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  • tonio 6 juin 2007 13:25

    j’accumule les erreurs de manipulation. Le bon lien se retrouve un peu plus bas, mais je le remets ici http://ec.europa.eu/education/programmes/llp/erasmus/what_en.html





  • tonio 6 juin 2007 13:23

    Oui, peu d’étudiant s’engagent dans cette aventure, ou plutôt 2% des étudiants ont déjà fait un stage à l’étranger avec le financement Erasmus, ce qui ne correspond pas tout à fait avec le pourcentage d’étudiants ayant réalisé une mobilité internationale, ce qui n’est pas la même chose, vous en conviendrez.

    Je n’ai pas précisé que je ne parle pas allemand, donc être en Suisse germanophone sans connaître un mot d’allemand, cela ne laisse que la solution de l’anglais ou le français pour la communication. L’anglais étant beaucoup plus courant que le français, je perfectionne mon anglais.

    Erasmus n’est pas destiné à améliorer le niveau d’anglais, mais le niveau de langue, afin de promouvoir les langues de l’UE (http://ec.europa.eu/education/programmes/llp/erasmus/what_en.html)(désolé c’est en anglais) De plus, sur mon lien, il est précisé que ces mobilités permettent d’améliorer les compétences.

    Franchement, que le français ne soit plus présent dans les universités libanaises, je m’en contrefous. Il est vrai que c’est plus gênant que des universités françaises n’enseignent qu’en anglais, sur ceci je vous rejoins.

    Mais de toute façon, bien qu’il y ait plus de 2% d’étudiants ayant bénéficié de ces mobilités, cela reste minotaire, et ce n’est pas en attaquant Erasmus mundus que la défense de la langue française se fera. De plus j’ai précisé que je faisais moi-même partie des défenseurs de la langue française, l’anglais n’est utile au chercheur français que pour le travail, non pour la vie courante.



  • tonio 6 juin 2007 11:04

    Je vous trouve très réducteur. Connaissez-vous quelqu’un qui « est parti en Erasmus » (expression consacrée) ? Je pense bien que non puisque la très grande majorité des étudiants profitant de ce programme en sont très satisfaits.

    Je vais vous donner mon expérience personnelle. Je suis actuellement en stage en entreprise en Suisse (du côté allemand où personne ne parle français), sous financement Leonardo (exactement la même chose que Erasmus, mais pour les stages au lieu des études). Ces mobilités sont bien plus que de simples stages linguistiques payés (pas grand chose, d’ailleurs) par les contribuables européens. Ce sont des découvertes culturelles passionantes. De même, cela correspond à l’immersion en « milieu difficile » dans le sens où l’on se retrouve dans un pays étranger, pratiquant une langue étrangère. La seule solution de s’en sortir est l’adaptation et l’intégration (mot à la mode en ce moment). Ces deux qualités sont essentielles dans le milieu professionnel, et, indirectement, même les études en pays étranger sont formatrices.

    Au niveau professionnel, dans mon domaine (recherche forestière), la connaissance de l’anglais est primordiale. En effet, pour obtenir des financements, il faut se faire connaître et reconnaître, et pour se faire connaître et reconnaître, il faut publier des articles dans des journaux scientifiques. Ces journaux scientifiques sont en anglais, et le peu de journaux français existants n’ont aucun impact.

    Par ailleurs, ce n’est pas parce que l’ont va dans un pays étranger que l’on oublie sa langue maternelle, bien au contraire. Je me fais toujours un point d’honneur à éviter les anglicismes.

    Tout ça pour dire que c’est article n’est qu’un énième pamphlet anti-anglophone. Mais il faut comprendre que dans le monde actuel, la France n’est qu’un pays parmi d’autres, et que le français n’est parlé que dans peu de pays. L’ère de la domination de la langue française s’est éteint il y a bien longtemps.

    Au passage, la première destination européenne des étudiants français est l’Espagne, loin devant. La destination « Royaume-Uni » subi un fort tassement, avec l’émergence de nouvelles destinations à la mode (pays nordiques et nouveaux pays de l’UE).

    Cordialement


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