Déjà il y a 6-7 ans quand j’étais au lycée, les grèves on y croyait même plus : c’était juste un moyen de sécher les cours pour 90% du lycée.
Comme disait un de mes profs, il n’y a qu’à comparer le nombre d’absent en cours et le nombre de personne « dans la rue ». C’est plus devenu une routine qu’autre chose, et ça se banalise à un tel point que le jour où il y aura vraiment besoin de faire grève, tout le monde s’en moquera éperdument. A force de crier au loup…