l’expression « idiots utiles » n’est pas nouvelle. C’est ainsi que Lénine désignait ses suppôts de l’étranger, qui, sans rien connaître de la situation réelle de l’URSS, ne tarissaient jamais d’éloge à son égard.
L’expression ne s’est, malheureusement, jamais démodée et les idiots utiles fleurissent encore sous les sunlights. Des exemples ?
- Besancenot pour Trotzki et/ou Che Guevara,
- Jospin pour Trotzki, décidement très tendance le créateur de l’armée rouge,
- la kyrielle habituelle des « artistes et intellectuels » toujours à la recherche de la défense d’une cause quelconque à condition qu’elle soit bien médiatisée.
Je ne cite pas de nom, regardez TF1 ce soir.
Maintenant que vous connaissez l’origine de l’expression, vous pouvez compléter la liste, pour ma part j’abandonne pour cause de nausée.
Quand j’ai vu Chabal interviouvé par la première dinde de TF1, grande spécialiste du rugby, j’ai compris que la journée risquait fort de partir en quenouille.
Merci l’auteur pour cet article qui, au delà du fond, démontre qu’un fils d’immigré est tout à fait capable de s’exprimer avec élégance et nuance dans la langue de son pays d’accueil.
On est loin des zyvas mais, chut !!! il ne faut pas le dire, réservé aux racistes-fascistes, caca !
Autant on peut comprendre qu’un pays un peu plus prospère que ses voisins accueille des travailleurs étrangers, et surtout lorsqu’il y a du travail pour tout le monde, autant, lorsqu’il s’agit d’une immigration de peuplement, la donne est totalement changée.
On voit souvent écrit que seuls 7 % des immigrés viennent pour exercer un travail, ce qui signifie que 93 % des immigrés viennent se servir aux différents guichets dont ils connaissent les prodigalités mieux que n’importe quel Français.
Dans ce cas il me semble que l’on ne peut plus parler d’immigration mais plus exactement d’invasion.
C’est ce que ressentent la plupart des gens, sans toutefois oser le formuler de peur d’être taxés des adjectifs habituels.
Une invasion, c’est une agression et là, il me semble que le peuple devrait avoir son mot à dire.