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Roland Verhille

Roland Verhille

Ancien expert-comptable puis Directeur financier, j’applique le conseil de Voltaire, je cultive mon jardin.
J’essaie aussi de cultiver l’information de mes concitoyens en continuant à mettre en oeuvre mes techniques comptables. Je le fais à propos des comptabilités commerciales rendues incompréhensibles du fait des normalisateurs. Je le fais aussi comme ici, en mettant en oeuvre ces mêmes techniques pour donner du sens à cette merveille de comptabilité nationale elle aussi rendue menteuse du fait de ceux qui en ont normalisé les méthodes.
La difficulté, c’est la faible disposition des Français à supporter les chiffres. J’en tiens compte, j’essaie d’éviter de leur infliger une migraine. 

Tableau de bord

  • Premier article le 03/12/2007
  • Modérateur depuis le 07/02/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique












Derniers commentaires



  • Roland Verhille Roland Verhille 15 juillet 2008 19:53

    Les laisser se planter, oui, mais quelles conséquences ? Leurs emprunts sont impayés. Qui leur a prêté ? Je l’ignore, mais cela retomberait probablement directement ou indirectement sur les banques. Et ensuite ? L’ampleur des sommes en cause est telle que, probablement, directement ou indirectement, cela retomberait sur les clients des banques, particuliers et entreprises.
    C’est un peu comme les destructions de la dernière guerre : l’Allemagne paiera. On a vu !



  • Roland Verhille Roland Verhille 15 juillet 2008 18:46

    Utiles explications, mais que vient faire dans cette affaire le libertarianisme ? Ce n’est pas lui, mais le dirigisme étatique qui a crée cette crise au moyen de ses politiques économiques et monétaires trentenaires mises en œuvre pour doper les économies. Ce sont bien les états qui ont déversé sur le monde cet océan de monnaie fautif. Seuls les états ont les moyens de créer pareils désastres. Alors Forest Ent, autant cela soit révoltant, et vous comme moi sommes révoltés, qui voulez vous qui paie les « pots cassés » ? Les Banques ? D’accord, mais ce serait les rayer du paysage, d’autres devraient être créées pour les remplacer. Les entreprises, ou certaines d’entre elles ? Pareil.

    Ne chargez pas des boucs émissaires. Les gens ont perdu le contrôle de leur état, là est le problème.



  • Roland Verhille Roland Verhille 1er juillet 2008 20:30

    Le titre de l’article est préférable aux discours sur la dette.

    La dépense publique est le premier des problèmes français, elle est la cause de presque tous nos maux. Il n’y a aucun distinguo à y faire, ni dépenses des services publics et prestations sociales, ni dépenses de fonctionnement et dépenses d’investissement, ni dépenses de l’état central et celles des collectivités locales, etc. La dépense publique, c’est ce qui est prélevé d’autorité sur le produit de l’activité des travailleurs d’hier, d’aujourd’hui ou de demain (la dette) par l’état qui estime savoir mieux employer cet argent que les gens eux-mêmes. Si la plupart des humains savent gérer leur porte monnaie, on ne connaît pas de technique de gestion efficace pour ce qui est des bureaucraties gérant le porte monnaie des autres. C’est toujours la curée sur les caisses publiques, il n’y a jamais suffisamment de moyens pour remplir correctement les missions dévolues.

    Le niveau de la dépense publique par rapport à la dépense privée tel que officiellement dit et repris par tous, même par ici Forest Ent, est très minoré, et j’ai de très sérieuses raisons de dire qu’il l’est volontairement par les plus hautes autorités publiques. En réalité, c’est bien plus des deux tiers du produit de l’activité des travailleurs qui est dépensé par l’état.

    Passer en revue les dépenses publiques pour tenter de débusquer celles pouvant être supprimées sans empêcher les services publics de continuer à faire ce qu’ils font n’est que de l’agitation politicienne, de la poudre aux yeux. C’est la place prise par l’état dans les activités des gens qui est outrancière et doit être énormément réduite pour retrouver une situation normale. On ne voit pas que nos politiques puissent s’y atteler, le pays s’enfonce inéluctablement. Jusqu’à quand ? Impossible de répondre.



  • Roland Verhille Roland Verhille 1er juillet 2008 19:56

    A Gilles,
    Votre intervention ne vaut même pas une réplique.



  • Roland Verhille Roland Verhille 1er juillet 2008 10:16

    Vu, merci Gazi Borat pour ces très interessantes précisions. Vous semblez bien documenté sur ces questions.
    Le niveau des masses : Eh oui, je pense que l’humanité n’est pas encore suffisamment évoluée pour être capable de faire fonctionner correctement des Etats vraiment démocratiques, respecteux de la nature humaine, et je me demande si les Etats ne sont pas eux-mêmes un obstacle à cette évolution favorable de l’humain, à son éducation à la démocratie (En France, l’école publique a été instaurée à cet effet, et après environ un siècle, c’est un désastre).

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