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  • Scalpweb Scalpweb 5 juin 2008 14:26

    il vous faudrat aller vrs les structures lier à cela, c’est le cas de l’esperanto.

    C’est exactement mon avis, et c’est là tout le problème de l’esperanto il me semble. Si pour pouvoir parler esperanto, il faut se trouver à des endroits particuliers, alors l’esperanto peut donc être comparé à un hobbie, tels les passionnés de jeux de rôle qui se réunissent pour partager leurs passions, par exemple. Ca réduit tout de même sèrieusement le rôle de l’esperanto.

    l’anglais n’est pas toujours d’un grand secours, ;des exemples on en trouve par millions sur le web

    Sur le web ? C’est justement sur le Web que, à mon avis, l’anglais est indispensable. Je prends mon exemple, en tant que développeur informatique. Si je ne parlais pas anglais, jen’aurais jamais pu me sortir de certaines situations, car la communauté anglophone est mile fois (au minimum) plus développée que la communauté francophone. Et ce dans quasiment tout les domaines, c’est incontestable. Je dirais donc, mois, qu’on trouve non pas mes millions mais des milliards d’exemples, sur le Web, de situation où l’Anglais est indispensable. Et permettez moi de penser que désormais, avec la croissance perpétuelle d’Internet, l’Anglais renforce chaque jours un peu plus sa position dominante.

    Et justement si, la langue est en partie vecteur d’une culture de pensée, d’une maniere differente d’associer les mots à la sémantique et aux concepts

    Je pourrais ici citer votre paragraphe entier, mais cela prendrait trop de place. Si on admets que vous avez raison, alors le fait de vouloir établir une langue unique réduirait les différence de cultures entre les peuples. C’est donc incontestablement un apauvrissement de la société humaine.

    Pour ce rendre compte que l’anglais est bien mais non suffisant il suffit de se rendre dans un aéroport international et d’ouvrir les yeux, de regarder et d’observer les voyageurs et dans la foule on peu s’apercevoir que certains sont dans une grande detresse linguistique qu’ils aient ou non un bon niveau d’anglais international

    Donnez moi une exemple concret ! Cette démonstration n’a pas de sens, elle n’est basée sur rien ! Une grande détaresse linguistique ? Dans tous les aéroports que j’ai connus, toutes le sinformatiosn étaient traduites en anglais. Et personnelement, je n’ai jamais vu de personnes ayant un bon niveau d’Anglais international en détresse. Du moins pas en détresse liées à la langue, évidemment.

    Encore une fois, ce type de raisonnement me parait très flou. Prenons cette phrase, extraite de votre commentaire :

    des exemples on en trouve par millions sur le web

    C’est le genre de phrase qui ne peut absolument rien prouver. Si je vous dis : l’esperanto est inutile, on en trouve des millions d’exemples sur le Web, vous n’allez certainement pas me croir sur parole... Si ?



  • Scalpweb Scalpweb 5 juin 2008 12:17

    Vous remarquerez que j’ai eu quelques soucis pour réussir à placer ce post au bon endroit, j’espère que cette fois c’est la bonne...

     

    Je vais me permettre une longue citation, vieille d’un an à peu de chose près.

    J’aimerais avoir la chance de pouvoir lire le point de vue de Mr Masson ou un de ces accolytes sur ce texte. Il est évident que je ne n’attends pas de vous l’éternel "Raisonnement absurde basé sur une ignorance totale du sujet et sur des supputations non moins absurdes", ni même le récit de quelques expèriences invérifiables telles qu’une soit-disant rencontre dans un train entre Oslo et Göteborg. Non, ce que je j’attends de vous Mr Masson, c’est une réponse basée sur un raisonnement clair et compréhensible, un raisonnement de ce type :

    J’en lis beaucoup ici qui réfutent d’un ton méprisant l’idée que "personne ne parle l’espéranto", mais j’ai eu beau m’user les yeux, je n’ai lu aucune donnée chiffrée. Par curiosité, j’ai cherché, eh bien ce n’est pas difficile à trouver, rien que sur Wikipedia, on trouve "entre 100 000 et 2 millions" de locuteurs. L’association "Lille-Villeneuve espéranto" fournit des chiffres plus impressionnants, "de 2 à 10 millions", ne craignant pas de préciser que "certains avancent 15 millions", en tout cas, c’est "plusieurs millions". Plus modeste, la "Fédération espéranto Nord" annonce "plus d’un million". Dans tous les cas, la source d’information la plus fiable sur le sujet semble être "le livre Guiness des records", qui assène un bon 6 millions du haut de son autorité incontestable en matière de linguistique. Que de monde en effet ! Bon, il faut quand même s’entendre sur ce que c’est qu’un esperantiste. S’agit-il de quelqu’un qui converse au moins une fois par semaine en espéranto ? Ou bien quelqu’un qui s’y est intéressé quelques semaines il y a vingt ans avant de se mettre à la muscu ou au macramé ?

    Allez, supposons avec quelque optimisme qu’il y ait sur Terre 2 millions d’esperantistes capables de réellement s’entendre dans cette langue. Deux millions, ça fait en du monde. Il y a de quoi remplir les Champs-Elysées de l’Etoile à l’Obelisque (pas trop serrés). Par comparaison, l’Alsacien (la langue régionale alsacienne) est pratiquée par un million d’individus environ, ce qui est du même ordre de grandeur. La principale différence entre l’alsacien et l’espéranto, c’est que si jamais je me promène du côté de Strasbourg et qu’il me vient l’idée de demander mon chemin en alsacien, c’est bien le diable si au bout de quatre ou cinq essais, je ne tombe pas sur un indigène capable de comprendre ce que je baragouine. Maintenant, supposons que je me fasse parachuter dans un pays dont j’ignore la langue et que j’utilise l’espéranto à ce pour quoi il a été conçu, c’est à dire communiquer avec des étrangers, il risque de se passer un bon moment avant que je déniche un esperantiste. Pour être précis, à supposer que je me poste à un carrefour très fréquenté et que j’aborde un aborigène toutes les cinq secondes, il faudra en moyenne 3000 essais pour trouver mon bonheur, soit un peu plus de quatre heures. Evidemment, au bout d’une demi-heure, tout individu normalement constitué laisse tomber et s’écrie : "Mais Benichou avait raison, personne ne parle espéranto !". A l’instant de cette révélation mystique, vous aurez alors croisé quelques aveugles (37 millions selon l’OMS) et pas mal de sourds (70 millions), ce qui nous invite à penser qu’il est 35 fois plus efficace d’apprendre la langue des signes que l’espéranto.

     

    Pour ma part, ce texte dont vous reconnaitrez aisément l’auteur, m’a convaincu. Ne pensez pas que je suis un mouton à la botte d’AspExplorer ou de qui que ce soit. J’essaye juste de réfléchir le mieux que je peux, de prendre les avis de chacun et de voir où l alogique me mène.

    Il est clair en tout cas, que je n’ai jamais trouvé dans vos réponses ou dans vos messages de raisonnements aussi convaincant que celui ci-dessus.



  • Scalpweb Scalpweb 5 juin 2008 12:10

    Je vais me permettre une longue citation, vieille d’un an à peu de chose près.

    J’aimerais avoir la chance de pouvoir lire le point de vue de Mr Masson ou un de ces accolytes sur ce texte. Il est évident que je ne n’attends pas de vous l’éternel "Raisonnement absurde basé sur une ignorance totale du sujet et sur des supputations non moins absurdes", ni même le récit de quelques expèriences invérifiables telles qu’une soit-disant rencontre dans un train entre Oslo et Göteborg. Non, ce que je j’attends de vous Mr Masson, c’est une réponse basée sur un raisonnement clair et compréhensible, un raisonnement de ce type :

    J’en lis beaucoup ici qui réfutent d’un ton méprisant l’idée que "personne ne parle l’espéranto", mais j’ai eu beau m’user les yeux, je n’ai lu aucune donnée chiffrée. Par curiosité, j’ai cherché, eh bien ce n’est pas difficile à trouver, rien que sur Wikipedia, on trouve "entre 100 000 et 2 millions" de locuteurs. L’association "Lille-Villeneuve espéranto" fournit des chiffres plus impressionnants, "de 2 à 10 millions", ne craignant pas de préciser que "certains avancent 15 millions", en tout cas, c’est "plusieurs millions". Plus modeste, la "Fédération espéranto Nord" annonce "plus d’un million". Dans tous les cas, la source d’information la plus fiable sur le sujet semble être "le livre Guiness des records", qui assène un bon 6 millions du haut de son autorité incontestable en matière de linguistique. Que de monde en effet ! Bon, il faut quand même s’entendre sur ce que c’est qu’un esperantiste. S’agit-il de quelqu’un qui converse au moins une fois par semaine en espéranto ? Ou bien quelqu’un qui s’y est intéressé quelques semaines il y a vingt ans avant de se mettre à la muscu ou au macramé ?

    Allez, supposons avec quelque optimisme qu’il y ait sur Terre 2 millions d’esperantistes capables de réellement s’entendre dans cette langue. Deux millions, ça fait en du monde. Il y a de quoi remplir les Champs-Elysées de l’Etoile à l’Obelisque (pas trop serrés). Par comparaison, l’Alsacien (la langue régionale alsacienne) est pratiquée par un million d’individus environ, ce qui est du même ordre de grandeur. La principale différence entre l’alsacien et l’espéranto, c’est que si jamais je me promène du côté de Strasbourg et qu’il me vient l’idée de demander mon chemin en alsacien, c’est bien le diable si au bout de quatre ou cinq essais, je ne tombe pas sur un indigène capable de comprendre ce que je baragouine. Maintenant, supposons que je me fasse parachuter dans un pays dont j’ignore la langue et que j’utilise l’espéranto à ce pour quoi il a été conçu, c’est à dire communiquer avec des étrangers, il risque de se passer un bon moment avant que je déniche un esperantiste. Pour être précis, à supposer que je me poste à un carrefour très fréquenté et que j’aborde un aborigène toutes les cinq secondes, il faudra en moyenne 3000 essais pour trouver mon bonheur, soit un peu plus de quatre heures. Evidemment, au bout d’une demi-heure, tout individu normalement constitué laisse tomber et s’écrie : "Mais Benichou avait raison, personne ne parle espéranto !". A l’instant de cette révélation mystique, vous aurez alors croisé quelques aveugles (37 millions selon l’OMS) et pas mal de sourds (70 millions), ce qui nous invite à penser qu’il est 35 fois plus efficace d’apprendre la langue des signes que l’espéranto.

     

    Pour ma part, ce texte dont vous reconnaitrez aisément l’auteur, m’a convaincu. Ne pensez pas que je suis un mouton à la botte d’AspExplorer ou de qui que ce soit. J’essaye juste de réfléchir le mieux que je peux, de prendre les avis de chacun et de voir où l alogique me mène.

    Il est clair en tout cas, que je n’ai jamais trouvé dans vos réponses ou dans vos messages de raisonnements aussi convaincant que celui ci-dessus.



  • Scalpweb Scalpweb 5 juin 2008 12:06

    Je vais me permettre une longue citation, vieille d’un an à peu de chose près.

    J’aimerais avoir la chance de pouvoir lire le point de vue de Mr Masson ou un de ces accolytes sur ce texte. Il est évident que je ne n’attends pas de vous l’éternel "Raisonnement absurde basé sur une ignorance totale du sujet et sur des supputations non moins absurdes", ni même le récit de quelques expèriences invérifiables telles qu’une soit-disant rencontre dans un train entre Oslo et Göteborg. Non, ce que je j’attends de vous Mr Masson, c’est une réponse basée sur un raisonnement clair et compréhensible, un raisonnement de ce type :

    J’en lis beaucoup ici qui réfutent d’un ton méprisant l’idée que "personne ne parle l’espéranto", mais j’ai eu beau m’user les yeux, je n’ai lu aucune donnée chiffrée. Par curiosité, j’ai cherché, eh bien ce n’est pas difficile à trouver, rien que sur Wikipedia, on trouve "entre 100 000 et 2 millions" de locuteurs. L’association "Lille-Villeneuve espéranto" fournit des chiffres plus impressionnants, "de 2 à 10 millions", ne craignant pas de préciser que "certains avancent 15 millions", en tout cas, c’est "plusieurs millions". Plus modeste, la "Fédération espéranto Nord" annonce "plus d’un million". Dans tous les cas, la source d’information la plus fiable sur le sujet semble être "le livre Guiness des records", qui assène un bon 6 millions du haut de son autorité incontestable en matière de linguistique. Que de monde en effet ! Bon, il faut quand même s’entendre sur ce que c’est qu’un esperantiste. S’agit-il de quelqu’un qui converse au moins une fois par semaine en espéranto ? Ou bien quelqu’un qui s’y est intéressé quelques semaines il y a vingt ans avant de se mettre à la muscu ou au macramé ?

    Allez, supposons avec quelque optimisme qu’il y ait sur Terre 2 millions d’esperantistes capables de réellement s’entendre dans cette langue. Deux millions, ça fait en du monde. Il y a de quoi remplir les Champs-Elysées de l’Etoile à l’Obelisque (pas trop serrés). Par comparaison, l’Alsacien (la langue régionale alsacienne) est pratiquée par un million d’individus environ, ce qui est du même ordre de grandeur. La principale différence entre l’alsacien et l’espéranto, c’est que si jamais je me promène du côté de Strasbourg et qu’il me vient l’idée de demander mon chemin en alsacien, c’est bien le diable si au bout de quatre ou cinq essais, je ne tombe pas sur un indigène capable de comprendre ce que je baragouine. Maintenant, supposons que je me fasse parachuter dans un pays dont j’ignore la langue et que j’utilise l’espéranto à ce pour quoi il a été conçu, c’est à dire communiquer avec des étrangers, il risque de se passer un bon moment avant que je déniche un esperantiste. Pour être précis, à supposer que je me poste à un carrefour très fréquenté et que j’aborde un aborigène toutes les cinq secondes, il faudra en moyenne 3000 essais pour trouver mon bonheur, soit un peu plus de quatre heures. Evidemment, au bout d’une demi-heure, tout individu normalement constitué laisse tomber et s’écrie : "Mais Benichou avait raison, personne ne parle espéranto !". A l’instant de cette révélation mystique, vous aurez alors croisé quelques aveugles (37 millions selon l’OMS) et pas mal de sourds (70 millions), ce qui nous invite à penser qu’il est 35 fois plus efficace d’apprendre la langue des signes que l’espéranto.

     

    Pour ma part, ce texte dont vous reconnaitrez aisément l’auteur, m’a convaincu. Ne pensez pas que je suis un mouton à la botte d’AspExplorer ou de qui que ce soit. J’essaye juste de réfléchir le mieux que je peux, de prendre les avis de chacun et de voir où l alogique me mène.

    Il est clair en tout cas, que je n’ai jamais trouvé dans vos réponses ou dans vos messages de raisonnements aussi convaincant que celui ci-dessus.



  • Scalpweb Scalpweb 5 juin 2008 11:42

    Asp "Explorer" (sic !)

     

    Mais enfin, Mr Masson, qu’avez-vous contre le pseudo d’AspExplorer ? Il a sensiblement l’air de vous poser problème...

     

    Peut-être le trouvez vous ridicule ? Voudriez-vous bien développer sur ce sujet, que je puisses comprendre d’où proviens cette moquerie ?


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