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sissa

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  • sissa 7 août 2011 12:00

    Filendrick se trompe. Le taux de CO2 est exprimé en proportion de volume vis vis de l’atmosphère en entier. C’est ce qu’on dit lorsqu’on affirme que le taux de CO2 est de 380 ppm (part par million en volume) 

    Il se trouve que l’augmentation de la concentration en CO2 s’accompagne d’une baisse de la quantité d’oxygène. Seulement, cette baisse est insignifiante par rapport à la quantité globale : il y a 21% d’oxygène dans ’atmosphère alors le CO2 représente environ 0,04%(il représentait0,03% avant l’ère industrielle)



  • sissa 6 août 2011 22:25

    Et si je dis que le soleil n’est pas une machine thermo nucléaire, mais la focale d’une décharge permanente d’électricité venant des bras de la galaxie vous faites quoi ?

    Un AVC ?

    Ne vous en faites pas, j’en ai vu d’autres...

    Pas mal votre truc de mélanger dans vos sources des sites sérieux avec des gros délires.



  • sissa 6 août 2011 22:18

    Ce n’est que la n-ième pseudo-réfutation du réchauffement climatique et fondé une fois de plus sur un raisonnement foireux.



  • sissa 6 août 2011 22:05

    La référence à Galilée, c’est vraiment la tarte à la crème de tous ceux qui défendent des théories en marge voire qui refusent certaines avancées de la science. Outre l’immodestie que cela suppose, il faut quand même noter que pour être dans le vrai il suffisait d’adopter des idées à l’encontre de l’opinion dominantes des chercheurs, cela se saurait depuis longtemps.

    Pour ce qui est de la « théorie israélienne », je ne sais pas d’où vous sortez cela, mais cela ne tient pas debout, les échelles de temps du réchauffement climatique et du trajet du soleil à l’intérieur des bras galactiques sont totalement différentes : quelques dizaines d’années pour le premier des millions pour le second.



  • sissa 6 août 2011 21:13

    C’est marrant de voir comment on retrouve sans cesse les même arguments.

    Par décision axiomatique (et en écartant les chiffres génants), il a été décidé que ce taux était en moyenne au XIXème siècle de 280 ppm à rapprocher des 350 actuels. Il suffit de corréler mathématiquement l’augmentation du taux avec la température, le tour est joué.
    Non, ce n’est pas axiome mais par utilisation des carottes glaciaires. Quant aux chiffres « génants » ils n’ont pas été écartés sans raison mais parce que le taux de CO2 peut être variable d’un point à l’autre ou à divers moment de la journée, et qu’en conséquence certaines mesures ne sont simplement pas représentative de l’atmosphère.

    Enfin, les équations qui ont été utilisées pour modéliser les projections climatiques sont amplifiantes. En gros, on passe les paramètres au carré au lieu d’une multiplication par 2 par exemple.
     
    Un judicieux choix d’équations mathématiques, un mauvais choix de référentiel, et en avant pour le grand délire.
    C’est tellement évident que vous n’avez aucune idée de la façon dont un modèle est fait.

    Il n’empêche que tout le système solaire se réchauffe depuis 40 ans, le phénomène est global, inquiétant, le réchauffement anthropique une probable blague.
    Mais bien sûr..

    Si le taux de CO² est fortement corrélé sur le long terme (400 000 ans) avec les températures, l’augmentation des températures précède toujours l’augmentation du CO², l’auteur a raison sur ce point.
    Un grand classique, fondé sur une entourloupe simple : faire croire que l’effet du CO2 sur le climat est déduit de corrélations, alors que c’est la compréhension d’un processus physique qu’on l’établit. Dans le passé le CO2 est venu amplifier un réchauffement du à des paramètres astronomiques.

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