    Le coup de bluff de Fabius a bien fonctionné, Sarkozy c’est déballonné et la TVA sociale a été enterrée. Echec et mat.
    La guerre politique a donc eu raison de toute logique économique cartésienne.
    Le problème c’est que les fonctionnaires oublient qu’ils sont en train de couper la branche sur laquelle ils sont assis : les salariés et les entreprises du secteur privé qui font l’économie réelle de notre pays et financent leur privilèges et autres fameux avantages acquis.
    Au fur et à mesure que les entreprises disparaissent, les cotisations et charges qui étaient payés par ces dernières vont être uniquement réparties sur l’ensemble des entreprises privées « survivantes ». Les plus fragiles d’entre elles, c’est à dire la plus part d’entre elles qui ne sont pas des multinationales du CAC 40 en situation de monopole sur le territoire national, celle qui représentent 80% de l’emploi salarié du secteur privé, vont alors subir ces hausses de charges qu’elles ne pourront supporter, ce qui entrainera de nouvelles disparitions d’entreprises et d’emplois dans un cercle vicieux de destructions d’entreprises et d’emplois sans fin.
    Disparitions qui entraineront de nouvelles hausses de charges sur les entreprises survivantes, etc... etc... dans un cercle vicieux qui risque de se terminer en nouvelle révolution au travers d’une guerre civile, car le seuil limite n’est pas très loin, le déficit national en croissance constante est là pour en témoigner.
    Historiquement, la France n’a jamais réussi à se réformer en profondeur sans révolution, rien de nouveau donc.



  • robin robin 8 avril 2010 16:34

    Effectivement les salariés du pôle emploi ont une mission impossible à réaliser car le problème ne provient pas de la destruction des emplois dont ils subissent, aux premières loges, les conséquences, mais de L’ABSENCE DE CREATIONS D’EMPLOIS, auxquelles ils n’ont comme réponse que 3 choix :
    - formations plus ou moins bidons pour tronquer les chiffres
    - radiations forcées pour faire baisser les chiffres
    - travail forcé ou dévalorisé à temps partiel pour tronquer encore et toujours les chiffres

    La destruction des emplois rentre dans un cycle Schumpeterien classique de destruction des outils de travail devenus obsolètes, mais le problème aujourd’hui c’est qu’il n’y a plus de CREATIONS DE NOUVELLES ENTREPRISES INNOVANTES POUR COMPENSER CETTE DESTRUCTION.
    Schumpeter expliquait les cycles d’innovations par la destruction créatrice.
    Aujourd’hui en France nous avons seulement la destruction sans aucune création.
    Toute la question est POURQUOI ?

    Pourquoi n’y-a-t-il plus d’entreprises innovantes créées en France et les emplois qui vont avec ?

    Tout simplement parce que le financement des entreprises innovantes a été mis depuis 1969 (40 ans !) entre les mains d’un monopole public (EPIC) OSEO/ANVAR dirigé par des énarques, des bureaucrates et des hauts fonctionnaires dont le rôle est justement de bloquer toutes les innovations majeures et de ruptures qui pourraient créeer une concurrence et compromettre les juteux monopoles captifs des multinationales du CAC40.

    Le français Gernelle inventa le premier micro-ordinateur au monde en 1972 (Brevets 73 03 553 pour le Micral et 73 03 552), soit 3 ans avant les américains d’IBM, mais il ne fut jamais fabriqué en France car il fut castré par l’ANVAR et BULL (entreprise d’état à l’époque) qui craignaient pour leurs gros systèmes et leurs monopoles en France.

    Un autre exemple, POUZIN, inventa le TCPIP en 1971, c’est à dire le langage du réseau internet par lequel nous communiquons, mais son budget fut soudainement coupé par l’ANVAR sous pression des PTT (France telecom - orange) qui craignaient que cela ne fasse concurrence au Minitel et à son monopole en France... Résultat : Pouzin c’est expatrié aux USA ou les américains lui ont fournis tous les moyens financiers qu’il souhaitait pour finaliser son protocole que nous utilisons en permanence aujourd’hui sur internet... Au fait, vous en avez encore un de minitel vous ???...

    Aurions nous autant de chômeurs et de problèmes au pôle emploi si seulement ces 2 « petites innovations » que sont le micro-ordinateur et le réseau internet, parmi tant d’autres qui ont été containts par OSEO/ANVAR de s’expatrier, avaient été développées en France et les sociétés qui vont avec telles que microsoft, google, etc...

    Chômage incompressible = 3 %
    Chômage structurel (adaptation de l’offre et de la demande) = environ 0,75 %
    Le total ne devrait pas dépasser 4%.

    Pour les 6 % de chômeurs au dessus (officiel) et beaucoup plus (environ 15 % au total), remerciez donc l’ANVAR/OSEO et sa mafia d’état de hauts bureaucrates, technocrates et autres énarques qui continuent de se goinfrer, en toute impunité, sur la misère sociale en rétribution de la protection des monopoles des multinationales du CAC 40 qui peuvent pratiquer des hausses de prix honteuses (+ 10 % sur le prix du gaz par exemple) pour s’enrichir encore plus car toute concurrence potentielle a été tuée dans l’oeuf par OSEO/ANVAR et son monopole sur le financement des innovations.

    De temps en temps, il faut lever la tête du guidon pour regarder un peu plus loin...

    http://www.les-cercles.fr/economie/economie-societe/politique-economique/1339-le-grand-emprunt-les-innovateurs-et-oseo

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