bonjour sylvain,
je suis désolée mais il faut savoir ce que l’on veut :
- soit on veut se soigner et se prendre en charge, dans ces cas, on passe par dessus les effets secondaires, qui ne sont en général que provisoires, le temps que le corps s’habitue au traitement... dans le cas contraire, on ajuste et/ou on change les molécules.
- soit, on chipote, et on se laisse mener par la maladie.
dans le cas d’une maladie chronique, un dialogue permanent avec le corps médical est souhaitable. d’autant plus lorsqu’il s’agit de douleurs chroniques.
mon expérience me fait dire, plus le patient se prend en charge, moins il a d’effets secondaires, et mieux il maîtrise sa maladie, car il vit « avec » et non « contre ».
en ce qui concerne les douleurs chroniques, les causes sont infinies, et un tout simple « mal de dos » peut avoir plusieurs origines : mécaniques, centrales, projetées...
la prise en charge de celles-ci comportent un aspect pluridisciplinaire : médicaments, suivi psychologique, thérapies cognitives, kiné, activités réeducatives.
c’est pour cela que les centres et les réseaux anti-douleur ont été créés. et depuis 2001, un module en 2° cycle d’études médicales, est spécialement consacré à la douleur.
voici quelques liens sur la prise en charge de la douleur en france :
- http://www.sante.gouv.fr/htm/dossiers/prog_douleur/sommaire.htm
- http://www.pediadol.org/rubrique.php3?id_rubrique=110
- http://www.pediadol.org/IMG/pdf/SFETD_2007.pdf?PHPSESSID=ef4dedfdc6b861e59c737311d33a2940
- http://www.setd-douleur.org/index1.php
- http://www.chusa.upmc.fr/physio/cetd/index.html
- http://www.institut-upsa-douleur.org/layout/heading.aspx?ItemID=de305c56-7cfb-4f60-ace1-267647629178