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seginus

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  • seginus 1er septembre 2008 18:52

    Si vraiment vous pensiez ce que vous dites, pourquoi métriez-vous tant d’ardeur à vouloir « détruire » cette langue ?
    Car si vraiment c’était insinifiant, vous ne devriez même pas y porter attention et juste rigoler à ne pas la voir évoluer.
    Hors, vous êtes parti sur un combat contre cette langue, votre logo en est même une bonne représentation. « Non à l’Espéranto » proclamez-vous ? Mais pourquoi donc ? Vous avez peur de perdre l’avantage que vous avez sur les autres de parler une langue inaccessible pour grand nombre de personne ?
    On dirait que cette langue vous fait peur, et en ce sens, vous ne pouvez la trouvez insinifiante, on ne crain pas le néant.
    Vous avez donc forcément quelque chose contre cette langue, qui dépasse le faite de croire que c’est une chimère. Mais à part être d’origine anglophone (et dans ce cas, je me demande ce que vous faites ici) je ne vois aucun intérêt à être contre l’espéranto et à vouloir décourager ceux qui souhaiteraient changer les choses et faire d’un des vieux rêves de l’humanité une réalité.



  • seginus 1er septembre 2008 16:51

    Je me suis du super, un vrai argumentaire contre l’espéranto, qu’est-ce que ça donne. Et bien c’est d’un creu, un assemblage de remise en question de petit bout de phrase, rien de concret, que du « l’anglais c’est la langue internationnal » ou autre. C’est vraiment pas un document comme ça qui peut faire changer d’avis sur quoi que ce soit.



  • seginus 1er septembre 2008 15:46

    C’est simple, on voit ce qu’on parle en espéranto et en anglais après dix ans de pratique.
    Une chose est sûr, c’est que comme tout ce qui sort un peu de l’ordinaire, les détracteurs critiques presques toujours sans jamais avoir essayé (ou alors 10 minutes, je me demande que ça aurait donné 10 minutes d’essaie de l’anglais).
    Alors un mythe, non, ça n’en est pas, et c’est même explicable et expliqué dans la vidéo de Claude Piron. L’espéranto à une grammaire extrèmement simple, aucune exception, un vocabulaire grandement factorisable par l’ajout de sufix et prefixe, là où l’anglais va par exemple formé l’adjectif lunar avec le mot moon.
    Donc ce n’est pas un mythe, mais c’est sûr qu’en se bloquant sur des a-prioris et des certitudes, on ne peut pas regarder.
    Et pour information, ceux qui disent ça sont généralement des espérantistes. Bon nombre d’entre eux sont également anglophone et peuvent donc comparer. Alors que les détracteurs n’ont comme seul justifification que leur a-prioris du à je ne sais pas quoi.
    En effet quand on a une solution pour faire communiquer toutes les nationalités simplement, sans l’utilisation d’interprète et préfère simplement dire : ce n’est pas possible, c’est le l’utopie, l’anglais c’est super, je comprend simplement pas ce qui peut motiver à avoir ce raisonnement.
    Il n’y que deux millions de pratiquants de l’espéranto dans le monde, c’est très peu. Cependant, au vu des origines de ses pratiquants, c’est sufisant comme échantillon pour dire que ça fonctionne ou pas, que c’est rapide ou pas à apprendre et que c’est compréhensible par tous où pas et même d’en étudier l’évolution.
    Je suis grandement étonné sur un tel site qui logiquement devrait être fréquenté par des gens un peu ouvert d’esprit et voulant voir un peu autre chose que ce que l’on nous dit de voir, un tel enfermement sur des préjugés qui n’apporte rien.



  • seginus 1er septembre 2008 13:57

    Ce qui est sûr avec tes tournures, c’est que tu as bien certitude sur tout :
    « L’anglais est la langue la plus apte » : et au nom de quoi ? si cette langue est si simple, pourquoi fait-on appelle à des interpretes pendant les échanges internationnaux ? Le fait est que l’anglais n’étant au contraîre pas du tout apte dans ce rôle, on utilise des gens spécialement formé pour combler cette lacune.
    En un an d’apprentissage de l’espéranto, on atteind un résultat proche de celui de dix ans d’anglais, et avec un taux de réussite incomparable. Si c’était enseigné (ce qui ferait d’ailleurs un très bon entraînement pour l’apprentissage des langues étrangères ; on commence par apprendre à marcher, pas à faire le marathon), on aurait pas besoin d’interprète et on aurait une très bonne comprehension lors des échanges (l’étude de l’union européenne à montré que avec l’anglais, seul la moitié de l’information « arrivait » au destinataire lors des échanges internationnaux.
    Donc non, l’anglais n’est pas la plus apte pour ce dommaine, loin de là (une des vidéos de Claude Piron montre d’ailleurs la quantité de catastrophe aérienne du justement au faut que l’anglais soit inadapté à ce besoin).



  • seginus 1er septembre 2008 13:14

    Il existe une catégorie de personnes de puis quelques années que forment les touristes internationnaux. On peut très bien s’intéresser à des cultures de façon superficiel et préferer cotoyer 50 cultures différentes superficiellement que de 2 en profondeur. En effet, arriver dans un pays sans en connaître la langue, sans passerelle (si on suit ton exemple, on a pas à s’aider de l’anglais), c’est long.
    Le deuxième point est que, même si certains sont contre, nous vivons une époque de mondialisation. Les français vivent en union européenne et les décisions sont prisent logiquement ensemble. Et bien figure toi que tout les politiques de tout les pays ne parlent pas toutes les langues de leur correspondant et que quand un nouvel état devient membre, tout le monde n’apprend pas une nouvelle langue. Et là oui, on fait appel à une langue commune, qui est pour l’instant l’anglais. Hors toutes les études dont celles faites par l’union européenne elle-même montre que c’est un désastre complet. Le soucis est que le monde et la politique est dictée par les industriels qui sont eux, parfaitement anglophone. Et donner à tous les moyens de s’exprimer à pied d’égalité est pour eux néphaste. D’où sans doute une des bonnes raisons du tabou fait autour de l’espéranto.
    Pas étonnant d’ailleurs que les pays les plus rétissants à l’usage de cette langue soit les pays les plus liés au monde des affaires (comme la France).

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