Et dans l’ordre d’apparition à l’écran, grand merci à... HAL9000, fergus, maharadh, foufouille...
pour leurs commentaires emplis de chaleur amicale, de témoignages personnels et de fraternelles pensées...
Je ne sais pas si il y a de quoi y perdre son latin dans la dite comparaison de ces deux faits, et si c’est c’est préjudiciable de perdre son latin au vu que le latin est devenue une langue morte de nos jours, mais en ce qui concerne l’état mental de nos sociétés contemporaines en général, je crois qu’il y a matière à s’interroger au vu du crescendo des actes de violences diverses, perceptibles dans la symphonie fantastique d’un monde aux abois...
Il me semble qu’il s’agirait de ne pas rester aphone devant un minimum de questionnement, quand bien même
il soit impossible de dépasser le fait que tout acte de folie soit quelque part un défi à l’entendement...
Comme le souligne l’article de Jean-Luc Crucifix, Reynaldo Hahn était un brillant touche à tout, qui s’intéressait à l’ensemble du monde artistique avec le même coeur pour chacun de ses aspects, et souvent beaucoup de brio dans ses réalisations. Un parcours de vie d’artiste en tant que telle, une bien heureuse raison de le faire sortir des oubliettes...
“Je n’aime pas moins la littérature que la musique, la peinture que la poésie, une paysage qu’un page de Chateaubriand, un Poussin que l’ouverure de Don Juan”.
Merci pour cet article qui fait ressurgir du passé des figures artistiques étonnantes , émouvantes,
suggérant de multiples liens et ponts entre les différentes disciplines artistiques de la belle époque.
Les échanges épistolaires entre Marcel Proust et Reynaldo Hahn sont toujours amusants à découvrir ou à revoir, en particulier pour ce qui concerne les dessins de l’auteur d’Albertine disparue, qui truffait les lettres à son amant de clins d’oeil aux accents parfois caustiques...
Quelques aspects sur le lien ci dessous permettront de se faire une idée de l’humour et de la poésie présents dans leurs relations...