Nouvel auteur

IL EST POSSIBLE QUE le troc existait avant l’argent. Le pauvre à cet époque était celui qui ne savait rien faire de ses mains, ni construire, donc rien échanger. Il est possible que les riches d’aujourd’hui soient ces « deux mains gauches » de cette lointaine époque, les « bras cassés », les improductifs dont on se moquait, incapables de cultiver, les maladroits, les nuls …Il y eut donc inversion de valeur à un moment donné ainsi que des lois iniques. Aujourd’hui, les petits doigts boudinés des mains de beurre comptent les billets sans jamais rien faire si bien que ces mains ont fini par devenir… invisibles ?

Exact. L’auteur reconnait être un modeste ver de terre à rayures en crise depuis qu’il né et il va sans doute le rester jusqu’à la fin, et dans la confusion. Je confirme. 

On est d’ailleurs dans le même marasme économique - si pas pire- qu’au début du siècle où un couple de salariés ne parvenaient pas à nouer les deux bouts alors que les assemblées citaient à l’ordre du jour : la lutte contre la pauvreté. (J’ai enquêté dans le cadre d’un livre à ce sujet – on s’est toujours fait bernés !)

Définir exactement l’objectif initial de des groupes de penseurs –décideurs exige une certaine prudence si on veut rester crédible étant donné le caractère secret de leurs réunions et des décisions qui y sont prises – ce qui alimente de facto les théories conspirationnistes ou complotistes sans pour autant connaître le centre «  caché ».

Il est possible que les leaders mondiaux concernés ne soient que des parties engagées par un contrat, donc des éléments liés par les clauses d’une convention plutôt que de simples pantins. Je l’ignore, mais il semble que la main tenant la tringle est invisible.

Une certaine presse parle d’Asservissement du monde comme si ce n’était déjà pas le cas et même depuis des millénaires - mais en voyant le comportement compulsif des milliards de consommateurs en addiction, cette économie a encore de beaux jours devant elle : merci la vache à lait ! On ne manipule pas un troupeau, on le maintient.

La réponse aux comportements psychologies de l’espèce est expliquée dans les traités de psychologie.

La grosse majorité du monde ignorait les importants transferts de capitaux qui précédaient le déroulement des opérations et les plans financiers incluant des versements contrôlés par les Rothschild au profit de l’Allemagne nazie et ceci bien avant 1940, mais également vers les soviétiques.

 Pendant que les peuples faisaient la sourde oreille, les grandes puissances étaient pleinement conscientes des idéologies et des répercussions qui allaient inévitablement se produire en Europe. Qui dit plan, dit aussi calcul. L’historien G. Edward Griffin parle d’un cartel établi en territoire nazi contrôlant l’industrie…

(Les personnes qui se posent des questions représentent moins de 2% de la société ! C’est une minorité invisible. Ca se respecte.)

Bonjour et merci, mais le lien ne fonctionne pas. : « Il semblerait que nous ne soyons pas en mesure de trouver votre contenu. Essayez en lançant une recherche, ou à l’aide de l’un des lien ci-dessous. »

Merci de ces précisions. Au moins vous fournissez des réponses qui complètent ma réflexion à propos de la pensée économique–

D’autres questions me viennent à l’esprit en vous lisant bien sûr, mais je serais hors sujet, OR (woops) c’est déjà – pour moi- un exercice difficile de traduire mon questionnement (belge) en mots pour exprimer des chiffres et leur conséquence. En fait, je me demandais - étant l’auteur d’un projet de logement pour démunis et mal logés depuis 2004 – pourquoi rien de concret ne se passait à ce niveau malgré les promesses d’investissement en centaines de millions d’€- Amazing ! (j’ai décortiqué les discours politique à ce sujet : des soufflets !) mais ne connaissant rien en politique et n’étant pas intégré dans ce milieu, je tentais de remplir les blancs à ma façon bien sûr, mais en m’essoufflant. La main invisible a plus que cinq doigts, mais le concept est obsolète, c’est une vieille momie selon moi… 

En fait, rien ni personne ne nous oblige d’en faire partie, on fait un choix, une expérience et on agit en conséquence en fonction de sa personnalité, de son intelligence, etc.

Le réseau a ses propres compères (souvent rémunérés) qui écument les tribunes en essayant de dézinguer les hérétiques non alignés et même les critiques constructives ! C’est le hic. Ils sont souvent plusieurs ou à deux, et appliquent des techniques profitant de la confusion et de la peur des internautes de se singulariser en disant simplement : « Stop, on t’a démasqué ! », pour discréditer l’auteur en assimilant ses déclarations, ou des attitudes, gestes, paroles, écrits à des idées extrêmes, pour réveiller la haine, la violence, semer le doute, la peur, la discorde et provoquer des conflits. Ce phénomène est courant lorsqu’on aborde la politique des thèmes fédérateurs.