Un rouge poison mortel coule dans mes veines,
Depuis que mon âme blessée erre en peine,
Breuvage noir qui brise les coeurs des reines,
Et rend la mort si attrayante et sereine....
Que les suifs continuent comme ça et ils auront de bonnes raisons de chialer...
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L’Histoire humaine bégaie et se répète Abraham en rêvait il déjà sous sa couette ? De pogroms, d’exclusions, d’exodes forcés ? De notion de peuple élu et les autres condamnés A n’être que des servants, laboureurs et vignerons Pour auto-élus qui ne prospèrent que par la manipulation ? -
Les suifs persécutés, encore et encore, à croire Qu’ils ne sont engendrés que pour ça, dans cette foire Humaine dont ils se sentent à part entière exclusifs Au point d’en vouloir à tous les non suifs -
Un manifeste pour leurs martyrs, dont il faut aller exhumer Les mémoires de faits divers de plus d’une décennie Afin de justifier leur $hoah 2.0, pauvre famille Halimi Rentabiliser leurs cadavres pour qu’on pleure sur leur sort D’éternels persécutés, de sempiternels inhumés -
Tout le $howbizz se lève pour signer comme un seul homme Le doigt sur la couture du pantalon contre le retour des pogroms L’antisémitisme, le fléau principal de la planète On oublie ainsi, fort opportunément, tout le reste Comme si tous les humains du monde en un seul geste Devaient se plier aux désidératas pas nets D’un peuple qui a trop souffert et qu’on ne peut plus souffrir Tellement leurs arrogance ne nous fait plus rire... -
Tout est cyclique dans la vie, les modes, les musiques, Les coupes de cheveux, les apparences trompeuses, Les guerres, les massacres, les boucs émissaires, Et oui, il suffit d’une étincelle pour déchaîner les enfers...
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Une allumette sur un baril de pétrole et tout s’embrase De wall street à la street tout court tout va flamber, table rase Dans ces cas là, l’humain est peu enclin à faire dans le détail Et ceux qui payeront la facture des pompiers pyromanes Seront toujours les mêmes, hors du sérail, partie du bétail Et tous les agitateurs profiteront de la céleste manne -
Sur le cadavre de leurs semblables ils danseront Repartis qu’ils seront pour une nouvelle ronde Nouveau cycle, 30 prochaines glorieuses, ils jouiront Pendant que les survivants chialeront sur nos ondes....
- En nous traitant pire que des monstres, encore Nous humilieront, nous les nazis, encore, Les BHL du futur ressortiront les mêmes phrases Les culpabilisés de demain frappés par les métastases D’un cancer millénaire qui s’appelle antisémitisme Mot inventé et galvaudé par les faiseurs d’altruisme Qui se planquent dans des banques ou ailleurs Qui se nourrissent du sang de leurs suiveurs....
- On n’est pas sortis de la synagogue... Tant mieux car ça rime avec gogue....
Je veux pour preuve que Nabe est un raté C’est que son livre n’a pas le succès souhaité Sur le web personne n’en parle, tout le monde s’en fout Sauf quelques petits fans qui devant lui se mettraient à genoux Pour exister à travers un nain, un Nabe sans eau, un gnome Il retarde de deux ou trois guerres, un vol sur un nid de coucous Tant de persévérance dans l’erreur sur la marche des hommes Puisque de Dieudonné et de Soral, depuis 2013, tout le monde s’en fout Les petits commérages de la dissidence ne valent pas les mille pages Noircies de la rancoeur éjaculatoire d’un jaloux aigri Qui lui par contre, ne l’est plus du tout, depuis Taddéï, à la page Mais bien au fond du caniveau, la juste place des abrutis.
Allo l’auteur, que de parti pris, que de sotte admiration Pour un écrit vain qui toujours se plaît dans l’abjection
Nabe sans eau, Nabe pas beau Le style looser Nabe, il l’a Non mais allo Nabe, alloooooo Il vend ses slips pour 2 euros Non mais allo Nabe, alloooooo Dans l’oubli tu sombreras
Ancienne gloire du temps du régal des vermines Pour lequel il fut banni par l’élite des cathodiques plateaux Après s’être fait refaire le portrait par Benamou Il faisait pitié avec ses habits rétros et sa petite mine De collégien frustré qui servait de défouloir aux blaireaux Dans les couloirs de son lycée pour babtous
Has been carabiné au beur FM Celui qui préfère qu’on le haïsse Par snobisme plutôt qu’on ne l’aime Il n’a pour l’humanité que jaunisse Varices, vices, sévices et malsaine scatophilie Il crache sa gerbe d’or de peur qu’on ne l’oublie
Pauvre petit Nabe sans eau, sans plume, sans talent Il n’est plus que le reflet de ce qu’il est vraiment Pas vraiment fou, pas vraiment dément Juste un obscur médiocre qui voulait paraître Il lui aurait fallu du panache pour être Mais pour lui, le génie fût aux abonnés absents...