moi je me déplace en France, je cherche du travail et je vois toujours les mêmes personnes assises en train de réclamer l’aide des nantis....pas forcément les plus malheureux d’ailleurs !!
Ceux qui revent d’échanges de partages, ont une vision très humanitaire, très touristes des rapports humains... je leur conseille d’aller faire un petit séjour dans certains « quartiers » de la région parisienne, et ils verront que leurs belles paroles dégoulinantes susciteront des sourires de l’amusement puis du mépris...
cet espèce d’obsession de l’humanitaire, de l’échanges, de grands discours plein de bonnes intentions, me parait le signe d’un besoin de pénitence, de repentance, une obsession de bien faire, qui dénote une culpabilité d’une certaine caste qualifié d’intellectuels, un peu vite ; ceci
cache mal un sentiment de malaise de certains devant les écarts qui se creusent, de belles paroles face à des gens qui viennent par survie, par nécessité et qui ne sont pas du tout dans le même registre...
la réalité est autre, elle est sous nos yeux, à PARIS elle se dessine par quartier, par secteur, par banlieue, et
désolé de decevoir les grands esprits, le brassage tant révé par les idéalistes n’est qu’un mythe... ce monde est créateur de différences de classes, de tensions, d’habitat défini par ses moyens ou par son héritage et force est de constaté qu’il reste très peu d’endroit du vieux Paris, ou
les classes sociales se côtoient et les couleurs se mélangent...