• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Bof

sur « L'éducation aux médias » et l'École, ou le mycologue inconscient


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Bof 21 décembre 2007 13:03

...PAS la mycologie dans l’éducation nationale, svp ! avec la couverture réellement mortelle de notre livre de sciences naturelles qui nous montrait le très beau champignon rouge et blanc en indiquant qu’il s’agissait de l’amanite phalloïde,et ceci durant des années malgré les protestations de nos professeurs qui connaissaient encore la nature et nous disaient de ne pas oublier que l’amanite phalloïde était de teinte blanc à blanc verdâtre avec la volve,...etc...la conclusion est qu’il ne faut manger que les champignons que l’on connait et dans sa région , surtout depuis les pollutions nucléaires.

Je pense qu’il faudrait laisser l’éducation nationale nous apprendre ce qu’elle a à nous apprendre , donc lire, écrire et compter pour le primaire et surtout pour rétablir un semblant d’égalité-équité entre nous européens. Pour comprendre , dans le secondaire mais avec tous les risques que cela comporte et là arrive le vrai métier d’enseignants ; l’interprétation des lectures de la presse devrait être présente mais comment faire dans des lycées qui furent aussi marxisants durant mes études dans le nord de la France.

De plus, de nouvelles connaissances arrivent avec par exemple les nouvelles médecines pour nous occidentaux et qui sont appliquées depuis plus de cinq mille ans , comme on peut endormir un être humain et l’opérer sans douleur rien qu’avec l’utilisation d’une petite aiguille, et même si l’on fait une transfusion on endort également le transfusé, il va bien falloir un jour se retrousser les manches et accepter les explications qui vont obliger les pédagogues à accepter l’existence de l’énergie dans tout corps vivant et à accepter la diffusion de cet enseignement . La presse a donc aussi son rôle à jouer et sans tricher.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès