Illustrateur, j’ai eu le grand plaisir d’illustrer pour lui la pochette de son disque « NICE BAIE DES ANGES ». Je l’avais rencontré avant cela chez JO ALLEN devant un Burger et ce fut très sympa. Parmi les « trois » cités — Jojo, Schmoll et lui — il était le plus pointu intellectuellement et comme dit plus haut pas bêcheur !
Tous les vendredis j’allais avec potes et potesses au Golf DROUOT mais ne le vis jamais, contrairement à Vince Taylor, les Fantômes, les Pirates, Moustique, Johnny et sa TRÈS belle Sylvie au bar au des années que les moins de 20 ans.... Époque formidable pour les jeunes alors, la société (à Paris en tous cas) passa du noir au blanc via le gris... à toutes les couleurs ! Les BEATLES balayèrent tous nos ami-es Yé yé durant qq années avant leurs retours, en vrac et un peu changés : les trois accords de guitare ne suffisant plus... puis vinrent les fleurs... les illusions aussi... puis ???
En 1938, les Compagnies en faillite furent « sauvées » par l’État qui transforma en conséquences le réseau devenu SNCF. Le fameux « monopole », qui semble gêner aujourd’hui, fut donc imposé hier par les carences réunies de ces fameux « capitaines d’industries » (ces généraux qui toujours gagnent les guerres accusant ailleurs les soldats de les perdre...) ! Justement, la guerre de 14 fut-elle rentable ? Celle de 40 le fut-elle également ? Et l’Ecole : combien ça rapporte ? On le voit, ce genre de questionnement myope oublie que les trains décriés sont traités comme l’hôpital public, contraints de tout accepter de la société, contrairement à l’instar de la clinique du coin qui « choisit » ce qui lui rapporte et se fout bien de toutes sortes d’urgences ! À ce sujet, lorsque l’hôpital public reçoit 100 il en dépense 100 pour toute son activité, la clinique, elle et pour la même somme reçue, n’en dépense que 80 ou 85 sur 100 dans son activité, la différence allant se perdre dans des poches d’actionnaires anonymes de sociétés propriétaires... In fine, il semble osé d’accuser cette vénérable maison SNCF ou d’accuser seul le bâtiment TITANIC, simple gros objet flottant et non les humains : dans tous les cas, le lampiste à le dos large et les « zélites » aux commandes depuis des lustres, sont de mauvais aiguilleurs qui se foutent bien de l’entreprise qui fut - lorsqu’elle était dirigée avec conscience - un bel exemple vanté à travers le monde, auquel elle ne cessa de prodiguer tant de pertinents et savants conseils techniques et autres.... Cordialement
@Cateaufoncel J’entends bien, mais le tragique d’un grand et grave accident - par exemple le crash d’un avion - ne réside pas dans la nationalité de telles ou telles victime particulière mais bien dans la tristesse à l’endroit d’un ensemble d’humains, sans distinction d’identité cette dernière n’ajoutant en rien à l’émotion... selon moi ? Pleurent-on plus pour un de « NOUS » et moins pour un de « EUX » ? Cordialement
Aux apprentis journalistes on expliquait : « Lorsqu’un chien mord un Évêque, ce n’est pas une nouvelle mais lorsqu’un Évêque mord un chien : ça coco c’est un scoop !!! ». J’approuve cet article qui rejoins en questionnement lorsqu’une d’une brève, annonçant un drame, que des français ou autres sont parmi les victimes : en quoi la nationalité trouve dès lors son importance particulière ??? Cordialement
Souvent, le débat s’articule autour d’illusoires « frontières retrouvées », celles-ci sont objets de stigmatisation légitime, selon une certaine acception dont les arrières pensées (l’étranger) sont masquées, par définition. Cela dit, le débat en réalité se porte plutôt sur la remise à niveau de « règles communes » à revoir, afin qu’un « intérêt général » - éthique et équitable - émerge mais alors : une règle ressemble étrangement à une « frontière » qu’il ne faudrait pas dépasser ? On voit ici la confusion dans les esprits laquelle pollue la réflexion et éloigne de la possibilité d’accords vertueux pour l’ensemble, qu’il soit français, européen ou planétaire... Quand les mots sont incompris il génèrent des réactions « incompréhensibles »... et ajoutent au malheur par ces mauvais choix - disait Camus. Salutations