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Commentaire de dom

sur Vacherie d'internet !


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dom y loulou dom 6 avril 2008 01:09

@Gasty

 

parfait ton raisonnement... en tout cas en ce qui me concerne.

Bon, tu me diras que je l’avais écrit un jour qu’à force d’essayer de parler à des sourds on se demande vraiment comment parler en langage des signes sur un clavier d’ordi...

mais sur certains sujets devenus une évidence telle que le silence de l’omerta médiatique est devenu une souffrance en soi.

 

Pourtant, fournir cet effort que l’existence nous demande de chercher la stabilité en nous avant de la réclamer aux autres est incontournable si on prétend oeuvrer pour le bien de l’ensemble.

 

Nous sommes littéralements entourés de faits stupéfiants simplement parce qu’ils existent serait-ce les arbres ou les animaux, nous ne pouvons nous lasser de voir le fait que tout soit et il ne faudrait jamais perdre de vue cela, car sinon l’existence est aplatie dans des stétéotypes qui agissent comme de véritables prisons tandis que nous nous glorifions de nos grandes prouesses... , nous payons nos doléances au système qui en fait une guerre monstrueuse et ravageante sur tous les plans, qu’ils soient physiques, psychiques ou spirituels, tout y passe, mais tant que les belles spéakerinnes nous sourient à la télé une treizième planète pourrait bien être en approche que cela nous énerverait encore de nous détourner de notre attention hormonale.

Et la machine tourne, les moulins de la machine tournent, suent leur lot de billets et de canons, si on les mettait côte à côte on pourrait en faire une ceinture à la terre et le bruit de leurs crachats noie les cris des victimes qu’elles prévoient et dévorent en un cannibalisme aveugle. Ce même aveuglement qui dit que l’amour rend aveugle et sourd, dans sa surdité des vrombissements et des mots incessants qui tissent une toile étrangleuse comme les avions certains jours tissent un quadrillage sur l’azur.

 

Nous ne sommes plus maîtres de nos destins et nous ne l’avons jamais été, cette réaité nous fait tellement peur que nous avons construit cette machine qui palie à toutes nos peurs, pire nous orchestrons aujourd’hui nos peurs et les rendons réelles comme on décide des acteurs dans une pièce de théâtre, ils sont payés leur poids en or pour une vie de service... ils n’ont donc jamais le temps et leurs enfants sont apprêtés à la vision commune du monde, celle de petits tiroirs dans lesquels sont enfermés les concepts liés aux êtres, l’histoire est présentée comme un ensemble de guerres et de batailles dont il faut se souvenir sous peine d’y revenir san cesse... au lieu d’apprendre le grand air et la poussée de sève, l’horizon arrondi et les étoiles innombrables qui chntent le nom de Dieu, cela fonctionne si bien que chaque génération ne remarque pas qu’en fait c’est précisément ce qui entretient la guerre puisqu’elle est implacablement remontrée comme la plus grande des évidences de ce monstre de singe fait homme et qui a tant de peine à regarder en toute honnêteté la perfection des organes qui lui sont donnés qu’il a tendance à se demander si ses cils sont assez longs ou ses iris assez bleus plutôt que de se souvenir que ses yeux lui sont prêtés et que les lois sur lesquels ils ont été construits sont des sagesses profondes issues du coeur de la création, toutes issues d’une structure basique simple se complexifiant à l’infini, une seule loi pour permettre tout un univers, la li arc-en-ciel, la loi d’amour.

A l’image des flocons de neige dont il n’y en existe aucun de parfaitement identique.

Sur ce je vous laisse et je suis plutôt heureux de ne pas ressentir ce besoin constant de rectifier les mêmes mensonges,mais je crois que la vérité suffit quand elle est dite une seule fois et les mensonges ont besoin de se répéter tous les jours pour que l’illusion reste intacte. La vérité, même silencieuse, est et avance comme vivent et croissent tous les univers, ceux des libelulles et ceux des orangs outans ou des flamands roses. mais la folie du normal, de cette norme du mal qui a besoin de bâtons de marche pour que surtout personne ne nous traite de simple promeneur.Activité de paresse tout à fait douteuse et improductive... voilà une pensée par exemple qui peut vraiment nous obstruer complètement de la beauté du vivant, c’est comme si notre esprit n’était pas là et du coup le corps semble lourd et la réalité grise et terne, entretenons-nous cette manière de laisser notre esprit courir en-dehors de nous-même peut littéralement nous rendre malades.

 

Ramenez votre esprit ici, dans le carré d’un pouce en vous et la réalité devient magique parce que l’esprit n’a que l’imagination comme réalité et c’est bien l’alliage des deux qui donne un sens à tout ce fourmillement d’existences et de morts, de renaissances constantes.

 

Il faut comprendre cette dualité, celle de notre esprit qui vit le corps souvent comme une entrave au lieu de savourer ce véhicule et apprendre de lui, de sa lenteur face à la vitesse-pensée de l’esprit, de ces deux réalités, l’esprit ne comprend pas qu’il a besoin de dormir, il ne dort jamais, il ne comprend pas que le corps ait besoin de se nourrir puisqu’il ne se nourrit jamais, il ne comprend pas qu’il ait besoin de temps pour aller quelque part physiquement, l’esprit pense à un endroit et s’y trouve déjà tant il est un cheval fou, il doit être dompté, ses énergies canalisées et placées dans les rayons constructeurs de l’amour. Mais c’est bien à nous de faire l’effort de les rechercher, de nous tourner vers elles, car autrement, si elles se mettaient à nous courir après pour nous sauver de nos folies, aucune stabilité entre toutes les forces en présence ne pourrait subsister et donc, bien sûr et hallelouya, elles se contentent de maintenir les créatures, à elles de trouver le chemin vers les rayons harmoniques.

Apprendre à en faire une seule, de ces deux réalités distinctes du corps et de l’esprit, est l’apprentissage de toute une vie et c’est notre vrais travail pour retrouver chacun sa place dans l’âme de l’amour. Aucun autre travail n’est plus ardu à celui qui entreprend le voyage de l’incarnation, aucun travail plus gratifiant car autrement il n’y a rien et c’est bien ce qui rend nos présences si magnifiques à observer, les visages sont un spectacle sans fin.

 

la paresse n’est pas un crime, la vraie paresse empêche parfois de voir à quel point l’instant est un fait inouï.

 

 

 Je vous invite à regarder ceci qui cadre bien les balises qui ont été posées comme "sol" de la normalité usuelle en occident, ce si subtil... "nouvel ordre mondial" ...

http://www.dailymotion.com/CHOIX-REALITE/video/x4jhkg_zeitgeist-remasterise-complet_news

 


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