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Commentaire de Ingrid du Midi

sur Comment contrer les lobbies de toute sorte et comment aller vers la démocratie


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Ingrid du Midi 10 septembre 2007 12:05

Voir, plus haut, mon commentaire de 11h46 sur les nombreux commentaires enlevés parce qu’ils parlaient de cercles comme :

- Le Siècle, que presque tous les « VIP » de la politique française fréquentent ou ont fréquenté.

Exemples de liens :

http://www.strategies.fr/archives/1365/136504901/management_14_le_pouvoir_a _la_table_du_siecle.html

http://www.faits-et-documents.com/archives/118.pdf

- Ou la Commission Trilatérale, où on trouve des « sommités » de la politique française et de tous les pays capitalistes, appartenant tous les courants « de gouvernement » (Pierre Lellouche, Laurent Fabius, Jean-Louis Bourlanges...). [ En dehors du PCF, dont des membres et « apparentés » ont lancé, avec des « syndicalistes », des politiques de toutes tendances, des représentants des multinationales et des milieux financiers... leur propre « think tank » Confrontations Europe : http://www.confrontations.org . ]

La Trilatérale a un site très complet et à travers lequel on peut même obtenir la liste de ses membres : http://www.trilateral.org .

Un autre extrait censuré par Agoravox dans les commentaires à cet article :

http://www.strategies.fr/archives/1365/136504901/management_14_le_pouvoir_a _la_table_du_siecle.html

STRATÉGIES 1365 du 14/04/2005 (page 49)

Réseaux

14-Le pouvoir à la table du Siècle

Ultrasélectif, le Siècle rassemble la quintessence du pouvoir politique, économique et médiatique. La discrétion de ses membres est à la hauteur de son influence.

Un mercredi par mois, place de la Concorde à Paris, la fine fleur de la communication et des médias pénètre discrètement dans les salons de l’Automobile club de France. Ce n’est pas l’amour des voitures qui rassemble Maurice Lévy (Publicis), Alain de Pouzilhac (Havas), Serge July (Libération) ou Patrick Poivre d’Arvor (TF1), mais un dîner en compagnie de Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn, Thierry Breton, Claude Bébéar ou Nicole Notat. Tous sont membres du Siècle, le plus prestigieux des cercles de décideurs hexagonaux.

(...)

Mais n’entre pas qui veut. La sélection est rude. « On ne choisit pas le Siècle, c’est lui qui vous choisit ! », souligne Étienne Lacour. Présidé en 2005 par Renaud Denoix de Saint-Marc, vice-président du Conseil d’État, le conseil d’administration compte une quinzaine de personnalités comme Denis Jeambar (L’Express), Anne-Marie Couderc (Hachette Filipacchi Médias), Marc Tessier (France Télévisions) et même Nicole Notat (Vigeo). Triées sur le volet, les recrues gardent le statut d’invités pendant au moins un an avant de devenir membres. David Pujadas (France 2), Emmanuel Chain, Édouard de Rothschild ou Jean-François Copé ont, depuis peu, décroché le sésame.

(...)

[fin de l’extrait]

Ou encore, cet autre, tiré d’un article déjà censuré par Agoravox :

http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=217

Sarkozy, Strauss-Kahn, Bush, transversalité et targaires de la politique

(...)

Ce n’est pas tout. Nicolas Sarkozy aurait-il, de fait, choisi le candidat du Parti Socialiste aux présidentielles de 2012, en aidant Dominique Strauss-Kahn (DSK) a accéder à la présidence du Fonds monétaire international (FMI) ? La question a aussitôt été tacitement posée, et l’hypothèse continue à faire le tour de Toile. Jusqu’au parallèle avec le président sortant du FMI, Rodrigo Rato, démissionnaire avant la fin de son mandat au moment où commence de fait la campagne pour les élections espagnoles de mai 2008. La « demande européenne » d’un parti français à façade « sociale-démocrate » n’est sans doute pas étrangère à l’opération de promotion de DSK. Mais, de toute façon, Sarkozy et Strauss-Kahn ont fait les deux partie, depuis le début des années 1990, des « élites » que rassemblent les cénacles de la « transversalité » française comme le Siècle. Pareil pour Bernard Kouchner et, depuis bien avant, Jack Lang ou Jacques Attali. Ou encore François Fillon, Luc Ferry, François Hollande, plus récemment Didier Migaud ou Rachida Dati, et bien d’autres. Le monde politique est un mouchoir. Mais ces cercles se caractérisent surtout par le rôle qu’y jouent les représentants des milieux financiers et industriels, véritables patrons de la politique réelle.

Dans l’ensemble, les partis politiques sont devenus des courroies de transmission de stratégies qui ne s’élaborent, ni dans leur sein, ni même à l’Elysée ou à Matignon, mais dans les coupoles du monde des affaires. Le reste relève de la mise en scène. Le rôle, de plus en plus symbolique, du Parlement consiste à rassurer l’opinion en lui fournissant une apparence de débat et en opérant quelques mises en forme. Quant aux directions syndicales, elles se sont rapprochées des mêmes cercles et réseaux que le monde politique. Pas seulement en France, où Nicole Notat fréquentait déjà le Siècle dans les années 1990, mais aussi au niveau international. Le rôle de dirigeants de la CGT et d’autres centrales au sein du « think tank » Confrontations Europe est bien connu, de même que l’appartenance du président de l’AFL-CIO américaine John Sweeney à la Commission Trilatérale.

(...)


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