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  • spartacus 6 mars 2009 11:27

     @ Kalki

     qui reprends une phrase de mon commentaire et demande  : "pourquoi ?"

     la question pose le problème de la "normalité". Vous considérez donc comme normaux (c’est à dire ne relevant pas d’une déviance) les comportements que je citais plus haut.

     Comme si ceux-ci étaient en fait naturels. Désolé, malgré mon grand âge (la soixantaine), je dois être un très grand naïf, ou avoir finalement très peu vécu...

     Si ce genre de comportements sont normaux et naturels, alors c’est moi qui suis anormal !

     Il est vrai que la "société" est à ce point déboussolée que ça en deviendrait un compliment...

     Quoique .. les Romains se délectaient bien des jeux du cirque, les masos jouissent à se faire fouetter, les bourreaux à torturer, toutes choses finalement "normales".

     Alors effectivement, pourquoi ne pas aimer bouffer de la merde ?



  • spartacus 6 mars 2009 10:59

     Je n’ai pas lu le livre. Je découvre l’article. Ce que j’en lis m’amène aux réflexions suivantes :

     Je me suis longtemps demandé ce que pouvait bien signifier l’expression "politiquement correct". Je crois avoir saisi que c’est un passe-partout que l’on peut mettre à toutes les sauces. Ainsi en l’occurence, il me semble bien qu’il s’agisse tout simplement de la "normalité". Il serait d’ailleurs plus adéquat de parler de "socialement correct". Je ne vois pas trop ce que vient faire la politique dans l’expression...

     La normalité, oui. Ce qui permet à un individu sain de corps et d’esprit de vivre en accord avec les autres (accessoirement, c’est ce qui forme la société), mais aussi et surtout en accord avec lui-même.

     Un personnage se délectant de sucer ses boutons, de se frotter le sexe contre la cuvette des chiottes, ou de se délecter de ses puanteurs diverses par manque d’hygiène, toutes choses décrites comme son mode de vie, est probablement légèrement dérangé psychiquement. Non vis-à-vis de la société (quoi que sa fréquentation ou sa proximité ne doit pas être des plus agréables), mais bien intrinsèquement.

     C’est un comportement de déviance personnelle (j’insiste la-dessus). Quel en serait le diagnostic ? Le spectre des dérangements mentaux est très large, et je ne suis pas psy.

     Ceci étant, que la description littéraire de cette sorte d’ "héroïne" puisse atteindre un tel tirage témoigne, à mon avis, de l’attrait des individus pour l’étrange ou le morbide. 

     "les gens heureux n’ont pas d’histoire...".

     Hélas...
     



  • spartacus 5 mars 2009 22:30

     Sur la réponse faite, dans mon esprit (peut-être à tort) je ne me suis pas vraiment focalisé sur l’aspect "nippon" de l’article, mais en généralisant le propos à la pornographie violente (pris au sens très large du terme, physique ou morale, dégradante pour la femme, etc...) qu’elle soit asiatique ou occidentale.

     Je pense que nous somme donc bien d’accord...



  • spartacus 5 mars 2009 20:14

     Je me permets de réintervenir à la suite d’un des derniers commentaires qui ma paru interessant...

     Plus que des images de jeux sexuels, même poussés, interfère pratiquement toujours la notion du rapport de dominant à dominé. Et ceci est inadmissible. Je ne conçois cela que dans des pratiques entre adultes (le sado-masochisme), et au risque de paraître vieux jeu, rétrograde, horriblement bourgeois ou terriblement normal (!), je pense qu’il s’agit d’une perversion. Et que montrer une perversion n’est jamais sain sur de jeunes cerveaux.

     Je m’insurge totalement contre l’image du mâle qui prend et de la femme qui donne (qui subit ?)

     Faire l’amour (l’acte sexuel) c’est donner. Prendre son plaisir, c’est en donner à l’autre.

     Et il me semble que faire comprendre cela à des enfants (même jeunes) c’est leur préparer une adolescence plus heureuse et plus épanouie, en respectant le partenaire et en se respectant.

     

     



     



  • spartacus 5 mars 2009 19:09

     Je crois quand même que l’auteure du sujet a bien cerné et dénonçé les dérives dûes (pour ma part) essentiellement à la violence, et appuyé là où il faut : c’est à dire sur la fausse image pernicieuse de la femme (ou fille, ou ado, voire enfant) tendant à faire croire que le non veut dire tacitement oui.

     Là réside le vrai danger, à mon sens.

     C’est faire croire à de jeunes esprits qu’une fille qui se refuse serait en fait consentante. D’où éventuellement la permission de "forcer les choses" (violemment au besoin). Ce qui est évidemment totalement faux.

     Il est évident que l’ère de la vidéo a remplaçé le "Play-Boy" (ou le "Paris-Holywood" !), avec moults détails inconnus alors. Disons que les "enfants" en savent beaucoup plus, et bien plus tôt, que leurs parents aux mêmes âges.

     Ceci dit, et je me permets d’y revenir encore, ce n’est pas tant la forme (les images vues, et encore à condition qu’elles ne soient pas violentes) qui peut pervertir un jeune, que le fond, c’est à dire dans quelles conditions les scènes sont censées se passer.

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