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Thomas Guénolé

Thomas Guénolé

Né le 13 septembre 1982.
Vit à Paris et a grandi à Nice.
Diplômé de Sciences Po Paris, promotion 2005.
Diplômé d’EM Lyon, promotion 2008. 

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  • Premier article le 19/04/2007
  • Modérateur depuis le 04/05/2007
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Derniers commentaires



  • Thomas Guénolé Thomas Guénolé 14 septembre 2011 00:55

    Cher Monsieur Raveaud,

    Je suis très heureux que vous me contactiez. J’avais vu votre reprise de ma tribune sur votre blog, et cherchais justement comment vous joindre pour en discuter.

    Je tiens bien sûr à votre disposition les chiffres et méthodes de calcul que j’ai utilisés. Mon adresse e-mail est [email protected]. Envoyez-moi un mail pour que j’aie la vôtre, et je vous enverrai le tout.

    Bien à vous,

    Thomas Guénolé



  • Thomas Guénolé Thomas Guénolé 4 mars 2010 18:54

    Mais c’est qu’il se fait de plus en plus aimable. smiley



  • Thomas Guénolé Thomas Guénolé 4 mars 2010 18:51

    Pas particulièrement. La crise financière a frappé tous azimuts, soit directement soit par contagion.

    Amicalement,

    TG



  • Thomas Guénolé Thomas Guénolé 13 janvier 2010 20:13

    Réponse à serious :

    C’est effectivement contre-intuitif, mais les banques ont systématiquement intérêt à ce que vous preniez un taux variable.

    D’abord, avec un taux fixe la banque est sûre qu’elle ne pourra jamais vous faire payer un taux d’intérêt plus important. Elle préfère donc que vous preniez un taux variable.

    Ensuite, pour que ce raisonnement tienne la route, il faut que sur le long terme (qui est la durée des prêts comme les prêts immobiliers, 20-25-30 ans) la tendance des taux soit plus souvent à monter qu’à descendre, et que leur tendance soit de monter plus haut qu’ils ne descendent bas.

    En d’autres termes, quand vous prenez un taux variable vous faites le pari que les taux seront plus souvent inférieurs que supérieurs au taux fixe que vous auriez pu prendre, et que l’amplitude des hausses sera compensée par celle des baisses. Bien entendu la banque fait le pari inverse.

    A votre avis, qui gagne en bout de course ? smiley

    TG



  • Thomas Guénolé Thomas Guénolé 13 janvier 2010 20:04

    Réponse à Cipango :

    Les grandes banques en difficulté ont été sauvées de la déroute par l’intervention (un peu) des Etats et (beaucoup) des banques centrales (Fed, BCE, etc.). Cela donne après coup le sentiment d’un « pile je gagne, face je suis sauvé par les Etats ». Cependant cette vision est une reconstruction artificielle de la réalité.

    En effet, quand la crise des subprime leur a pété à la figure, ces mêmes banques ne savaient pas comment Etats et banques centrales allaient se comporter, ne serait-ce que parce que ces derniers ne le savaient pas eux-mêmes au départ.

    En résumé donc, je crois que cette hypothèse de banques comptant dès avant la crise sur les sauvetages étatiques est fausse et repose à la fois sur une surestimation du degré de réflexion des grandes banques quant à leurs stratégies, et sur une sous-estimation du caractère largement improvisé des mesures de sauvetage appliquées par les Etats et les banques centrales.

    Bien à vous,

    TG

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