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Woland

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Juriste à la retraite

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Derniers commentaires



  • Woland Woland 13 novembre 2009 02:04

    Au lieu de « la parte qui précède », bien lire « la partie qui précède » (et non pas « la partouze qui précède »).



  • Woland Woland 13 novembre 2009 02:00

    En fait, la seule chose qui intéresse vraiment le Ministre de la Cul•ture (le petit rond noir inséré au milieu du mot représente le trou de la parte qui précède), ce sont les affaires de lèche-culs. La pauvre Marie NDiaye est donc bien mal barrée...



  • Woland Woland 12 novembre 2009 21:49

    Frédéric Mitterrand ne prend position que dans les affaires de cul. En l’espèce, s’il s’abstient, c’est probablement qu’il tient les protagonistes pour des faux-culs...



  • Woland Woland 11 novembre 2009 12:35

    Le rôle dévolu à Pharaon dans l’Exode n’est pas sans analogie avec celui endossé, douze ou treize siècles plus tard, par Judas l’Iscariote, l’apôtre qui livra Jésus à ses ennemis pour trente pièces d’argent (cf. Matthieu 26:15, 27:3 et 27:9). “En vérité, en vérité, je vous le déclare, l’un de vous me trahira”, avait annoncé Jésus à ses disciples pendant la Cène (Jean 13:21 ; dans le même sens : Matthieu 26:21 et Marc 14:18). “Judas (...) prit alors la parole et demanda : <<Maître, est-ce moi ?>>. Jésus lui répondit : <<Tu l’as dit >>” (Matthieu 26:25). L’Évangile johannique donne une version quelque peu différente et plus “touchante” des faits : Jésus ayant révélé aux Douze que l’un d’entre eux le trahirait, ce n’est pas Judas qui demanda : “Seigneur, lequel est-ce ?” (Jean 13:25) mais “celui que Jésus aimait” (Jean 13:23, confirmé par Jean 21:20) et “qui était couché sur le sein de Jésus” (ibid. ; à propos de cette position inattendue, il y a lieu de préciser que – contrairement à ce que montrent la plupart des oeuvres d’art représentant la Cène – les convives ne mangeaient pas assis à une table mais, comme le voulait le rituel, allongés sur des banquettes). Or donc, l’élu de son coeur “s’étant penché sur la poitrine de Jésus” (Jean 13:25) pour poser la question fatidique, “Jésus répondit : <<C’est celui à qui je donnerai le morceau que je vais tremper>>. Puis, ayant trempé un morceau, il le prit et le donna à Judas Iscariote, fils de Simon. Aussitôt que Judas l’eut pris, Satan entra en lui” (Jean 13:26-27 ; Jean 13:30 précise : “Dès qu’il eut pris le morceau de pain, Judas sortit. Il faisait nuit”). À partir du moment où, parce que Dieu en avait ainsi décidé, “Satan entra dans Judas” (Luc 22:3), l’Iscariote cessa d’être un homme libre, condamné qu’il était à jouer le rôle de traître que le plan élaboré en haut lieu lui avait attribué. Comme il est écrit dans Actes 1:16, il fallait que s’accomplît ce que le Saint Esprit, dans l’Écriture, a annoncé d’avance, par la bouche de David, au sujet de Judas, qui a été le guide de ceux qui ont saisi Jésus”. Le malheureux Judas fut si affecté par son épouvantable forfait qu’aussitôt sa destinée accomplie, “il alla se pendre” (Matthieu 27:5). L’auteur céleste de ce méprisable scénario porte l’entière responsabilité de la trahison et du suicide de Judas, tant il est vrai que celui-ci, à l’image de Pharaon et de Job, n’a été qu’un instrument entre ses mains toutes-puissantes. Quant à Jésus, il n’a fait que répéter les paroles que son configurateur de Père lui soufflait à l’oreille et agir en conformité avec elles.



  • Woland Woland 10 novembre 2009 21:09

    On a le droit de contester tout ce qui est mensonger. Or la Bible - de la virginité de Marie à la résurrection de Jésus, en passant par le Jugement dernier - n’est qu’un tissu de mensonges. Si le Dieu révélé des trois grandes religions monothéistes existait, la priorité des priorités serait de le mettre hors d’état de nuire en lui tordant le cou.

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