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testarossa

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  • Premier article le 17/01/2009
  • Modérateur depuis le 20/05/2010
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Derniers commentaires



  • testarossa 8 février 2012 14:47

    Pour commencer il se peut que j’ai manqué de clarté dans mes propos mais seul « Xa » a semble t’il bien compris la problématique !

    Le fait que l’état ait à rembourser des intérêts prouve bien qu’il-y-a une limite par conséquent à la cavalerie financière. Car en fait le principal est toujours remboursé... par de nouveaux emprunts !!! inutile de dire que c’est open bar s’il n’y a plus d’intérêts à verser.
    MAIS DES INTERETS QUE L’ON REPAYE A QUI A VOTRE AVIS ?

    MAIS A VOUS AVEC VOS P... D’ASSURANCE VIE BIEN SUR ! Et dire que si ça se trouve vous trouvez QUE LE RENDEMENT DE CES « JUNKS BONDS » EST DERISOIRE !!!

    SANS COMPTER COMME PAR HASARD AUX NICHES FISCALES EN ASSURANCE VIE...
    Le financement de la dette publique est une affaire « si rentable » qu’elle a besoin d’être... défiscalisée !!!

    Avant de parler de ces salopards de banquiers, renseignez vous bien de savoir comment sont générés les intérêts de VOS produits d’épargne, vous risqueriez d’avoir des grosses surprises...



  • testarossa 6 février 2012 20:45

    Un grand merci pour l’ensemble de ces réponses par leur nombre et surtout par leur caractère respectueux...

    Je souhaiterais que l’on me réponde sur le fond et que l’on évite le hors sujet.

    Primo ma crainte est très simple : le fait que l’état ne soit que le spécialiste du remboursement des dettes par de nouvelles dettes.
    Reconnaissez que ce mécanisme est sans le moindre frein !
    Effectivement que seul le remboursement des intérêts pose problème dans le système actuel. Mais que je sache, cela constitue... au moins une limite et une contrainte de remboursement !

    Dès lors une création monétaire complètement débridée et hors de tout contrôle ne peut mener qu’à une inflation hors de tout contrôle.

    Encore une fois : que les choses soient bien claires : on est tous d’accord pour préférer emprunter à taux zéro plutôt que de payer un intérêt. Seulement voilà, ce que je pointe du doigt c’est le fait que ce mécanisme soit complètement dévoyé par les autorités publiques.

    Deuxio quant au caractère régalien de battre monnaie : je vous propose la question suivante : que préférez vous recevoir : des patates, de l’or, de l’argent ou tout autre actif tangible ou du vulgaire papier ? Perso, je préfèrerais recevoir uniquement un actif tangible.
    Maintenant pourquoi on vous propose l’Euro ? Car l’Euro a un cours légal : vous êtes obligé de régler vos achats en euros.
    C’est comme si on vous obligeait à boire de l’eau empoisonnée : n’aurait on pas le droit d’en vérifier la provenance ?

    A votre avis pourquoi ? Pour laisser faire n’importe quoi aux autorités monétaires...
    On remarquera que le soit disant droit de battre monnaie se transforme en obligation légale d’utiliser cette même monnaie...



  • testarossa 6 février 2012 11:20

    Ah mais mon cher ami : je reprends vos propos dans votre introduction :

    "Le capitalisme et son accumulation de capital par l’intérêt est un système mathématiquement condamné qui conduit à l’explosion de la dette et donc, à la catastrophe sociale« 

    Vous semblez tout confondre ! Renseignez vous sur c’est que le capitalisme sans capital.
    Voilà l’énormité qui nous conduit là où nous en sommes : que de faire croire que le financement de l’activité économique sur fonds propres (épargne pour le privé ou impôts pour le secteur public) est équivalent à un financement par l’endettement.

    C’est que l’endettement maximise le rendement des fonds propres par effet de levier pardi !
    Pour le secteur public on appelle cela l’effet »multiplicateur des dépenses publiques" très cher aux keynesiens de tous bords.

    Or ce mode de financement est beaucoup plus risqué puisqu’il faut rembourser systématiquement à la fin de l’année ses emprunts et ce quelque soit l’évolution de la conjoncture économique. Conséquence : les entreprises ne sont plus flexibles et l’état accumule une dette publique sans fin...



  • testarossa 21 janvier 2012 22:42

    Le meilleur refuge, c’est... l’argent !!!
    Mais l’argent c’est moins rare que l’or non ?
    Oui mais l’argent c’est utile : c’est très utilisé dans l’industrie.
    Résultat il ne reste pas beaucoup d’argent de disponible sur le marché...
    Quant à ceux qui croient encore encore aux actions : qu’ils regardent un graphique dow/Gold : ils vont très vite être calmés...



  • testarossa 18 janvier 2012 21:48

    Merci Olivier pour cette réponse.

    Attention tout de même, ne confondez pas tout ! La titrisation c’est quand un banquier n’assume pas le risque de défaut de son emprunteur : il a rendu sa créance négociable.

    Le marché des dettes publiques est situé effectivement sur le marché obligataire.
    Sans vouloir vous vexer les uns et les autres, en économie pas plus qu’en médecine il n’existe de solution miracle. La crise des dettes publiques ne provient de rien d’autre qu’à un déséquilibre des comptes publics entre recettes et dépenses. Ce n’est pas plus bête que cela !

    Méfiez vous comme de la peste des soit disant « recettes miracles ».
    C’est comme de la médication : elles ont toutes leurs effets secondaires indésirables !.
    Pour reprendre encore une fois l’analogie avec la médecine, j’ai bien peur que nous soyons dans une situation réellement très très préoccupante : nous sommes proche de l’amputation de la première jambe et j’ai bien peur que pour ne guérir véritablement de la maladie, il ne faille amputer la seconde !!!

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