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Commentaire de IP115

sur Sarkoland ou Disneyland ?


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IP115 27 avril 2007 11:13

« Les derniers rebondissements de l’entrevue ratée de Ségo/Bayrou n’ont rien a voir non plus avec le gentil Sarko diabolisé ? »

Royal dénonce « des pressions » contre la PQR, qui dément !

Et dire que l’ « oie blanche » avait commencé la campagne en déclarant qu’elle ne voulait pas entrer dans le jeu des attaques personnelles (laissant cela aux éléphants). Voila pourtant ce qu’elle se permet de déclarer gratuitement :

« Ce n’est pas le président de la PQR qui, paraît-il, a été reçu ce matin par Nicolas Sarkozy, qui va empêcher le moindre débat »

La PQR dément immédiatement avoir été l’objet de pression de la part de l’entourage de NS. Voila ce que lui répond le Président de la PQR, propos rapporté par le NouvelObs :

« Le président du Syndicat de la presse quotidienne régionale (SPQR), Michel Comboul, a déclaré jeudi 26 avril que les déclarations de Ségolène Royal accusant la presse régionale d’avoir subi des »pressions« pour ne pas organiser un débat Royal-Bayrou étaient »inacceptables" et il a démenti formellement avoir rencontré dans la matinée Nicolas Sarkozy, comme l’a affirmé la candidate socialiste.

« Nicolas Sarkozy ne m’a pas reçu. J’étais toute la matinée au congrès de l’Inma (International Newspaper Marketing Association, à Paris). J’y ai pris la parole. Il y a 500 personnes qui étaient présentes au congrès et qui peuvent en témoigner », a déclaré à l’AFP Michel Comboul, président du Syndicat de la presse quotidienne régionale (SPQR).

« Je déments formellement toute pression. Il y a des choses qui sont inacceptables. La presse régionale n’est sous aucune influence » partisane, a déclaré Michel Comboul, qui est également président du groupe Nice-Matin. "

Pourtant « le SPQR, compte tenu de l’actualité, était plutôt disposé à accepter ces nouvelles conditions : »même si ça favorisait Ségolène Royal, nous étions plutôt prêts à le faire. L’intervention de Ségolène Royal, en mettant en cause notre honnêteté professionnelle, a jeté un trouble dans l’esprit des éditeurs« , a observé Michel Comboul. »Nous sommes pris dans la tourmente électorale. Il n’y a pas eu la moindre pression« , a-t-il insisté. »

Nous voila revenu aux pires magouilles politiciennes de l’époque Mitterrandienne, dont SR et TOUS les éléphants qui l’entourent sont les (in)dignes héritiers.


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