@ Toutes et à tous
Je prie le lecteur d’être indulgent. Ma démarche a démarré avec un simple fait divers. Ce fait m’a paru suffisamment important pour le traiter plus en profondeur. Mon intention n’était pas de présenter un article de compétition entre la France et l’Europe ou la France et le Canada. Les données statistiques (lisez bien Élizabeth Badinter) ne doivent pas servir à des clivages ou des interprétations excessives sur la violence des hommes ou la violence des femmes. Il y a violence, c’est indiscutable. J’ai voulu montrer qu’elle était présente, à travers quelques données statistiques, incluant le Canada, en raison de ma citoyenneté, afin d’éviter justement ce jeu des compétitions malsaines.
Il est particulièrement difficile de réunir les chiffres les plus exacts possibles sur des tendances en la matière. Aucune statistique harmonisée ne donne une image exacte de la tendance pays par pays. Y a-t-il plus de violence aux États-Unis qu’en France ou en Angleterre ? Là n’était pas le but recherché de cet article.
Il est bien évident que si de tels chiffres avaient été accessibles ou réunis, je les aurais présentés en priorité. La méthodologie actuelle est bien faible. J’en conviens. Puisse-t-elle simplement éclairer les esprits et éveiller les consciences. Cela sera déjà un objectif atteint.
Je vous remercie de votre compréhension et comprenez bien que vous n’avez pas devant un statisticien chevronné mais un rédacteur curieux et attristé par le sujet qu’il a traité.
Pierre R.