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Je suis réalisateur de film. Mais j’aime tous les modes d’expressions à partir du moment où le vivre et penser ensemble est possible. j’ai fais une école de cinéma et me suis très trop penché sur le rapport écrit image, propre à notre époque. La bataille est serrée, un mode d’expression va-t-il l’emporter sur l’autre ou pas ? Voilà, où je suis en ce moment, avec mes modestes moyens.

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  • Premier article le 09/08/2007
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Derniers commentaires



  • rodofr rodofr 27 novembre 2007 16:03

    Merci pour votre article que je trouve très bien. Mais, ne croyez-vous pas que ce soubresaut de la dernière chance, de faire survivre un ancien monde avec sa grille de lecture dépassée par le nouveau, qui parait s’écrire au jour le jour, pose à mon avis une question autrement plus redoutable, sur l’avènement de ce qu’on pourrait appeler l’auto-gouvernement par « le peuple », dont le net, serait l’arme par excellence. Un pensée émise par le philosophe marcel Gauchet. Et dont nous voyons aujourd’hui, les toutes premières batailles de cet avènement à l’œuvre, et dont personne ne sait quelle forme elle prendra. Délégitimation des politiques, des artistes, économique, journalistiques, médiatiques. C’est incroyable. De voir par le net, cette mise en accusation de l’ancien monde, avec plus ou moins de réussite, selon les acteurs et sa capacité d’atteindre tous les foyers en même temps. Une guerre de tranchée virtuelle, ou chacun lutte pour sa survie. Et je crois bien qu’on en est qu’au début. Une question que je me pose ? En tout cas merci pour votre article.



  • rodofr rodofr 27 novembre 2007 15:36

    Merci pour cette pique de rappel ! Les bras m’en tombent. Ce qui m’inquiète dans ce régime de communicants incroyablement doués, c’est combien de temps vont-ils tenir un rythme pareil de boue transformer en or par médias interposés. Je vois les gens autour de moi, et bien que je constate un léger fléchissement des gens sur la réalité de ce régime personnalisée, ils n’ont pas encore ou refuse de réaliser, ce à quoi nous sommes soumis. Il est vrai que la désaliénation est un processus long mais quand même, beaucoup de feux commencent à clignoter au rouge. J’y vois une chose. La démocratie est un apprentissage et les valeurs qu’elles portent ont tellement été usées jusqu’à la corde pour des raisons détournées par nos prédécesseurs, et une bonne partie de nos élites, que les gens sont pas loin de tout lui pardonner, pourvu qu’il en sorte quelque chose dont on soit enfin fier. Jamais ils pensent qu’une civilisation dont les valeurs naguère brillante et qui ne font plus l’unanimité, à l’aube du tout économique, puissent mourir un jour comme une langue morte. Pour avoir avoir défendu l’indéfendable. Merci pour L’AER.



  • rodofr rodofr 26 novembre 2007 18:24

    A l’heure du tout people, où les artistes se demandent ce qui se passe pour mériter un pareil monde sans faire une analyse poussée sur leurs responsabilisées, ou l’individualisme et l’argent reigne à outrance, pour ne pas dire le cynisme et où la beauté du cœur s’enfonce dans les lumières d’une époque lointaine. L’antidote Daniel Balavoine, un oiseau devenu rare, qui reste dans la mémoire collective comme celui qui avait des tripes, vient nous rappeler que rien n’est impossible. Quelques paroles, du courage et le coeur fera le reste. Abandonner vos querelles d’épiciers face à internet qui dévore vos marges, réveiller vos consciences et oser l’amour ! le vrai ! Ce don que vous avez reçu n’a d’autre fonction que d’être le porte voix des plus faibles, des anonymes, qui cherchent une voix dans le désert, un espoir qu’ils seront entendus et qu’une communion entre tous peut être possible. Mais le spectacle des artistes d’aujourd’hui est affligeant. Cherchés à poursuivre les internautes à coup de lois liberticides, flicages en tout genre à travers la commission “Olivennes”et de l’autre, jouer les humanistes d’un jour pour les plus démunis d’entre nous, c’est montrer votre cynisme en pleine lumière comme pour le président de la “Fnac”, grand superviseur de cette commission. Les règles du jeu ont changés et il faut s’adapter. Voilà tout. Mais pas en allant lorgner du côté du populisme, où tout est bon pour supprimer ce qui reste comme liberté public, pour satisfaire un modèle économique aux abois. Sinon la parole libre vous quittera pour toujours et personne ne voudra plus vous écouter. Artistes, réveillez-vous et soyez-les plus libre d’entre-nous. On n’a besoin de vous à l’heure des grands changements.



  • rodofr rodofr 23 novembre 2007 18:00

    Je plains la “Fnac” (une société du groupe Pinault Printemps Redoute), naguère à la pointe de la culture de masse, se retrouver dans l’image de celui qui a porté le tout répressif, dans le nouvelle espace de liberté qu’est devenue internet. Tout le monde est d’accord pour une solution à trouver pour les ayant droits, mais la méthode employée est loin d’être satisfaisante. A jouer la carte du tout répressif, ces monsieurs vont se retrouver au centre d’une haine, qui n’aura d’égal que leur aveuglement et l’avarice qui les guide. Je prédis qu’ils s’entredévoreront entre eux, tant l’image détestable qu’il vont susciter donnera à penser que le jeu en valait peut-être pas la chandelle. Car il ne s’agit pas que d’argent, mais d’un nouvelle espace de liberté. Un espace que les internautes et monsieur tout le monde c’est approprié, et de mettre la pression, le soupçon, sur le moindre mouvement numérique, et pour tout dire, le citoyen que nous sommes, est une faute, qui à mon avis se retournera contre eux et les perdra. Car l’image et la publicité sont devenues incontournables. Et de comparer internet à la rue, au prétexte qu’elle a des lois, c’est comparer le film “2001, Odyssée de l’espace” avec un film de Fernandel. La démonstration ne tient pas. Les dimensions n’ont rien à voir. Chaque jour, le virtuel se découvre de nouvelles possibilités, de nouveaux mondes à redéfinirent en permanence. Et personne ne sait où il va. C’est la nouvelle aventure globale pour le meilleur et pour le pire. Et la Fnac n’a pas fini de se retrouvé pointer du doigt dès qu’on parlera d’elle. Et pour répondre à Sarkosy, qu’il parle d’internet comme un Far West qu’il s’agit de mater, je répondrais que la France n’est pas un espace de jeu pour Shérif à la gâchette facile. Pour ma part, je boycotterais la Fnac et j’inviterais mes amis à faire de même. Non pas pour protéger les pirates, mais pour le mépris que ces gens manifestent pour tout ce qui est innovent, nouveau, parce que la chose ne rentre pas dans leur intérêt. Leurs responsabilités est totale. Et je vois se profiler le danger, d’un libéralisme de plus en plus répressif, car tirant sa légitimité dans une économie virtuelle qui souffrent de visibilité. Donc, stop à tous ceux qui leur échappe. En tout cas, les dindons de la farce sont les artistes, dont le courage n’a d’égale que la perte supposé de leur gain. Il y a une redistribution des cartes à l’échelle mondiale, qui aurait pu se faire sans trop de casse, si le politique l’économique et le culturel n’avait pas voulu tirer la couverture pour eux seuls. Dans le vieux pays révolutionnaire que nous sommes, l’affrontement sera inévitable. Une belle occasion de manquée.



  • rodofr rodofr 23 novembre 2007 05:58

    Croyez-moi, bientôt ils vont nous jalouser pour notre liberté de ton, notre maladresse qui est aussi une force, car le signe d’une humanité faillible, prêtre à apprendre des autres, doutant d’elle même autant que fonçant bille en tête, parqu’assoiffée de savoir, de citoyenneté, de vie, de liberté, d’une révolution des cœurs et des consciences et le pire pour eux, ils seront quasiment dans l’obligation de faire jeu égal avec nous. Non pas qu’on soit meilleurs qu’eux, mais pour ne pas donner l’image de collé aux pouvoir en place où de dire avec des mots académiques, dans un ton décomplexé, où se trouve le curseur de la vérité des choses et des hommes et de passer pour des donneurs de leçon sur le comment s’organise la société, où sont les bons et les méchants... Internet a ce formidable avantage comme on peut le voir en Italie, de remettre tout le monde sur le même plan de lecture. A chacun maintenant de bosser avec ces tripes et de donner le meilleurs de soi même pour le bien d’agoravox que j’aime bien et de plein d’autres sites tout heureux de ce nouveau moyen d’expression, donné pour le meilleurs comme pour le pire. A nous d’en faire quelque chose. Comme disait Camus, la vérité se dérobe toujours et est toujours à reconquérir. Ce que beaucoup on oublié.

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